Bernie Noël - Bernie
Bernie : J'm'appelle Bernie Noël, j'ai 29 ans bientôt 32.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Bernie : J'm'appelle Bernie Noël, j'ai 29 ans bientôt 32.
Prendre la parole devant le public est un véritable calvaire pour notre pote Albert (Colin Firth). Souffrant de bégaiement, il craint en effet de devenir la risée de tout le monde lorsqu’il prend la parole ne ménage donc pas ses efforts pour vaincre cet handicap d’autant plus qu’il est n’est pas un homme ordinaire ; il est amené à régner sur l’Angleterre en succédant à son père George V (Michael Gambon). Celui que l’on appellera George VI peut compter sur le soutien indéfectible de sa femme Elizabeth (Helena Bonham Carter) et c’est d’ailleurs elle qui lui présente Lionel Logue (Geoffrey Rush). On dit que cet homme, aux méthodes certes peu orthodoxes, a obtenu des résultats miraculeux et cela va marquer le début d’une grande amitié.
Le discours d’un roi ou comment rendre intéressante l’histoire de la monarchie anglaise puisque George n’est autre que le père de l’inusable Elizabeth II. Difficile de ne pas remarquer la prestation de Colin Firth qui est proche de l’exceptionnel d’autant plus quand sa complicité avec Geoffrey Rush est elle aussi merveilleuse. Le destin d’un grand homme donne un grand film, Tom Hooper, après l’excellent The damned united, réussit une fois de plus à nous séduire et ne serait-ce que pour le discours concluant le film, Le discours d’un roi s’impose comme une œuvre indispensable. Coup de cœur Ciné2909 évidemment !
Il faut le voir pour : Ne plus s’étonner de voir des gens effectuer de drôles de choses pendant leurs discours.
A la croiser dans les rues de Ljubliana, en Slovénie ; Aleksandra (Nina Ivanisin) est une jeune femme comme une autre mais elle mène en réalité une double vie. Le jour, elle est étudiante mais quand vient le soir, on la retrouve le plus souvent dans les hôtels car elle se prostitue pour gagner sa vie. Son dernier rendez-vous s’est achevé par un drame puisque l’homme qui avait fait appel à ses services est décédé d’une crise cardiaque. Une mort vite relayée par les médias car il s’agissait d’un député européen et la police cherche désormais cette femme que l’on a surnommé la Slovenian girl.
Portrait d’une jeune slovène partie de sa campagne qui pensait pouvoir s’épanouir mais qui se retrouve prise dans un engrenage périlleux. Si son scénario n’a rien de réellement surprenant, ce sont les prestations conjuguées de Nina Ivanisin & Peter Musevski qui font de Slovenian girl un film correctement maitrisé. S’il s’intéresse avant tout au monde la prostitution et à ses dangereuses dérives, Damjan Kozole pointe aussi du doigt une société d’aliénation propre aux grandes villes. On aurait apprécié une critique plus acerbe au lieu de ce résultat trop conventionnel.
Il faut le voir pour : Se poser des questions si vos potes d’enfance possèdent plusieurs téléphones portables.
Après son dernier concert, notre pote Philippe (Philippe Katerine) a l’agréable surprise de trouver une jolie jeune femme dans sa loge. C’est avec une certaine excitation qu’il se rend alors chez Chloé (Judith Chemla) pour finir sa soirée mais le dénouement n’est pas celui qu’il espérait. Parce qu’elle parait un peu trop excentrique pour lui (et malgré le ragout qu’elle lui a préparé), il décide de s’enfuir discrètement et se retrouve alors perdu en foret au beau milieu de la nuit. Il y croise Sylvie (Julie Depardieu) qui étudie les oiseaux nocturnes avant de repérer une maison mais à son grand étonnement, il se retrouve … chez ses parents !
C’est le premier rôle principal pour le chanteur atypique qu’est Philippe Katerine qui trouve là un personnage qui lui correspond la perfection. Entendez par là que Je suis un no man’s land tient ses promesses, c’est un film à l’humour totalement décalé qui divisera sans aucun doute le public. Si de prime abord, le chanteur vous laisse indifférent, il y a de grandes chances que ce soit également le cas avec ce film. Une comédie qui tend vers l’ovni cinématographique mais qui garde tout de même les pieds sur Terre, dommage on aurait préféré planer davantage là il n’y a vraiment rien qui parvient à nous marquer.
