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Sacha Baron Cohen

  • Grimsby - Agent trop spécial

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    Bien que 28 ans se soient écoulés, notre pote Nobby (Sacha Baron Cohen) n'a jamais perdu l'espoir de retrouver son frère et cette détermination est aujourd'hui récompensée ! C'est à Londres que vont avoir lieu ces émouvantes retrouvailles mais il ne s'attendait certainement pas à ce que Sebastian (Mark Strong) soit membre du prestigieux M.I. 6. L'agent des services secrets britanniques est injustement accusé d'un meurtre et va devoir se faire discret ; les 2 frères décident ainsi de se planquer à Grimsby, le quartier de leur enfance. Le seul souci c'est que leur cachette est rapidement repéré car il faut dire que Nobby a organisé une jolie fête en l'honneur de son frère.

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    On le sait notre pote Sacha Baron Cohen maitrise l'art du déguisement et il incarne cette fois un supporter de foot, buveur de bières bedonnant (pour certains ceci est un pléonasme) se découvrant un frère espion. S'il s'agit avant tout d'une comédie, Grimsby - Agent trop spécial dévoile aussi quelques scènes d'action drôlement efficaces que l'on doit à la présence du réalisateur français Louis Leterrier. Pour ce qui est de se marrer, on n'est pas en reste avec un humour bien trash qui ne nous épargne rien et surtout pas au pauvre Mark Strong. Si l'irrévérence et l'absurde ne vous font pas peur et que vous avez juste envie de vous marrer alors cette comédie fera amplement l'affaire.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que vous pouvez utiliser un éléphant pour vous cacher !

  • Ali G

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    Dans le quartier de Staines en Angleterre, une guerre sans pitié fait rage entre les gangs du Westside mené par Ali G (Sacha Baron Cohen) et les Eastside. Les blagues de "Ta mère" fusent et ils font régulièrement des courses-poursuites à 20 km/h dans les rues de la ville mais ce qui préoccupe actuellement notre pote Ali G, c’est la fermeture annoncée du Centre John Nike faute de subventions du gouvernement. C’est alors qu’il est contacté par David Carlton (Charles Dance), premier ministre adjoint qui lui propose de rejoindre le parti et ce faisant, il pourrait alors sauver son centre. Quant à David, il semble avoir trouvé le pantin idéal pour s’offrir le siège de premier ministre mais il va vite déchanter.

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    Personnage totalement allumé crée par Sacha Baron Cohen, Ali G a déjà eu droit à une série d’émissions (Da Ali G Show sur Channel 4 puis HBO) avant d’apparaitre dans les clips de Madonna ou Shaggy. A l’image de son héros, c’est donc une comédie bien barrée avec ce gansgta qui ne pense qu’au sexe et qui n’hésite pas à faire déguster un thé aux herbes particulières durant une conférence réunissant les chefs d’état du monde entier. Ça part donc dans tous les sens et on aime ça même si sur la durée, l’humour finit par devenir un peu trop répétitif mais en le revoyant de temps en temps on peut être sur qu’il y aura quelques éclats de rire. A noter également que l’on a même droit à une étonnante rencontre avec un certain représentant du Kazakhstan !

  • Les misérables

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    Pour avoir volé du pain dans le simple but de nourrir son neveu, notre pote Jean Valjean (Hugh Jackman) fut emprisonné 19 ans durant. S’il peut de nouveau gouter aux joies de la liberté, il a bien du mal à retrouver une place dans une société qui ne cesse de le rejeter. Un homme lui tendra toutefois la main et cette rencontre changera à jamais sa vie même si son ancien geôlier, l’impitoyable Javert (Russel Crowe) peine à y croire. 8 ans plus tard, sous l’identité de M. Le Maire, Jean Valjean va recueillir la petite Cosette (Isabelle Allen/ Amanda Seyfried), une promesse qu’il avait faite à Fantine (Anne Hathaway), la mère de la jeune fille.

