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christine murillo

  • Demi-sœur

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    Handicapée mentale, notre pote Nénette (Josiane Balasko) ne peut pas vivre seule et jusqu’à présent, elle habitait avec sa mère. Hélas, cette dernière vient de mourir et on n’a pas d’autres choix que d’envoyer Nénette dans une maison de retraite dont elle s’échappera à la première occasion. Il faut dire qu’ils voulaient lui retirer sa tortue Totoche et puis elle a une autre idée en tête : se rendre à Angers pour retrouver son père. En effet, en fouillant dans les affaires de sa mère, elle a trouvé une trace de cet homme mais elle arrive trop tard puisque celui-ci n’est également plus de ce monde. Ne reste plus que son fils Paul (Michel Blanc) qui est donc le demi-frère de Nénette qu’elle n’a pas l’intention de quitter.

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    C’est prendre un sacré risque de vouloir incarner un personnage handicapé mentalement ; soit on livre une prestation époustouflante soit on est proche du ridicule. Josiane Balasko s’implique grandement dans Demi-sœur (logique vu qu’elle en signe aussi la réalisation) mais son film est vraiment "Too much". Son interprétation de Nénette devient vite insupportable mais en plus de ça, on n’est pas épargné par la caricature que ce soit au niveau des personnages (Ah ces rockers !) ou des situations. Seul point positif dirons-nous la participation de Michel Blanc qui ne peut toutefois pas sauver cette comédie destinée à sombrer et pas qu’à moitié !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter les sucrettes dans le café !

  • Le vilain

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    Est-ce de la chance ou une punition de Dieu, toujours est-il que rien ne semble pouvoir la blesser. Elle (Catherine Frot) vit seule dans cette maison depuis la mort de son mari et elle se sent d'autant plus isolée que le quartier se vide  à vue d'œil. Chaque maison est rachetée par des promoteurs et elle fait partie des irréductibles qui n'ont pas l'intention d'abandonner leur foyer. Un soir, après 20 ans d'absence, elle reçoit une surprenante visite celle de son fils (Albert Dupontel) adoré qu'elle considère comme un ange. Elle va alors découvrir son véritable visage, celui d'un vilain qui s'adonne dès son plus jeune âge au mensonge et à la tricherie.

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    Qui connait le cinéma d'Albert Dupontel ne sera pas surpris par Le vilain, une comédie bête et méchante avec en vedette Catherine Frot grimée en gentille et revancharde mamie. Sa prestation rehausse d'ailleurs l'intérêt de la nouvelle réalisation de Dupontel car dans l'ensemble on reste dans du classique. Le film ne tient pas le rythme imposé par le départ et doit alors faire intervenir des personnages secondaires pas toujours enthousiasmants pour relancer la machine. Une petite comédie qui reste beaucoup trop sage pour se faire remarquer, dommage le duo entre Catherine Frot & Albert Dupontel était plutôt savoureux à l'écran.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais décevoir votre maman sinon elle vous le fera regretter !