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greta gerwig

  • Mistress America

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    Depuis qu’elle est arrivée à New York pour poursuivre ses études, Tracy (Lola Kirke) ne s’est pas fait beaucoup de potes d’enfance. Sa passion pour la littérature va toutefois l’amener à faire la connaissance de Tony (Matthew Shear) mais peu de temps après, celui-ci se trouve une petite-amie en la personne de Nicolette (Jasmine Cephas Jones). Seule devant son diner, Tracy se résout à contacter Brooke (Greta Gerwig), une jeune femme qu’elle ne connait pas du tout mais qui va devenir prochainement sa demi-sœur. C’est une soirée que la jeune étudiante n’est pas prête d’oublier car Brooke déborde d’énergie et cela va même l’inspirer dans l’écriture d’une nouvelle.

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    Après Frances Ha, le réalisateur Noah Baumbach fait de nouveau appel à Greta Gerwig et mieux que ça il l'a même invité à écrire le scénario à deux mains (bon le fait qu'ils soient en couple doit aussi jouer). La pétillante actrice s’est ainsi offert un rôle où elle peut ainsi laisser libre court à sa douce folie et on se laisse volontiers entrainer dans son sillon. On appréciera également le reste du casting à commencer par Lola Kirke ou encore Nicolette, la jalouse compulsive interprété par Jasmine Cephas Jones. Mistress America offre ainsi une parenthèse pleine de jovialité, ce qui ne se refuse pas !

     

    Il faut le voir pour : Garder une fenetre ouverte chez vous, on ne sait jamais !

     

  • Frances Ha

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    A 27 ans, Frances (Greta Gerwig) a la chance de partager un appartement avec sa pote d’enfance Sophie (Mickey Summer) à Brooklyn. Elles se sont connues à la fac et leur rencontre était une évidence puisqu’elles sont totalement identiques -excepté leurs cheveux- mais elles vont devoir se séparer. Sophie a en effet une opportunité formidable de prendre un logement dans le quartier de Tribeca, ce dont elle a toujours rêvé. Evidemment pour Frances c’est un coup dur et elle doit également se trouver un autre toit car elle est loin de rouler sur l’or. Elle est apprentie dans une compagnie de danse et donne à l’occasion quelques cours mais espère surtout devenir un jour une véritable danseuse.

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    Avec Frances Ha on découvre la vie d’une femme de 27 ans qui doit apprendre bien malgré elle l’indépendance après avoir longtemps vécu avec sa pote d’enfance. Elle passe ainsi d’appartement en appartement et ne se révèle pas plus douée dans sa vie sentimentale que professionnelle. C’est vrai que Greta Gerwig incarne un personnage plutôt attachant et ses mésaventures sont plutôt amusantes mais sur la longueur on finit par se lasser. Le choix du noir et blanc reste quant à lui superficiel puisqu’on n’y voit pas vraiment l’intérêt, le réalisateur Noah Baumbach a une nouvelle fois bien du mal à me convaincre.

     

    Il faut le voir pour : Vous allonger sur le dos dans votre lit et poser un pied à terre si vous avez trop bu !

  • Damsels in distress

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    Etudiante en 2ème année, Lily (Analeigh Tipton) vient d’être transférée à l’Université de Seven Oaks. Un peu perdue, elle est repérée par Violet, Heather & Rose (Greta Gerwig, Carrie MacLemore & Megalyn Echikunwoke) qui vont alors devenir ses nouveaux potes d’enfance allant jusqu’à lui proposer de partager la même chambre. C’est la découverte d’un groupe très particulier, sensible à certaines odeurs mais qui s’occupe également d’un centre de prévention contre le suicide (et inutile de jouer les dépressifs pour avoir des donuts et du café à l’œil !). L’année qui se profile s’annonce riche en surprises !

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    Projeté en plein cœur d’une université américaine, on pouvait craindre que ce Damsels in distress ne tombe dans la comédie facile ou tout simplement sur un énième et vulgaire teen-movie mais il cache quelques atouts dans sa manche. Non ce qui nous est offert c’est un film assez décalé pourvu de dialogues à priori superflus mais qui peuvent parfois prendre des directions très étonnantes. En l’occurrence, difficile d’oublier la confession de Lily sur les pratiques sexuelles prônées par la religion Cathare. Il faut un certain temps pour s’adapter à l’esprit particulier du film ; imprévisible, presque loufoque dommage que ça ne se confirme pas sur la durée.

     

    Il faut le voir pour : Aller acheter une balle anti-stress.