Il faut le voir pour : Verrouiller la fenêtre de vos toilettes, certaines personnes pourraient prendre la poudre d’escampette … pour acheter des cigarettes !
Parce qu’elle ne pouvait pas se faire à l’idée d’avoir un enfant, notre pote Maryam (Maryam Zaree) a décidé d’interrompre sa grossesse de façon illégale. Pour cette fille d’Imam, la décision n’a pas été facile mais surtout son geste va s’accompagner de sérieuses complications allant jusqu’à mettre sa santé en péril. Autre lieu, Sammi (Jeremias Acheampong) vit actuellement une période de doute s’interrogeant notamment sur les sentiments qu’il éprouve vis-à-vis d’un de ses collègues de travail. Enfin, Ismail (Carlo Ljubek) est policier et lors d’une interpellation, il se retrouve face à une femme clandestine avec qui il a déjà eu un lourd passé.
Qu’est ce qu’un bon musulman, telle est la question qui hante le film de Burhan Qurbani qui s’intéresse à la vie de différents protagonistes partageant comme point commun leur rapport avec la religion musulmane. Empruntant la forme du film choral, Shahada apparait davantage comme une succession de portraits qu’on jugera assez scolaire dans sa globalité. C’est avec une certaine indifférence qu’on découvre le destin de chaque personnage, aucun ne réussit réellement à solliciter notre empathie. Le thème était osé mais le résultat final est loin de l’être, on ne marque pas les esprits avec du banal.
Il faut le voir pour : Comprendre pourquoi il faut faire sa prière avant d’aller se coucher !
Après des années d’effort et bon nombre de sacrifices, notre pote Léo Demarsan (Benoit Magimel) a enfin obtenu la consécration ; il est officiellement avocat ! L’excitation de plaider ses premières affaires va cependant laisser place progressivement à une certaine morosité jusqu’au jour où il est contacté par Paul Vanoni (Gilbert Melki). Celui-ci est à la tête d’une société chargée de la collecte de déchets et a déjà été condamné pour des affaires de crime organisée. Léo va devenir son avocat personnel et va vite découvrir que l’homme qu’il défend n’est pas réellement l’honnête citoyen pour qui il veut se faire passer.
Accusé, levez-vous ! Nous sommes aujourd’hui réunis pour juger le cas de L’avocat, le dernier film en date de Cédric Anger déjà condamné pour Le tueur. Les charges qui pèsent contre vous sont d’une extrême gravité ; une histoire qui manque clairement de spontanéité et un jeu d’acteur souvent excessif ont fait de nombreuses victimes parmi les spectateurs qui se sont portés Partie civile. J’invite donc le jury à prendre note de mes conclusions. Pour l’accusation de film assez fade, vous êtes jugé coupable !
Il faut le voir pour : Découvrir qu'on peut tuer pour ramasser vos déchets !
Jellystone Park est sur le point d’être fermé afin que le Maire Brown (Andrew Daly) puisse rembourser la dette de la ville et avoir ainsi les faveurs de l’électorat pour devenir le prochain gouverneur. Cette nouvelle est un choc pour le Ranger Smith (Thomas Cavanagh) et surtout pour Yogi & Booboo, deux ours qui prenaient un malin plaisir à chasser les paniers de pique-nique des visiteurs. S’ils veulent sauver ce dernier coin de paradis, ils doivent absolument équilibrer leur budget et faire rentrer plus de 30 000 dollars. Ils ont alors l’idée d’organiser un fantastique feu d’artifice à l’occasion du centenaire de Jellystone Park mais Yogi va, sans le vouloir, gâcher la fête.
