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film - Page 85

  • L’attaque des tomates tueuses

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    C’est l’affolement général aux Etats-Unis et même le Président semble impuissant face à la menace que représentent … les tomates ! Ces fruits ont fait l’objet de curieuses expériences sous le nom de code Projet GD-3 et ont soudainement pris vie s’attaquant maintenant à toux ceux qu’ils croisent. Mason Dixon (David Miller) est chargé de contrôler cette crise et surtout éviter de provoquer une panique générale auprès de la population. Pour l’aider dans sa mission, on lui a assigné 4 des meilleurs agents de terrain dont un expert du camouflage ou encore une championne de natation. Cette équipe parviendra-t-elle toutefois à contenir les attaques de plus en plus fréquentes de ces tomates tueuses !

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    Oh, ne vous marrez pas tout de suite car avec les OGM et toutes ces manipulations qui sait si cette incroyable histoire ne deviendra pas un jour réalité. Bon d’ici là, c’est sur qu’il est bien difficile de prendre L’attaque des tomates tueuses au sérieux. Réalisée en 1978, cette comédie n’a pas très bien murie même si le second degré très prononcé donne lieu à quelques moments de rigolades. Le must reste évidemment les scènes où entrent en action les fameux fruits rouges sans pitié faisant couler à flot de la sauce tomate ce qui pourrait bien vous dégouter pendant quelques temps du ketchup. Un nanar annoncé et assumé, un film qui pourrait bien égayer une soirée entre potes d’enfance autour d’un bon plat de tomates farcies !

  • R

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    Premier jour d’incarcération à la prison d’Horsens pour notre pote Rune (Pilou Asbæk) qui a écopé d’une peine de 2 ans. Les gardiens l’ont prévenu, il est attendu et plus particulièrement par Mureren (Roland Møller)  qui ne manque pas l’occasion de lui mettre tout de suite la pression. En fait le deal est simple ; si Rune veut rester vivant il devra d’abord s’occuper de l’Albanais et se montrer particulièrement docile avec ses nouveaux potes d’enfance. Débarquant dans un environnement dont il ignore tout tout, il n’a pas d’autres choix que de s’exécuter jusqu’à jouer les fées du logis. Il va toutefois trouver sa place lorsqu’il trouve une combine discrète pour faire passer de la drogue à l’aile Ouest de la prison mais attention à ne pas avoir les yeux plus gros que le ventre !

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    Quand Tobias Lindholm & Michael Noer, réalisateurs respectivement d’Hijacking & de Northwest s’associent ça nous donne R, nouveau film sur l’univers carcéral. Ce n’est pas du coté de l’histoire qu’on trouvera de l’évasion puisque celle-ci se révèle assez classique même si les dernières minutes apportent une petite surprise. Rien à redire en ce qui concerne le casting, les acteurs sont excellents tout en sachant qu’une bonne partie des personnages sont incarnés par d’anciens détenus. Un film qui fait beaucoup penser à la série Oz et en dépit de telles qualités, il faut aussi reconnaitre qu’il n’apporte vraiment rien à ce qui a déjà été fait auparavant.

     

    Il faut le voir pour : Ranger vos oranges et apporter des Kinder Surprise pour les prochaines visites en prison !

  • A coup sûr

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    Grace à son père, Emma (Laurence Arné) a hérité d’un tempérament de vainqueur et c’est ainsi qu’elle a toujours donné le meilleur d’elle-même. Alors quand un homme, en l’occurrence son dentiste, lui dit qu’elle est aussi énergique qu’une limace au lit, elle voit rouge. D’autant plus qu’après un quiproquo avec son collègue de travail Tristan (Eric Elmosnino), le doute va s’installer un peu plus dans l’esprit de la jeune femme. Et si justement son célibat était la conséquence de ses piètres performances sexuelles ? Emma se met ainsi à étudier sérieusement la question d’abord en consultant les meilleurs livres sur le sujet et elle ira jusqu’à interviewer un acteur porno pour obtenir avec plus ou moins de discrétion quelques conseils.