  • To Rome with love

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    Tous les chemins mènent à Rome dit-on, il est donc normal que naissent de nombreuses histoires au cœur de cette ville historique. Ce n’est pas notre pote Hayley (Alison Pill) qui vous dira le contraire, elle qui a rencontré l’homme de sa vie lors d’une promenade à la Fontaine de Trévi. Leur mariage sera bientôt célébré et à cette occasion Phyllis & Jerry (Judy Davis & Woody Allen), les parents de la jeune femme arrivent en Italie. Rome a également une place particulière pour notre pote John (Alec Baldwin), lui qui y a vécu durant sa jeunesse et pour qui ce retour est l’occasion de revivre une de ses plus belles mais également douloureuses expériences à travers Jack (Jesse Eisenberg). Et puis il y a Leopoldo (Roberto Benigni), romain pur souche et qui va passer du jour au lendemain de l’anonymat à la plus complète célébrité.

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    On y a droit chaque année, le nouveau Woody Allen et nous embarque cette fois dans la capitale romaine pour un voyage peu enthousiasmant. C’est qu’on a du mal à trouver l’osmose entre les différentes histoires ; autant celles de Roberto Benigni ou Fabio Armiliata sont amusantes autant celle de Jesse Eisenberg finit par agacer par le jeu souvent excessif de l’acteur. Avec Minuit à Paris, le célèbre réalisateur avait su dévoiler les charmes immergées de la capitale française, avec To Rome with love il se contente d’une carte postale peu chatoyante. Parce que c’est du Allen, le film trouvera sans difficulté aucune son habituel public mais il est bien loin d’avoir rendu sa meilleure copie.

     

    Il faut le voir pour : Continuer de chanter sous la douche, vous pourriez devenir la prochaine nouvelle star !

  • Sex friends

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    Entre Emma & Adam (Natalie Portman & Ashton Kutcher) tout a commencé il y a 15 ans lorsqu’ils étaient en colonie de vacances et que le jeune homme a romantiquement proposé de lui mettre un d…. Bref, des années plus tard, le hasard a fait qu’ils se sont rencontrés de nouveau et quelques jours plus tard, notre pote Adam s’est réveillé totalement nu à l’appartement d’Emma qu’elle partage avec plusieurs colocataires. De fil en aiguille, ils finissent par coucher ensemble mais se mettent d’accord dès le départ ; leur relation sera exclusivement sexuelle et il n’y aura jamais de sentiments entre eux. Plus facile à dire qu’à faire !

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    Quelqu’un aurait-il oublié d’annoncer au réalisateur Ivan Reitman que nous étions désormais en 2011 ? On peut se poser la question devant Sex friends, une comédie éculée avec son scénario prévisible à la simple vue de son affiche. Ashton Kutcher reste abonné au rôle de playboy de service et creuse progressivement sa tombe à Hollywood quant à la charmante Natalie Portman, on préférera amplement sa prestation en danseuse étoile dans Black swan. Le genre de film qui n’invente rien et qui ne mérite vraiment pas qu’on se déplace dans les salles obscures pour le voir !

     

    Il faut le voir pour : Eviter de présenter votre copine à votre père.

  • Greenberg

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    Profitant du départ de son frère et de sa famille pour le Vietnam, Roger Greenberg (Ben Stiller) est venu s'installer pour quelques semaines à Los Angeles. Un séjour qui devrait lui changer les idées lui qui sort tout juste d'une grande dépression et est perpétuellement en colère contre tout et tout le monde. Même lorsqu'il retrouve ses potes d'enfance avec qui il avait monté un groupe de musique, les reproches fusent. Les seules bonnes nouvelles sont ses retrouvailles avec Ivan (Rhys Ifans) et sa rencontre avec Florence (Greta Gerwig), l'assistante de son frère qui sort d'une longue relation amoureuse et qui ne laisse pas Roger indifférent.

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    Déjà avec son dernier film Les Berkman se séparent, le réalisateur Noah Baumbach m'avait laissé perplexe et on peut dire qu'on reste à peu de choses près dans la même veine. Évidemment, en dressant le portrait d'un mec dépressif il ne faut pas s'attendre à éclater de rire même si l'on a en face de nous Ben Stiller, habitué aux comédies. Ici, il campe un personnage acariâtre voire même lunatique donc totalement imprévisible mais la véritable surprise de ce qui ne vient de l'inconnue Greta Gerwig touchante de simplicité. Greenberg ne fait que confirmer que le cinéma de Baumbach est bien singulier et divisera également l'avis du public malgré la performance de Stiller.

     

    Il faut le voir pour : Eviter les anniversaires surprises au restaurant avec vos potes dépressifs.