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clémence poésy

  • 127 heures

    Salut,

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    01.jpgJe m’appelle Aron Ralston (James Franco), nous sommes le Dimanche 26 Avril 2003 et cela fait 24 heures que je suis parti faire une excursion dans les gorges de l’Utah. Insouciant comme je suis, personne ne sait où je suis et je dois vous avouer que je le regrette terriblement à l’heure actuelle.

     

    Au cours de ma randonnée, j’ai glissé et je suis tombé dans une faille au Blue John Canyon et comble de malchance, un rocher m’a accompagné dans ma chute. Le résultat est là devant vos yeux ; mon bras est complètement coincé et je suis condamné car mes provisions s’amenuisent à vitesse grand V.

    02.jpgMes parents s’appellent Donna & Larry (Kate Burton & Treat Williams) et vivent à Englewood, dans le Colorado si vous trouvez cette vidéo, merci de la leur transmettre et vous pouvez garder le caméscope.

     

    Maman, papa, je vous aime

     

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  • 127 heures

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    C’est une manie chez notre pote Aron Ralston (James Franco) ; lorsqu’il part faire de l’escalade, il n’y a plus rien qui compte pour lui. C’est toujours avec une grande excitation qu’il se rend au Blue John Canyon où il a l’occasion de grimper n’importe où et de découvrir de somptueux paysages. Sur la route, il fait la connaissance de Megan & Kristi (Amber Tamblyn & Kate Mara) et ce trio se met à s’aventurer dans les failles des rochers pour atterrir dans une crypte de toute beauté. Aron reprend ensuite sa route mais un mauvais pas va lui couter cher ; un rocher s’effondre et bloque sa main contre la paroi. Il tente vainement de se dégager mais va devoir se résoudre à accepter l’idée qu’il a rendez-vous avec la mort.

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    Adapté de l’histoire vraie d’Aron Ralston ; 127 heures n’est pas sans nous rappeler le récent Buried. A l’inverse du film de Rodrigo Cortés, notre pote James Franco se retrouve certes en plein air mais non moins dans une situation inconfortable et le spectateur avec. Pendant plus d’une heure, Danny Boyle nous laisse ainsi en compagnie de cet aventurier hors du commun. Plus habitué aux seconds rôles, James Franco se plie en quatre de manière exceptionnelle pour nous garder en haleine pendant plus d’une heure et ça fonctionne ! Un film haletant et un magnifique hommage à cet homme miraculé, du bon divertissement en somme mais qui s’oublie rapidement.

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’offrir des produits fabriqués en Chine à vos potes qui font de l’escalade.


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Lullaby

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    Leur rencontre s’était déroulé comme dans un conte de fée. Sam (Rupert Friend) regardait son film préféré ; Certains l’aiment chaud et c’est à ce moment qu’elle a débarqué comme si de rien n’était. Elle s’appelait Joséphine (Sarah Wayne Callies) tout comme le personnage de Tony Curtis dans le film et ce fut le coup de foudre immédiat. Sam, musicien en panne d’inspiration avait retrouvé une muse mais la mort de Joséphine fut aussi brutale que leur rencontre. Plongé en pleine dépressions depuis cette tragique disparition, le jeune homme va faire la connaissance de Pi (Clémence Poésy) ; une femme qui a trouvé refuge dans sa salle de bain.

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    Une rencontre inconcevable, une passion naissante et un brin de jazz voici en gros ce que vous allez déguster avec Lullaby. Bon parfois, on trouve le temps bien long et il y a même quelques scènes qui éveillent notre perplexité comme cette battle de slam au piano ou cette fiesta dans un appartement bien squatté ! Du coté de l’interprétation, le coté dandy du personnage de Rupert Friend peut aussi bien séduire qu’il peut agacer en revanche notre chère Clémence Poésy est d’une telle fragilité qu’on ne peut que se laisser charmer. Seulement, ce rapport de séduction ne dure qu’un temps et ce n’est pas un film qui nous laissera des souvenirs impérissables.

     

    Il faut le voir pour : Trainer dans votre salle de bain, vous pourriez y faire des rencontres intéressantes.

  • Bons baisers de Bruges

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    Ray & Ken (Colin Farrell & Brendan Gleeson) sont 2 tueurs à gages en pleine fuite. Leur boss Harry (Ralph Fiennes) les a envoyé se planquer à Bruges en Belgique où ils vont devoir se faire discret. Pas évident pour notre pote Ray qui ne tient pas en place ; il lui est insupportable de jouer les touristes surtout dans une ville aussi moyenâgeuse comme Bruges. En réalité cette nervosité, il la doit à la dernière mission qu’il a mené où un évènement a bouleversé sa vie. Entre 2 bières, il tombe sur le tournage d’un film où il croise la belle Chloé (Clémence Poésy) qui va lui faire oublier ses soucis.

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    Il n’y a pas que des moules-frites en Belgique ; il y a également Bruges et son incroyable patrimoine culturel, un cadre à priori peu propice pour ce polar d’un genre bien particulier. C’est ce paradoxe qui nourrit d’ailleurs l’intérêt de ce Bons baisers de Bruges et hormis cette spécificité, il n’y a pas grand-chose à se mettre sous la dent. On accroche ou pas à l’atmosphère décalé d’un film peu animé où les états d’âme de Colin Farrell finissent vraiment par nous tuer. Mieux vaut encore s’abstenir de voir ce film et économiser pour s’offrir un week-end à Bruges, ce sera certainement plus intéressant pour vous !

     

    Il faut le voir pour : Se planquer à Bruges où personne ne viendra vous chercher !

  • Le dernier gang

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    La région parisienne dans les années 1980, les méfaits d’un gang de braqueurs défraient la chronique et ridiculisent les forces de l’ordre. A l’origine de ce gang surnommé les postiches, on retrouve 2 anciens taulards Simon & Casa (Vincent Elbaz & Sami Bouajila). Depuis, avec la complicité de nombreux potes d’enfance, ils écument la capitale à la recherche d’une banque à dévaliser jusqu’au jour où Simon croise les yeux de Julie (Clémence Poésy). C’est le début d’une histoire d’amour et pourquoi pas d’une nouvelle vie qui se profile à l’horizon pour ce gangster. Pendant ce temps, Milan (Gilles Lellouche), un flic infiltré bien décidé à mettre fin aux agissements du gang qu’importent les méthodes à utiliser.

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    Véritable foire médiatique provoqué à l’époque par cette bande hors du commun, l’histoire du Gang des potiches reste aujourd’hui encore assez fascinante. Le dernier gang ne se veut pas une adaptation fidèle mais une histoire librement inspirée et Ariel Zeitoun réussit un film efficace qui tourne néanmoins dans le schéma classique du policier à la poursuite du criminel. Bon film avec un Vincent Elbaz au top de sa forme dans peut-être son plus grand rôle jusqu’à maintenant et un Gilles Lellouche qui commence à s’imposer dans le cinéma français.

     

    Il faut le voir pour : Toujours repérer une banque avant un hold-up et surtout comment ouvrir la porte d’entrée !