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    Monument littéraire français, Les misérables version Tom Hooper c’est avant tout l’adaptation de la comédie musicale anglaise inspirée du roman de Victor Hugo. De toute façon, il n’y a pas moyen de se tromper car ce film est composé à 99,29 % de séquences chantées et autant dire que sur 2H30, ça risque de vous saouler ! C’est bien là le principal défaut, contrairement à un spectacle sur scène, ici on n’a pas droit au moindre entracte et c’est carrément lourd à digérer. Pour le reste pas grand-chose à redire si ce n’est que les séquences chantées sont dispensées de postsynchronisation ce qui crée une certaine proximité entre le film et le spectateur mais il faut aussi un certain temps d’adaptation.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir une pièce de théâtre au cinéma !

  • The dictator

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    A seulement 7 ans, il succédait déjà à son père et allait devenir le dictateur que le monde entier connait aujourd’hui. Hafez Aladeen (Sacha Baron Cohen) règne sur la république de Wadiya et les grandes puissances sont inquiètes d’apprendre que ce tyran possède l’arme nucléaire. L’ONU n’a d’autres choix que d’intervenir et somme Aladeen de s’expliquer sur cette menace potentielle et celui-ci va alors se rendre aux Etats-Unis pour plaider sa bonne foi. Il est cependant loin de se douter que son oncle Tamir (Ben Kingsley), qui lui a suggéré cette idée, s’apprête à le trahir en tentant de l’éliminer et de le remplacer par un sosie. Le dictateur parvient à s’échapper mais désormais démuni de sa légendaire barbe comment va-t-il pouvoir retrouver sa place ?

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    C’est une recette désormais bien connue que nous sort l’excentrique Sacha Baron Cohen qui vient  donc agrémenter sa galerie de personnages loufoque d’un dictateur omnipotent. Si avec Borat ou Brüno, l’artiste était parti dans des délires souvent invraisemblables il reste étonnamment sage dans ses nouvelles aventures. Il n’y a guère que la scène de l’accouchement qui nous permet de retrouver un peu de la folie qui le caractérise, le reste est amusant mais anecdotique. Pas de doute que The dictator arrivera à vous faire rire (ça vaudrait mieux pour vous sinon il vous exécute !) mais on sait aussi que l’acteur est capable d’aller tellement plus loin notamment dans la provocation.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de croire qu’un missile n’a pas besoin d’avoir un bout pointu !

  • Hugo Cabret

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    Ce sont des milliers et des milliers de personnes qui traversent chaque jour cette gare et c’est là qu’habite notre pote Hugo Cabret (Asa Butterfield). Enfin, pour être tout à fait exact, il vit dans les entrailles du bâtiment là où personne ne peut soupçonner sa présence et il s’occupe de remonter toutes les horloges de la gare. Le jeune garçon est féru de mécanique et a en sa possession un objet inestimable : un automate que lui avait présenté son père aujourd’hui disparu. Pour le réparer, Hugo doit dénicher de nombreuses pièces mécaniques et pour cela il s’approvisionne (de manière plus ou moins légale) chez le marchand de jouets, un certain Georges (Ben Kingskey). Lorsque ce dernier s’en rend compte, la rencontre avec le jeune voleur provoque des étincelles.

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    Si le grand Martin Scorcese n’était pas derrière les caméras, on pourrait facilement croire que ce Hugo Cabret n’est qu’un petit film destiné aux enfants. Adaptation du roman de Brian Selznick, cette œuvre n’est pas qu’un simple récit d’aventures mais aussi un hommage au réalisateur français Georges Méliès. Si on est tout de suite séduit par son univers étonnant avec cette gare parisienne reconstituée qui nous engloutit littéralement à travers ses apparences steampunk, la première heure est loin d’être emballante ! Le film ne devient passionnant qu’à partir du moment où on découvre le vrai visage de Georges c’est dire s’il faut de la patience avant de se faire un peu plaisir. La magie n’opère pas donc on va rapidement l’oublier et on épargnera un long moment aux enfants.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir les origines des effets spéciaux du cinéma.

