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film - Page 82

  • Hipótesis

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    Buenos Aires. Roberto Bermudez (Ricardo Darín) est un avocat expérimenté qui a décidé de transmettre son savoir à travers des séminaires. Parmi ses étudiants, il ne va pas tarder à remarquer Gonzalo Ruiz Cordera (Alberto Ammann) d’une part parce qu’il s’agit du fils d’un pote d’enfance et d’autre part parce que ce jeune homme fait preuve d’une belle arrogance. Un soir, en plein milieu d’un cours, Roberto et ses élèves sont soudainement intrigués par les sirènes de la Police. Un crime a eu lieu sur le parking de la fac ; une jeune femme a été retrouvée morte après avoir été agressée et l’enquête va longtemps piétiner. Pourtant, le pénaliste est lui convaincu que le coupable est proche puisqu’il s’agirait tout simplement de Gonzalo !

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    Le pays du Tango nous offre un petit thriller avec Hipótesis qui est en fait l’adaptation du roman Thèse sur un homicide de Diégo Paszkowski. Au programme on a un crime sordide avec un coupable tout désigné du moins du point de vue du héros qu’est l’incontournable Ricardo Darín (qu’on a l’impression de voir dans toutes les grandes productions argentines). Difficile alors de maintenir le suspense ce que tente vainement de faire de le film d’Hernán Goldfrid en faisant s’immiscer chez le spectateur quelques doutes. Ça ne fonctionne pas vraiment et le bouquet final sera cette conclusion abrupte qui en frustrera plus d’un mais qui est annoncée par le titre du film.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de jouer avec vos pièces de monnaie.

  • Vampire university

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    En 1711, notre pote Wayne Gretzky (Adam Johnson) - Non rien à voir avec le célèbre hockeyeur - est tombé amoureux de Mary (Julie Gonzalo). Leur histoire allait hélas se terminer de façon dramatique puisqu’il est peut-être nécessaire de préciser que Wayne est un vampire et n’a pu s’empêcher de croquer le cou de la jeune femme qui est morte sur le cou … le coup ! 300 ans plus tard, il n’a pas oublié cette tragédie d’autant plus que depuis tout ce temps il est devenu impuissant puisque ses dents de vampires ne poussent plus. Aujourd’hui professeur d’histoire à l’université, il va avoir un sacré choc lorsqu’il voit débarquer dans sa classe Chris Keller (Julie Gonzalo) qui est le sosie parfait de sa bien-aimée Mary.

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    Un direct-to-video à ne pas confondre avec le Vampire academy qui lui a droit à une sortie ciné le 05 Mars 2014. Qui dit université américaine dit forcément les indispensables fraternités avec les incontournables fêtes mêlant jeunes femmes frivoles et beuveries. Au milieu de tout ça, Vampire university glisse ainsi une histoire aussi passionnante que les premiers besoins de la journée. On aurait presque de la peine pour tous ces comédiens mais en même temps leur jeu est tellement mauvais qu’on est finalement heureux pour eux d’avoir pu trouver du travail. Bref, encore un film sur lequel il ne faut pas planter ses dents mais que ça ne vous empêche pas de l’offrir à vos pires ennemis !

  • Ida

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    Notre pote Anna (Agata Trzebuchowska) veut vouer sa vie à Dieu et dans quelques jours, elle devra prononcer ses vœux mais avant cela la Mère supérieure (Halina Skoczynska) l’invite à rendre visite à sa tante Wanda (Agata Kulesza). Cette dernière ne s’est jamais réellement souciée de sa nièce et les retrouvailles sont loin d’être chaleureuses. A peine le temps de lui montrer une photo, Anna apprendra tout de même qu’elle s’appelle en réalité Ida Lebenstein et qu’elle est juive. C’est sur cette révélation qu’Ida s’apprêtait à retourner au couvant mais Wanda va la faire revenir et surtout l’aider à retrouver la trace de ses parents morts durant la Seconde Guerre Mondiale.

