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  • Sex friends

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    Entre Emma & Adam (Natalie Portman & Ashton Kutcher) tout a commencé il y a 15 ans lorsqu’ils étaient en colonie de vacances et que le jeune homme a romantiquement proposé de lui mettre un d…. Bref, des années plus tard, le hasard a fait qu’ils se sont rencontrés de nouveau et quelques jours plus tard, notre pote Adam s’est réveillé totalement nu à l’appartement d’Emma qu’elle partage avec plusieurs colocataires. De fil en aiguille, ils finissent par coucher ensemble mais se mettent d’accord dès le départ ; leur relation sera exclusivement sexuelle et il n’y aura jamais de sentiments entre eux. Plus facile à dire qu’à faire !

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    Quelqu’un aurait-il oublié d’annoncer au réalisateur Ivan Reitman que nous étions désormais en 2011 ? On peut se poser la question devant Sex friends, une comédie éculée avec son scénario prévisible à la simple vue de son affiche. Ashton Kutcher reste abonné au rôle de playboy de service et creuse progressivement sa tombe à Hollywood quant à la charmante Natalie Portman, on préférera amplement sa prestation en danseuse étoile dans Black swan. Le genre de film qui n’invente rien et qui ne mérite vraiment pas qu’on se déplace dans les salles obscures pour le voir !

     

    Il faut le voir pour : Eviter de présenter votre copine à votre père.

  • Sars War

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    Le virus Sars est en train de décimer des populations entières en Afrique mais que l’on se rassure ; il n’y a aucune chance qu’il arrive en Thaïlande ! Tel est le discours officiel des autorités mais en réalité, c’est un simple moustique qui va propager le virus et transformer ses victimes en des espèces de zombies. Pendant ce temps, une jeune femme du nom de Liu (Phintusuda Tunphairao) a été kidnappée er ne sera rendue qu’en échange d’une énorme rançon. Refusant de se soumettre à cet odieux chantage, son père décide d’engager le formidable Khun Krabii (Suppakom Kitsuwan) pour la libérer.

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    Une véritable perle de nanar ! Si le titre est trompeur puisqu’il ne s’agit pas d’une parodie de la célèbre saga de George Lucas, Sars War tient en revanche ses promesses en matière de film complètement déjanté. On a parfois l’impression d’être devant un délire japonais et pourtant voici bel et bien un produit du cinéma thaïlandais qui nous avait plutôt habitué à des films d’action. Un long métrage qui ne se prend jamais au sérieux et si certains pourraient le fuir devant un produit aussi consternant, d’un autre coté on se régale tant qu’on en redemanderait presque.

  • Last night

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    Ce devait être une soirée agréable pour Joanna & Michael Reed (Kieira Knightley & Sam Worthington) mais cela s’est terminé par une dispute. Joanna a en effet que son mari a passé la soirée en compagnie de Laura (Eva Mendes), une collègue de travail dont elle n’avait jamais entendu parler auparavant. Le retour à l’appartement s’est donc soldé par une crise de jalousie en bonne et due forme d’autant plus que le lendemain, Michael devait repartir en voyage d’affaires à Philadelphie avec elle. Les esprits reposés, Joanna se rend compte qu’elle s’est laissé emporter mais au même moment elle retrouve Alex (Guillaume Canet) de passage à New York, un homme qui a énormément compté dans sa vie. Le jeune couple séparé va ainsi vivre une dernière nuit où tout sera remis en question.

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    Envie d’une partie à quatre ? Je vous rassure, Last night ne mange pas de ce pain-là et finalement on le regretterait presque quand on constate la torpeur dans laquelle nous plonge ce film. Bon ok, le casting est soigné d’autant plus qu’on compte notre frenchie Guillaume Canet parmi le quatuor mais en dehors de ce souci d’esthétisme il est bien difficile de ne pas s’assoupir devant cette nuit interminable. Que ce soit Kieira Knightkey avec Canet ou encore Eva Mendes avec Sam Worthington, on ne perçoit jamais ce désir latent chez les couples. En résumé, beau casting pour un film trop mou et donc un beau gâchis !

     

    Il faut le voir pour : Jeter un œil sur les livres de votre copine pour s’assurer qu’elle ne cache pas de photos de son ex.

  • Toy story 2

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    Woody se faisait une joie de pouvoir enfin passer un moment privilégié avec son pote Andy mais ce dernier, au cours d’un jeu, défait par mégarde une des coutures du cow-boy. Avec le bras ballant, le jouet est laissé sur l’étagère et c’est la mort dans l’âme qu’il voit son maitre quitter la maison. Le pire est à venir car Woody se fait par la suite volé par un vendeur de jouets peu scrupuleux et c’est à cette occasion que le cow-boy découvre ses véritables origines. Il était le héros d’une série télévisée où il avait pour compagnons Wendy, Pil Poil et Papi Pepite ; la collection de jouets désormais réunie elle s’apprête à être vendue à un musée au Japon !