  • Brüno

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    Animateur de télévision déchu, Brüno (Sacha Baron Cohen) veut plus que tout renouer avec le succès et c’est pour cela qu’il se rend à Hollywood. Accompagné de son assistant Lutz (Gustaf Hammarsten), cette icone de la mode cherche désespérément à faire parler de lui mais le public américain est-il prêt à une telle révolution ? Il faut croire que non puisque son concept d’émission (avec une interview exclusive d’Harrison Ford !) qui avait tout pour rester dans les annales a été étonnamment boudé. Brüno ne perd pas espoir et fera tout son possible pour que le monde reconnaisse son talent même s’il faut pour cela devenir hétéro !

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    Sacha Baron Cohen nous avait déjà fait plier de rire avec Borat et réjouissez-vous, il va encore plus loin avec ce nouveau personnage. Dans la peau de Brüno, présentateur autrichien depuis déjà quelques mois, il ne nous épargne pas en scènes scabreuses et oublie complètement le sens du mot décence. Les âmes sensibles ont prendront forcément un sacré coup car Baron Cohen s’implique énormément dans son personnage et c’est rien de le dire. Une fois encore, certaines scènes sont tellement énormes qu’on se demande quelle est la part de fiction et celle de réalité. Forcément culte et donc c’est un Coup de cœur Ciné2909 car on se marre pendant 1H30 !

     

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  • Ricky Bobby : roi du circuit

     

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    Si t’es pas premier, t’es dernier !! Voilà ce que n’a cessé d’entendre notre pote Ricky Bobby (Will Ferrell) depuis sa plus tendre enfance et c’est d’ailleurs grâce à cela qu’il va devenir une véritable vedette. Mécanicien dans les courses de Nascar, il va être propulsé sur le devant de la scène quand il prend le volant de la voiture de son équipe. Laissant tous les concurrents sur place, il devient la nouvelle coqueluche des foules jusqu’à l’arrivée d’un français Jean Girard (Sacha Baron Cohen) qui va mettre un peu de piment dans la compétition. Ce nouveau venu parvient à battre Ricky à son propre jeu et devient ainsi la nouvelle star mais notre héros n’a pas dit son dernier mot !

     

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    Ce film risque de passer relativement inaperçu chez nous puisque le thème principal est le Nascar ; course automobile prestigieuse chez nos potes américains mais qu’i n’a pas la même reconnaissance ici. A cela s’ajoute le fait que Ricky Bobby : roi du circuit n’a rien de vraiment intéressant à proposer avec le sempiternel schéma du héros déchu qui effectue un sensationnel come-back. Quelques bons moments d’humour qui vous arracheront des sourires grâce au personnage français incarné par Sacha Baron Cohen (le Borat !) mais vraiment rien de transcendant. Pas étonnant donc de voir ce film débarquer directement en DVD !

  • Borat, leçons culturelles sur l'Amérique au profit glorieuse nation Kazakhstan

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    Plus que jamais le Kazakhstan a l’intention de s’ouvrir au monde et pour cela, il n’y a pas meilleur représentant que notre pote Borat Sagdiyev (Sacha Baron Cohen) ! Reporter télévisé ô combien célèbre dans son pays, il s’apprête donc à s’envoler vers les terres de l’oncle Sam et le choc culturel sera au rendez-vous. Dès son arrivée, il se fait remarquer (et de quelle manière) mais les choses redeviennent vite sérieux quand il tombe sur Pamela Anderson, direction la Californie pour lui déclarer sa flamme !

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    On en a beaucoup parlé dans les média, le personnage de Borat a sillonné les plateaux télévisés et il était donc presque impossible de passer à coté de ce film complètement fou. Si vous appréciez l’humour au second degré, vous exploserez de rire devant les frasques rocambolesques de notre héros offrant parfois des scènes surréalistes. Moi je me suis régalé mais je sais aussi que cela ne plaira pas à tout et que certains peuvent même être choqués par quelques propos.