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    A travers le portrait d’Ida, le réalisateur polonais Pawel Pawlikowski revient sur le traumatisme du peuple juif durant cette période sombre de l’Histoire qu’est la Seconde Guerre Mondiale. Si la principale héroïne reste bien Agata Trzebuchowska et sa volonté de dédier sa vie à Dieu, on sera également particulièrement touché par le cruel destin réservé à sa tante Agata Kulesza. Personnage qui apparait au premier abord assez froid et qui se dévoile tout au long de cette enquête. Un joli film porté par un magnifique duo de comédiennes même si le sujet risque d’en laisser plus d’un sur le bord de la route.

     

    Il faut le voir pour : Garder vos fenêtres fermées !

  • Dragon Ball Z : L’offensive des cyborgs

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    Journée shopping pour Chichi qui en profite pour refaire la garde-robe de toute sa famille. Sangoku et Sangohan sont les préposés pour porter les sacs mais en ville, 2 créatures sèment la panique. Ils se dirigent droit sur nos héros et visent plus particulièrement Sangoku qui s’apprête à livrer une nouvelle bataille. Très vite, il se rend compte qu’il s’agit de nouveaux androïdes fabriqués par le Docteur Gero ou plus exactement par ses ordinateurs et ça ne va pas s’arrêter là puisqu’un 3ème adversaire se présente devant lui. Heureusement que Trunks est à ses cotés pour combattre et il pourra aussi compter sur Vegeta et Piccolo qui ne sont jamais bien loin.

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    En plein cœur de la saga Cell, voilà qu’on découvre les nouveaux androïdes du machiavélique Dr. Gero. Place donc aux numéros 13, 14 & 15 et comme dans la série animée il sera encore question de transformation via absorptions avec Dragon Ball Z : L’offensive des cyborgs. L’originalité n’étant pas vraiment le fort de ces films, la tradition est ici parfaitement respectée et on a au final un film qui sent une nouvelle fois l’exploitation à plein nez. Et puis il a beau être un génie ce Gero, il aurait quand même pu nous fabriquer un être ultime directement au lieu d’avoir toutes ces transformations. A la limite, on aurait bien aimé voir débarquer un Cell d’une ligne temporelle différente pour avaler ces cyborgs enfin bon là c’est juste le fan qui parle …

     

    En savoir plus sur Dragon Ball Z : A la poursuite de Garlic ?

    En savoir plus sur Dragon Ball Z : Le robot des glaces ?

    En savoir plus sur Dragon Ball Z : Le combat fratricide ?

    En savoir plus sur Dragon Ball Z : La menace de Namek ? 

    En savoir plus sur Dragon Ball Z : La revanche de Cooler ?

    En savoir plus sur Dragon Ball Z : Cent mille guerriers de métal ?

  • M. Peabody et Sherman : Les voyages dans le temps

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    Parce que ce n’était pas un chien comme les autres et qu’aucune famille n’a voulu l’adopter, M. Peabody s’est consacré au savoir. Ça lui a permis de finir Médor de sa promotion à Harvard et son génie ne semble pas avoir de limites puisqu’il a crée une machine incroyable capable de voyager dans le passé : le Chronomat ! Une invention qui lui a été inspirée par son fils Sherman à qui il enseigne de façon originale l’Histoire à travers de folles aventures. Attention tout de même car il ne s’agit pas d’un jouet et Sherman va faire une petite boulette puisque sa nouvelle pote d’enfance Penny va se retrouver coincée en pleine Egypte ancienne.

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    C’est la dernière création de chez Dreamworks animation et ça pourrait bien réconcilier quelques enfants avec l’Histoire. Association d’un génie qui a du chien et d’un gamin attendrissant de naïveté, ces personnages sont en fait issus d’un dessin animé datant des années 1960. M. Peabody et Sherman : Les voyages dans le temps propose ainsi de visiter plusieurs époques et la rencontre de célèbres personnages le tout mêlé d’une bonne dose de fun. Des graphismes mignons tout plein, de l’humour tout est là pour réunir les familles et on a maintenant qu’une question à l’esprit ; à quand les prochaines aventures avec des voyages dans le futur ?

     

    Il faut le voir pour : Apprendre ce qui a fait sourire Mona Lisa !

