Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

simon west

  • Les ailes de l'enfer

    star 03.jpg

    AFF1.jpg

    Un soir tout a bousculé pour notre pote Cameron Poe (Nicolas Cage). Alors qu'il voulait simplement se défendre, ce militaire tue accidentellement un de ses agresseurs ce qui le condamnera à une peine de prison. Il faudra attendre 8 ans pour qu'il soit libéré mais avant de revoir sa femme Tricia (Monica Potter) et surtout sa fille Casey (Landry Allbright) qu'il n'a jamais vu, il va lui falloir encore un peu de patience. Il prend en effet place dans un avion particulier puisqu'il sert pour les transferts de prisonniers et voilà comment il se retrouve accompagné des pires criminels du pays. Les choses vont s'empirer lorsque ces prisonniers parviennent à prendre le contrôle de l'avion sous le commandement d'un certain Cyrus (John Malkovich).

    03.jpg

    Soyons clairs, Les ailes de l'enfer c'est avant tout un petit plaisir coupable. En fait, il s'agit d'un de mes souvenirs d'adolescence qui remonte à la surface dès que je vois Nicolas Cage et sa coupe improbable (une de plus diront certains). Paré d'un scénario aussi basique que caricatural où brille notre héros boy-scout, ce film signé Simon West ne fait pas dans la dentelle et offre son lot d'action faisant son effet. N'oublions pas non plus un casting bien riche qui rassemble entre autres John Malkovitch, Steve Buscemi, John Cusack ou encore Danny Trejo ! C'est comme une mauvaise friandise ; on a beau savoir que c'est gorgé d'artifices, on finit quand même par se laisser tenter.

  • Joker

    star 03.jpg

    AFF.jpg

    Notre pote Nick Wild (Jason Statham) vit dans le Nevada et plus exactement à Las Vegas et son plus grand souhait serait de quitter à jamais cette ville. Souvent, il s’imagine à bord d’un bateau naviguant sur les eaux qui bordent la Corse et le retour à la réalité est cruel. Pour gagner sa vie, il joue les chaperons pour ceux qui veulent profiter de cette ville mais il peut aussi être amené à se retrousser les manches. C’est d’ailleurs ce que lui a demandé Holly (Dominik García-Lorido) qui a vécu une terrible nuit au terme de laquelle elle a été sévèrement brutalisée et abandonnée à proximité d’un hôpital. Grâce à son réseau, Nick retrouve vite le nom du coupable : Danny DeMarco (Milo Ventimiglia) !

    01.jpg

    Tous ceux qui se font tabasser à Vegas restent à Vegas notamment lorsque c’est notre pote Jason Statham qui distribue les mandales. A priori, Joker peut faire penser à un énième film d’action où l’acteur britannique ne va s’exprimer qu’avec ses poings mais cette adaptation du roman Heat de William Goldman s’intéresse davantage au portrait de notre héros. Le film de Simon West parvient ainsi à prendre parfois des directions assez inattendues aux dépens des phases d’action (magnifiquement supervisées par le hongkongais Corey Yuen) qui se font rares. Avec une carte de crédit, un cendrier ou des couverts, il sait comment faire mal et nous on est content d’avoir un film plutôt fun mais n’attendez surtout pas à y voir de l’action non-stop.

     

    Il faut le voir pour : Tenter votre chance au Blackjack quand vous irez à Las Vegas !

  • 12 heures

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Après 8 années passées derrière les barreaux, Will Montgomery (Nicolas Cage) retrouve enfin la liberté ! Ce génie du braquage s’est fait serré lors de son dernier coup avec son équipe qui aurait pu leur rapporter un pactole de 10 millions de dollars. A peine a-t-il quitté la prison que son pote d’enfance Vincent (Josh Lucas) que tout le monde croyait mort, le contacte et lui annonce qu’il vient de kidnapper Alison (Sami Gayle), la fille de Will. Si ce dernier veut la revoir vivante, il faudra qu’il lui apporte les 10 millions de dollars qu’il avait volé à l’époque, le seul problème c’est que ce magot est parti en fumée et qu’il ne lui reste que 12 heures pour trouver cette somme.