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    Devenu la carte de visite officielle des studios Pixar, il était impensable de ne pas revoir Woody, Buzz et tous les jouets qui ont fait le bonheur de millions de spectateurs. 4 ans se sont écoulés entre les 2 épisodes et cela se ressent notamment au niveau de la qualité des images qui s’est affiné, des décors plus détaillés. Outre les progrès technologiques et donc visuels du film, on retrouve bien entendu de nouveaux jouets faisant leur apparition et nous replongeant dans notre enfance. Pas de doute, la magie opère de nouveau avec Toy story 2, film d’animation indispensable pour les amateurs du genre.

     

    La scène à ne pas louper : Le combat entre Buzz l’éclair et … Buzz l’éclair !

     

    En savoir plus sur Toy story ?

    En savoir plus sur Toy Story 3 ?


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Les femmes du 6ème étage

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    1962. Après plus de 20 ans de bons et loyaux services, Germaine (Michele Gleizer), la bonne de Suzanne & Jean-Louis Joubert (Sandrine Kiberlain & Fabrice Luchini) a claqué la porte. Il faut donc trouver en toute hâte une nouvelle femme de ménage et c’est ainsi que Maria (Natalia Verbeke), fraichement arrivée d’Espagne, est devenue leur nouvelle employée. Elle vit juste au-dessus d’eux, au 6ème étage où sont logées toutes les bonnes de l’immeuble qui vivent dans une certaine promiscuité. Lorsque Jean-Louis se rend compte de tout cela, il essaie de les aider en faisant appel par exemple à un plombier pour déboucher les toilettes ou encore en faisant marcher ses relations pour trouver une loge à une femme battue par son mari.

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    Toute la beauté du cinéma c’est d’avoir parfois de bonnes surprises comme c’est le cas ici avec Les femmes du 6ème étage. Philippe Le Guay nous plonge ainsi dans le Paris des années 60, période où se poursuit l’immigration du peuple espagnol fuyant le régime franquiste et nous invite à faire la connaissances de femmes courageuses. Avec leur bonne humeur constante et leur accent chantant, elles vont redonner un peu de joie dans la vie plutôt morne d’un Fabrice Luchini égal à lui-même. Une comédie modeste et agréable qui réussit sa mission haut la main, celle de nous changer les idées et de nous faire rire.

     

    Il faut le voir pour : Apprécier le confort d’avoir des toilettes qui fonctionnent !

  • Gnoméo et Juliette

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    Ils sont voisins et ne peuvent pas se supporter, lorsque leurs propriétaires Madame Montague & Monsieur Capulet s’absentent, les nains de jardin se livrent une guerre sans merci. Chez les rouges, Tybalt joue les gros bras et n’hésite pas à tricher lorsqu’il s’agit de remporter une course de tondeuse au grand dam de Gnoméo. Ce dernier qui appartient au clan bleu va voir sa vie changer du tout au tout lorsqu’il rencontre Juliette venue cueillir un chrysanthème. Malgré les rivalités, leur amour sera plus fort que tout mais pour le moment ils doivent cacher leur relation à leurs proches craignant que cela ne dégénère.

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    L’œuvre éternel de William Shakespeare revisité à la sauce nain de jardin, c’était quand même une idée de départ assez curieuse. Pourtant, il faut bien dire que Gnoméo et Juliette n’est pas dénué de charme avec un graphisme plutôt soigné que l’on doit aux studios Touchstone offrant ici leur premier film d’animation. On retrouve également un grand nom parmi les producteurs en la personne du chanteur Elton John qui prête également sa voix le temps de quelques chansons. Au premier abord, ce film d’animation ne fait pas vraiment preuve d’arguments pour attirer les spectateurs mais au final on passe un bon moment, on rigole bien et les enfants (et les plus grands) devraient largement s’en satisfaire.

     

    Il faut le voir pour : Changer votre vieille tondeuse à gazon et commander le Terrafirminator !

  • Largo Winch 2

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    A ce jour, notre pote Largo Winch (Tomer Sisley) aurait pu devenir l’un des hommes les plus riches au monde. En héritant de l’empire W bâti par feu son père Nerio (Miki Manojlovic), c’est plus de 50 milliards de dollars qui lui étaient promis mais lui a préféré vendre tout cela et investir dans une œuvre humanitaire. Un geste salutaire mais qui n’est pas sans conséquences, Largo se crée par la même occasion de nombreux ennemis et justement il est accusé de crime contre l’humanité par le procureur Diane Francken (Sharon Stone). Il y a 3 ans, notre golden boy s’était réfugié dans un petit village en Birmanie où non loin de là fut perpétré un massacre sur les ordres du Général Kyaw Min (Nirut Sirichanya).

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    Au vu du succès public et critique du premier épisode c’est avec un plaisir non dissimulé que l’on retrouve sur le grand écran les aventures du héros crée par Jean Van Hamme. Tomer Sisley est évidemment de nouveau dans la partie et se retrouve confronté à Sharon Stone qu’on a connue plus incisive. La véritable surprise viendrait plutôt du coté de Gauthier interprété par Nicolas Vaude qui apporte une note d’humour bienvenue avec son personnage tiré à 4 épingles. Dans la veine du 1er épisode, Largo Winch 2 a de quoi rendre fier le cinéma français donnant naissance à un film d’action efficace et musclé. Comme ça n’a pas toujours été le cas, il ne faut surtout pas bouder notre plaisir et on en redemande !