  • Les trois frères, le retour

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    Un reliquat de l’héritage de leur mère ! Voilà ce qui va de nouveau réunir les 3 frères que sont Pascal, Didier & Bernard (Pascal Légitimus, Didier Bourdon & Bernard Campan). Une fois encore, ils vont être déçus car s’ils ont l’occasion de récupérer les cendres de leur mère, ils se retrouvent surtout avec une nouvelle dette à régler. Si de leurs cotés, Pascal & Didier  trouvent une belle combine pour protéger leurs précieuses économies, c’est finalement Bernard qui devient le dindon de la farce. Et ça tombe plutôt mal puisqu’il reçoit la visite de sa fille Sarah (Sofia Lesaffre) qui a besoin d’argent pour son inscription à la fac. Ça aurait pu être de belles retrouvailles mais celles-ci vont tourner courts et les 3 frères vont encore se retrouver dans une sacrée galère !

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    Comme pour beaucoup de monde, Les trois frères représente une comédie culte et c’est pourquoi l’annonce d’une suite 18 ans après s’accompagne d’une vraie excitation mêlée à un peu d’inquiétude. Pas besoin d’aller plus loin pour dire qu’on se marre, les Inconnus sont de nouveau réunis et le plaisir de les revoir s’accompagne toujours de bonnes tranches de rires. Néanmoins, il faut souligner un scénario mince voire même un copier/coller de certaines situations avec le premier épisode puisqu’on retrouve la découverte d’un enfant, Didier qui se retrouve dans une famille coincée et qui est ensuite défoncé en compagnie de Bernard ... On en vient presque à se demander si ils nous ont fait Les trois frères, le retour ou Les trois frères, le remake.

     

    Il faut le voir pour : Retrouver de vieux potes d'enfance !

     

    En savoir plus sur Les trois frères ?

  • American bluff

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    Fils de vitrier, notre pote Irving Rosenfeld (Christian Bale) a repris l’activité de son père mais s’est surtout diversifié en faisant l’acquisition de quelques pressings et surtout en montant de belles arnaques. Un jour, il rencontre Sydney Prosser (Amy Adams) et ça semble être un vrai coup de foudre à tel point qu’il décide de lui révéler toute la vérité sur ses activités. Il trouve ainsi non seulement l’amour mais aussi une nouvelle partenaire qui va l’aider à monter ses combines. Le duo fonctionne à merveille jusqu’au moment où ils attirent dans leurs filets un certain Richie DiMaso (Bradley Cooper) qui se trouve être un agent de la CIA. Aussi incroyable que cela puisse paraitre, ça va être le début d’une improbable collaboration.

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    Inspiré en partie par une histoire vraie, American bluff brille d’abord par son beau casting puisqu’on retrouve autour de ce trio Robert De Niro, Jeremy Renner ou encore Jennifer Lawrence. Très vite cependant, le film de David O. Russel (Happiness Therapy, Fighter …) perd de son éclat car l’histoire s’étire sur 2H18 et, sans véritables rebondissements, il est difficile de ne pas trouver parfois le temps long. Même si la transformation de Bale est bluffante, qu’on prend plaisir (ça ne sera peut-être pas le cas pour tout le monde) à avoir le regard plongé dans le décolleté d’Adams ; on finit surtout par se dire qu’on est passé à coté de quelque chose qui aurait pu être bien plus fun.

     

    Il faut le voir pour : Vous demander si vous n’auriez rien oublié au pressing !

  • Les rayures du zèbre

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    La Côte-d’Ivoire, c’est une destination que notre pote José Stockman (Benoit Poelvoorde) connait par cœur. Ce recruteur a en effet ramené de nombreux joueurs de football jusqu’en Belgique et à l’entendre il a le nez et surtout le flair pour repérer les futurs talents. Son regard s’est arrêté cette fois sur Yaya Koné (Marc Zinga) à qui il promet une grande carrière avec comme première expérience une place chez les zèbres de Charleroi. Une fois en Belgique, les choses ne se déroulent pas exactement comme prévu ; le jour du test sur le terrain, Yaya n’est pas au top de sa forme et puis le rapport rédigé par un observateur qui s’est rendu expressément à Abidjan n’arrange pas vraiment les choses.