    01.jpg

    Simon West (Les ailes de l’enfer, The Expendables 2) à la caméra et un casting plutôt étoffé rassemblant Nicolas Cage, Malin Akerman, Danny Huston & Josh Lucas pour un film assez plan-plan. Thriller au scénario usé où le héros se retrouve confronté à un terrible dilemme et doit se faire 10 millions de dollars en 12 heures ce qui fait un ratio horaire dont le monde rêverait. S’il est plutôt amusant de voir Cage se démener en plein festival du Mardi Gras à la Nouvelle-Orléans, les scènes d’action tout comme celles de braquages sont loin elles d’être aussi pétillantes. Ce n’est pas le film indispensable du moment ni d’aucun autre moment d’ailleurs mais bon si vraiment vous avez besoin d’un petit divertissement sans prétentions …

     

    Il faut le voir pour : Eviter de répondre au téléphone en voiture, ça peut provoquer des dégâts !

  • Expendables 2 : Unité spéciale

    star 04.jpg

    aff.jpg

    A peine de retour d’une mission au Tibet, notre pote Barney Ross (Sylvester Stallone) et son équipe repartent déjà pour une nouvelle mission. Ils doivent retrouver un coffre échoué en Chine et seront accompagnés pour l’occasion de Maggie Chan (Yu Nan) mais ils ne sont pas les seuls sur le coup. Un certain Vilain (Jean-Claude Van Damme) fait son apparition et ira jusqu’à exécuter un des équipiers de Barney qui n’aura désormais qu’un but : le traquer, le trouver, le tuer ! Entretemps, ils apprennent ce que contenait le coffre : un plan indiquant l’emplacement de 5 tonnes de Plutonium. Vilain a bien l’intention de les vendre au plus offrant quitter à bouleverser à jamais l’équilibre de l’ordre du monde.

    01.jpg
    C’était déjà une belle prouesse de réunir cette belle brochette bodybuildée et Expendables 2 : Unité spéciale fait encore mieux. Les nouveaux venus sont le Vilain Jean-Claude Van Damme et le Loup solitaire Chuck Norris sans oublier Willis & Schwarzenegger qui mettent un peu plus la main à la pate dans cet épisode. Après une scène d’entrée tonitruante, se dévoile ensuite un scénario expéditif puisque l’essentiel étant de voir en action nos héros et de ce point de vue là, le spectacle est au rendez-vous. Le plaisir de revoir tout ce beau monde l’emporte une fois encore et efface quelques déceptions comme les rôles mineurs de Jet Li et de Yu Nan mais ça vaut évidemment un Coup de cœur Ciné2909 très musclé !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas manquer le retour de Schwarzie !


    En savoir plus sur Expendables : Unité spéciale ?

  • Le flingueur

    aff.jpg

    Notre pote Arthur Bishop (Jason Statham) est un tueur à gages d’un genre bien particulier. Il ne se contente pas d’exécuter ses cibles, les contrats qu’il reçoit exigent qu’il fasse passer les disparitions pour de simples accidents. C’est donc un plan minutieusement préparé qu’il doit mettre au point pour accomplir les missions que lui confient Harry McKenna (Donald Sutherland). Justement, il vient d’apprendre que ce dernier est en fait un traitre et qu’il est devenu à son tour une cible. Bishop se charge à contrecœur de ce nouveau contrat et quelques jours après, il croise Steve (Ben Foster), le fils d’Harry qu’il décide de former comme tueur.

    01.jpg

    Avec Jason Statham, on fait rarement dans la dentelle et une nouvelle fois on en a la preuve avec Le flingueur, un film d’action plutôt classique mais efficace. De la baston, de belles cascades et surtout des fusillades en cascade ; on ne s’ennuie pas mais on reste clairement sur notre faim en raison d’un scénario trop lisible. La participation de Ben Foster à cette petite fête aurait pu se transformer en atout au lieu de quoi sa prestation relève plus de l’anecdotique. Ce remake du film homonyme dont le héros était incarné par le légendaire Charles Bronson n’a donc rien de magique et seuls ceux qui ont une grande faim d’action sauront s’en contenter.

     

    Il faut le voir pour : Remplacer votre chaine hi-fi par un tourne-disque.