     

    Il faut le voir pour : La baston dans les airs qui vous mènera au 7ème ciel !

     

    En savoir plus sur Largo Winch ?

  • Tron l’héritage

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    Depuis l’étrange disparition de son fondateur Kevin Flynn (Jeff Bridges), la société Encom est devenue une firme au succès colossal. Bien qu’il en soit l’héritier direct, Sam (Garrett Hedlund) s’est toujours refusé à prendre les rênes au grand regret d’Alan Bradley (Bruce Boxleitner), le pote d’enfance de son père. D’ailleurs, celui-ci est venu le voir pour lui faire part d’un évènement curieux ; il a reçu un message d’un bipper vieux de plus de 20 ans. Les clés de la salle de jeu en mains, Sam y et retrouve avec émotions quelques souvenirs d’enfance. Surtout, il découvre le bureau secret où son père effectuait toutes les recherches sur la Grille, ce monde numérique dont il avait tant entendu parler.

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    Séquence nostalgie et émotion pour certains spectateurs qui s’étaient extasié sur Tron, un film sorti en 1982 ! C’est un retour qu’on pourrait presque qualifier de logique au vu des progrès technologies de ces dernières décennies et cette suite est un véritable spectacle de son et lumière avec comme bémol une version 3D pas tout du tout convaincante. Que l’on soit adepte ou néophyte de l’univers de Tron, on est immédiatement happé par cette dimension parallèle si particulière ; on l’est moins par contre au niveau du scénario. Clairement on ira voir Tron l’héritage avant tout pour se faire plaisir aux yeux pour le reste on a jamais été aussi proche du domaine du virtuel.

     

    Il faut le voir pour : Se payer un frisbee pour cet été !

  • Black swan

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    Notre pote Nina Sayers (Natalie Portman) a la danse dans la peau et elle n’a jamais ménagé ses efforts dans l’espoir de décrocher un jour le rôle de sa vie. Pour ouvrir la saison, le chorégraphe Thomas Leroy (Vincent Cassel) a pour projet de proposer sa version du Lac des cygnes et pour marquer le coup, il doit choisir une nouvelle danseuse étoile. Son choix se porte sur Nina mais ce qui devait être un aboutissement n’est qu’un début pour la jeune femme qui va devoir travailler son rôle. Si elle incarne parfaitement la pureté du cygne blanc du ballet, elle doit découvrir la part sombre qui sommeille en elle pour devenir le cygne noir.

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    Après s’être plongé dans l’univers du catch américain, Darren Aronofsky effectue le grand écart en se plongeant dans la danse classique. Pour personnifier l’élégance et la grâce, le réalisateur a trouvé en Natalie Portman l’interprète idéale elle qui décroche par la même occasion un rôle de premier ordre dans sa carrière. Le reste c’est simplement un grand moment de cinéma, Black swan est envoutant jusqu’à cette dernière demi-heure magistrale faisant étalage de tout le génie d’Aronofsky à son apogée. Impossible de rester insensible face à ce nouveau chef d’œuvre qui obtient bien entendu le Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Demander à vos enfants de choisir une autre activité sportive que la danse.

  • 127 heures

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    C’est une manie chez notre pote Aron Ralston (James Franco) ; lorsqu’il part faire de l’escalade, il n’y a plus rien qui compte pour lui. C’est toujours avec une grande excitation qu’il se rend au Blue John Canyon où il a l’occasion de grimper n’importe où et de découvrir de somptueux paysages. Sur la route, il fait la connaissance de Megan & Kristi (Amber Tamblyn & Kate Mara) et ce trio se met à s’aventurer dans les failles des rochers pour atterrir dans une crypte de toute beauté. Aron reprend ensuite sa route mais un mauvais pas va lui couter cher ; un rocher s’effondre et bloque sa main contre la paroi. Il tente vainement de se dégager mais va devoir se résoudre à accepter l’idée qu’il a rendez-vous avec la mort.

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    Adapté de l’histoire vraie d’Aron Ralston ; 127 heures n’est pas sans nous rappeler le récent Buried. A l’inverse du film de Rodrigo Cortés, notre pote James Franco se retrouve certes en plein air mais non moins dans une situation inconfortable et le spectateur avec. Pendant plus d’une heure, Danny Boyle nous laisse ainsi en compagnie de cet aventurier hors du commun. Plus habitué aux seconds rôles, James Franco se plie en quatre de manière exceptionnelle pour nous garder en haleine pendant plus d’une heure et ça fonctionne ! Un film haletant et un magnifique hommage à cet homme miraculé, du bon divertissement en somme mais qui s’oublie rapidement.

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’offrir des produits fabriqués en Chine à vos potes qui font de l’escalade.


    Découvrez le film Dans la peau du héros !