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    Qu’on se rassure tout de suite, pas besoin d’être un grand passionné du ballon rond pour apprécier Les rayures du zèbre. Ici on s’intéresse surtout aux coulisses et notamment au rôle prépondérant du recruteur incarné par Benoit Poelvoorde ayant son terrain de chasse en Afrique connu pour être un vivier de jeunes footballeurs talentueux. C’est l’occasion de découvrir un monde cruel où les joueurs sont surtout considérés comme de vulgaires marchandises avec tout de même quelques notes d’humour. Pas grand-chose à retenir de ce film ; un portrait acerbe mais quand même pas appuyé suffisamment pour marquer l’esprit des spectateurs si bien qu’on finira par l’oublier assez vite.

     

    Il faut le voir pour : Faire attention quand vous faites une marche arrière en voiture !

  • RoboCop

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    Dans un futur proche, les progrès technologiques ont permis de créer des machines afin d’assister l’armée américaine dans ses interventions à travers le monde. Cependant, pour la société Omnicorp il y a un gros marché qui lui échappe encore ; celui des Etats-Unis où l’opinion public reste hostile face à ces machines. Les choses pourraient bien changer puisque Detroit va assister à la naissance d’un nouvel héros. L’officier de police Alex Murphy (Joel Kinnaman) a été victime d’une terrible explosion qui l’a lourdement handicapé devenant ainsi un sujet d’expérimentation pour Omnicorp. Sous la tutelle du Dr Norton (Gary Oldman), Alex est totalement transformé pour devenir celui que l’on appellera désormais RoboCop.

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    27 ans après la première adaptation dirigée par Paul Verhoeven, le héros a droit à un petit reboot marquant peut-être le début d’une nouvelle saga au cinéma. La bonne idée vient du fait de confier la réalisation à José Padilha qui nous avait séduit avec son Tropa de Elite, une promesse qui ne sera qu’illusoire. Si on ne s’attendait pas forcément à une grande claque, on espérait quand même avoir droit à un petit pop-corn movie histoire de se vider la tête mais ce n’est pas vraiment le cas. La faute avant tout à de bonnes scènes d’action assez rares puisqu’il faut juste se contenter d’un RoboCop tirer dans tous les sens et parfois même en conduisant sa superbe moto. Tout ça manque donc de panache pour séduire.

     

    Il faut le voir pour : (Re)-Découvrir le cousin des Daft Punk !

  • Jack et la mécanique du cœur

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    Notre pote Jack est né le jour le plus froid du monde si bien que son cœur fut gelé lorsqu’il est sorti du ventre de sa mère. C’est grâce à Madeleine qu’il devra sa survie, elle lui a en effet installé une horloge mécanique qui fait office de cœur. C’est elle également qui va l’élever puisque sa mère l’abandonnera en plein milieu de la nuit. Ce n’est qu’à l’âge de 10 ans que Jack aura le droit de se promener dans les rues animées d’Edimbourg puisque Madeleine a toujours cherché à le protéger car son cœur mécanique est extrêmement fragile. C’est à ce moment-là qu’il va faire la connaissance de la belle Miss Acacia et il commence alors à ressentir un sentiment incroyable qu’on appelle l’amour.

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    Adapté du livre de Mathias Malzieu qui se trouve aussi être le chanteur du groupe Dionysos qui se trouve pleinement impliqué dans ce projet, Jack et la mécanique du cœur se distingue déjà par son graphisme et son atmosphère. D’un point de vue personnel, on ne peut pas dire que le visuel soit franchement attrayant contrairement et cet environnement panaché d’univers à la Tim Burton, de steampunk et de freak show. La bande originale est soignée mais les quelques chansons en anglais et en espagnol ne parleront pas aux plus jeunes tout comme le personnage de George Méliès ou encore la prestation peu convaincante de Grand Corps Malade. Le charme n’a donc pas vraiment opéré en dépit de cette poétique conclusion, pas de coup de cœur cette fois !

     

    Il faut le voir pour : Oublier les bouquets de lunettes, ça n’a pas beaucoup de succès !