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    Le sujet devient de moins en moins tabou et il n’y a rien de plus confortable qu’une comédie pour évoquer le sexe. On accompagne ainsi Laurence Arné au cours de son apprentissage bien particulier ce qui lui réserve quelques situations insolites mais c’est un premier grand rôle au cinéma qui la dépasse un peu. A la limite les quelques apparitions de Valérie Bonneton sont même plus amusantes. Il y a bien quelques moments qui vous dérideront le visage mais sur la durée, les rires sont loin d’être assurés A coup sûr ! On ne s’attardera donc pas sur les personnages caricaturés (comme le stagiaire) quand ils ne sont pas tout simplement transparents. Une comédie téléphonée qui ne laissera pas un grand souvenir.

     

    Il faut le voir pour : Envisager d’acheter une nappe en PVC parce que ça a l’air bien pratique.

  • V/H/S 2

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    Après avoir surpris un mari en pleine séance d’adultère, notre pote Larry (Lawrence Michael Levine) accompagné d’Ayesha (Kelsy Abbott) se dirige vers un nouveau job. Ce détective privé est en effet chargé de retrouver un jeune étudiant ayant mystérieusement disparu. Il se rend ainsi à la dernière adresse où il vivait et c’est une maison semble-t-il vide que découvrent Larry & Ayesha. Dans une pièce, ils trouvent toutefois de nombreux téléviseurs ainsi qu’un ordinateur où le jeune homme a enregistré une vidéo. Il y a également de nombreuses cassettes vidéos éparpillées dans la pièce et en en visionnant quelques, ils vont découvrir des choses incroyables.

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    Toujours pas décidé à se mettre au DVD, on a donc droit à un V/H/S 2 reprenant la même recette que son prédécesseur. Pour rappel, il s’agit en fait d’une compilation de courts-métrages ayant pour point commun de proposer du found-footage version horrifique. On pourra déjà se réjouir que le nombre d’histoires ait été ramené de 5 à 4 ce qui réduira un peu le calvaire des spectateurs car une fois de plus la qualité n’est pas au rendez-vous. Au programme cette fois ; une invasion de zombie filmée à la caméra Gopro, l’arrivée d’extraterrestres ou encore une secte dépeinte de façon grossière. La seule chose positive de ce projet est de donner leur chance à de jeunes réalisateurs mais rien ne garantit qu’ils auront d’autres opportunités après ce désastre collectif !

     

    En savoir plus sur V/H/S ?

    En savoir plus sur V/H/S : Viral ?

  • Les brasiers de la colère

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    Alors qu’il rentrait chez lui, notre pote Russel Baze (Christian Bale) a eu un terrible accident de voiture qui coutera la vie à 2 passagers dont 1 enfant. Condamné à la prison, sa vie va être bouleversée à commencer par la mort de son père et par la suite lorsqu’il retrouve la liberté, c’est le couple qu’il formait avec Lena (Zoe Saldana) qui se brise. Russel tente de retrouver une vie normale en retournant travailler à l’aciérie de Braddock mais il est préoccupé par son frère. Soldat américain qui a été plusieurs fois envoyé en Irak, Rodney (Casey Affleck) éprouve bien du mal à trouver ses repères et à force de faire n’importe quoi, il a accumulé une sacrée ardoise auprès de John Petty (Willem Dafoe). Aujourd’hui, il en est même venu à participer à des combats clandestins ce qui va le mettre sur le chemin d’un certain Harlan DeGroat (Woody Harrelson).

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    C’est le visage d’une Amérique meurtrie qui nous est présenté par le film de Scott Cooper, on est plongé en plein cœur d’une petite ville qui doit sa prospérité à une aciérie principal pourvoyeur d’emplois mais menacée par la concurrence chinoise. Il y a aussi Casey Affleck, soldat torturé depuis ses expériences traumatisantes en Irak et qui va finir par perdre pied. Dans la description des maux qui hantent Braddock, Les brasiers de la colère se révèle plutôt réussi mais c’est une intrigue qui met trop de temps à se mettre en place qui plombe un peu tout ça. Le casting est phénoménal avec toutefois un bémol sur Woody Harrelson dont le personnage frôle à certains moments la caricature et une Zoe Saldana uniquement présente pour apporter un peu de féminité.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter immédiatement les paris !

