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j.b. smoove

  • The dictator

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    A seulement 7 ans, il succédait déjà à son père et allait devenir le dictateur que le monde entier connait aujourd’hui. Hafez Aladeen (Sacha Baron Cohen) règne sur la république de Wadiya et les grandes puissances sont inquiètes d’apprendre que ce tyran possède l’arme nucléaire. L’ONU n’a d’autres choix que d’intervenir et somme Aladeen de s’expliquer sur cette menace potentielle et celui-ci va alors se rendre aux Etats-Unis pour plaider sa bonne foi. Il est cependant loin de se douter que son oncle Tamir (Ben Kingsley), qui lui a suggéré cette idée, s’apprête à le trahir en tentant de l’éliminer et de le remplacer par un sosie. Le dictateur parvient à s’échapper mais désormais démuni de sa légendaire barbe comment va-t-il pouvoir retrouver sa place ?

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    C’est une recette désormais bien connue que nous sort l’excentrique Sacha Baron Cohen qui vient  donc agrémenter sa galerie de personnages loufoque d’un dictateur omnipotent. Si avec Borat ou Brüno, l’artiste était parti dans des délires souvent invraisemblables il reste étonnamment sage dans ses nouvelles aventures. Il n’y a guère que la scène de l’accouchement qui nous permet de retrouver un peu de la folie qui le caractérise, le reste est amusant mais anecdotique. Pas de doute que The dictator arrivera à vous faire rire (ça vaudrait mieux pour vous sinon il vous exécute !) mais on sait aussi que l’acteur est capable d’aller tellement plus loin notamment dans la provocation.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de croire qu’un missile n’a pas besoin d’avoir un bout pointu !

  • Baby-sitter malgré lui

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    Parce que c’est un fils adorable et qu’il voulait rendre service à sa mère, notre pote Noah Jaybird (Jonah Hill) a accepté de jouer les baby-sitters d’un soir et le moins que l’on puisse dire c’est que ça ne l’enchante pas. C’est donc avec une certaine appréhension qu’il se rend chez les Pedulla où l’attendent 3 petits monstres adorables enfants : Blithe, Slater & Rodrigo (Landry Bender, Max Records & Kevin Hernandez). La soirée s’annonce longue et elle ne fait que commencer car Noah reçoit un coup de fil de Marisa (Ari Graynor), sa petite-amie - du moins c’est ce qu’il prétend - qui l’invite à une soirée et lui fait miroiter une belle récompense contre un peu de cocaïne. En baby-sitter consciencieux qu’il est, Noah ne peut pas laisser ces enfants seuls et ils vont donc l’accompagner pour une soirée inoubliable.

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    Quand notre pote Jonah Hill est dans les parages, vous pouvez être certain qu’il va y avoir de la rigolade et c’est une nuit assez hallucinante que vous allez passer avec Baby-sitter malgré lui. N’est pas Mary Poppins qui veut et puis il faut dire qu’avec une petite fille qui abuse du maquillage et qui ne pense qu’à aller en boite ou un petit salvadorien capable d’exploser vos chiottes, ça ne facilite pas les choses. Comédie bien déjantée à l’image de l’apparition de Sam Rockwell dans un environnement pour le moins spécial, on passera donc un bon moment mais une fois sorti de la salle, il ne subsistera pas grand-chose. Le réalisateur David Gordon Green nous avait déjà déçu avec Votre majesté, ça commence à s’améliorer espérons que la prochaine fois ce sera la bonne !

     

     

    Il faut le voir pour : Rester sur vos gardes quand vous irez aux toilettes.