Après un 1er film sorti en 1964, le personnage crée par le légendaire duo Hanna-Barbera retrouve les honneurs d’une sortie dans les salles obscures. Trouver un ours qui parlent étant difficile de nos jours, Yogi l’ours se compose d’animation en images de synthèse et film live, un mélange plutôt réussi et qui passera comme une lettre à la poste auprès des enfants. Pour les nostalgiques du dessin-animé ou bien pour les amateurs d’ours portant une cravate, ce sont essentiellement les petits qui sauront passer du bon temps quant aux autres, vous pourrez toujours vous consoler en organisant un pique-nique après la séance !
Il faut le voir pour : Faire attention aux ours qui veulent vous piquer votre repas.
Il y a 5 ans, c’était encore un flic ; aujourd’hui Franck Castle (Dolph Lundgren) est mort et a laissé place au Punisher, un justicier sans foi ni loi. Après la disparition de sa famille, il a décidé de mener sa propre vengeance et a ainsi déclaré la guerre à tous les gangsters qui polluent la ville. Un combat qui devient encore plus difficile lorsque débarquent les yakuzas menés par Lady Tanaka (Kim Miyori) qui a ouvert les hostilités vis-à-vis de Gianni Franco (Jeroen Krabbe). Le Punisher aurait tout à gagner à les laisser s’affronter mais lorsqu’il apprend que des enfants innocents ont été enlevés, il est forcé d’intervenir.
Bien avant Thomas Jane ou Ray Stevenson, c’est notre pote Dolph Lundgren qui fut la première incarnation de Franck Castle dans l’une des toutes premières adaptations de comics au cinéma. A le revoir aujourd’hui Punisher a beaucoup vieilli et est loin de s’être bonifié en même temps c’était plutôt difficile. Le film tient plus de la production de série B que du blockbuster avec des scènes d’action et des bruitages d’une pauvreté accablante. Lundgren se contente donc de faire ce qu’il sait faire de mieux : s’économiser en paroles et distribuer des pains et appuyer sur la gâchette. Aujourd’hui regarder ce film a tout de la punition !
En savoir plus sur The Punisher - Zone de guerre ?
C’est en parcourant les petites annonces qu’ils ont convenu d’un rendez-vous. Tony (Grégory Gadebois) est un pêcheur qui passe toutes ses journées sur la mer ce qui explique qu’il n’a pas vraiment le temps de sortir et encore moins de faire des rencontres. L’histoire d’Angèle (Clotilde Hesme) est plus compliquée ; elle a fait de la prison et est actuellement en conditionnel. Elle a également un fils qui a été confié à ses beaux-parents dont elle souhaite reprendre la garde mais avant cela, elle doit améliorer sa situation. Est-ce pour cela qu’elle s’est intéressée à Tony et qu’elle décide rapidement de vivre sous le même toit que lui.
Angèle et Tony n’est pas une romance ordinaire, c’est avant tout l’histoire de la reconstruction sociale d’une femme qui a perdu ses repères. Clotilde Hesme, belle et merveilleuse comédienne plutôt méconnue, endosse parfaitement le lourd bagage de cette femme fragile et forme avec Grégory Gadebois un couple attachant. Drame social "à la française" serait-on tenté de dire, le film tient la route aucun doute là-dessus, on est happé par l’interprétation d’une grande justesse mais certains ne verront pas réellement l’intérêt de le voir dans les salles obscures.
Il faut le voir pour : Faire la différence entre une sole et une limande.
Salut tout le monde !
Je me présente, je m’appelle Woody et non vous ne rêvez pas ; je suis un jouet qui parle ! Parmi tous les jouets d’Andy, je suis son préféré et ce depuis le jardin d’enfant. Devant les être humains, nous paraissons être des objets inanimés mais une fois seuls, nous prenons vie et on s’amuse comme des petits fous !
Pourtant aujourd’hui, nous sommes tous très nerveux car Andy fête son anniversaire ce qui signifie qu’il va recevoir des cadeaux. Qui dit cadeaux dit éventuellement de nouveaux jouets ce qui pourrait nous conduire directement au placard.
Tout allait bien jusqu’à ce qu’il déballe son dernier cadeau, il a eu le dernier jouet à la mode : Buzz l’éclair. Je ne sais pas pourquoi mais je sens qu’il va me faire de l’ombre !
En savoir plus sur Toy Story ?