  • L’amour est un crime parfait

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    Ce n’est pas vraiment une surprise, notre pote Marc (Mathieu Almaric) termine sa soirée en charmante compagnie. Ce professeur de littérature est un vrai séducteur et nombre de ses étudiantes ont atterri dans son lit au grand désarroi de sa sœur Marianne (Karin Viard) avec qui il partage un chalet. Sa dernière conquête se nomme … ah oui Barbara (Marion Duval) et il se trouve qu’après leur nuit de folie, elle a mystérieusement disparue. Interrogé à ce sujet par un officier de police, Marc s’est bien gardé de mentionner qu’il avait passé la nuit avec elle. Cette affaire devient de plus en plus inquiétante d’autant plus qu’il va également recevoir la visite de Anna (Maïwenn), la belle-mère de l’étudiante.

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    Les frères Larrieu nous plonge en plein polar avec L’amour est un crime parfait, adaptation du roman Incidences écrit par Philippe Djian. C’est avec une délectation non dissimulée qu’on suit les mésaventures de ce pauvre Mathieu Almaric poursuivie par une étudiante nymphomaniaque et des relations plus qu’ambigües avec sa sœur Karin Viard. C’est sur on ne s’ennuie pas même si l’intrigue est finalement assez légère et c’est finalement les paysages en plein cœur des montagnes tout comme l’édifice atypique qu’est cette université qui viennent compenser un peu tout ça en conférant une atmosphère particulière. Bien que plutôt plaisant dans l’ensemble, le film ne laissera au final pas de grands souvenirs.

     

    Il faut le voir pour : Faire attention à ceux qui dorment à côté de vous !

  • Dragon Ball Z : Le combat fratricide

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    C’est un véritable désastre ! Yamcha vient de perdre son vaisseau qu’il venait tout juste d’acheter et pour lequel il a contracté un long crédit. C’est chez Chichi, Sangoku & Sangohan ainsi que tous leurs potes d’enfance qu’il vient trouver un peu de réconfort jusqu’au moment où Maitre Kaio  leur annonce une mauvaise nouvelle. L’arbre de puissance est mystérieusement apparue sur Terre et draine toutes ses forces vitales et c’est la planète entière qui se meurt à petit feu. Nos compagnons vont tenter de le détruire mais trouveront sur leur chemin un Saiyajin du nom de Thalès et ce n’est pas n’importe qui puisqu’il s’agit tout simplement du frère de Sangoku !

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    Et si Sangoku n’avait pas reçu son coup sur la tête en atterrissant sur Terre ? Et bien il serait devenu comme son frère Thalès. Après l’apparition de Raditz, la famille s’agrandit de nouveau pour ce film qui n’a pas grand intérêt et qui, une fois n’est pas coutume, ne respecte pas la continuité de la série animée. Difficile de trouver des points positifs ; Dragon Ball Z : Le combat fratricide propose non seulement un scénario paresseux, des personnages transparents (c’est moi ou les jumeaux Rezun & Rakasei ont des têtes de c... ?) et des combats inintéressants à l’image de l’ultime confrontation entre les 2 frères. On va vite le zapper.

     

    En savoir plus sur Dragon Ball Z : A la poursuite de Garlic ?

    En savoir plus sur Dragon Ball Z : Le robot des glaces ?

  • Mère et fils

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    Lorsqu’elle a appris que son fils unique avait eu un accident de la route, notre pote Cornelia Kerenes (Luminita Gheorghiu) a eu la frayeur de sa vie. Elle est rassurée lorsqu’on lui annonce que Barbu (Bogdan Dumitrache) s’en est tiré indemne cependant il y a bien eu une victime en cette triste soirée puisqu’un garçon de 14 ans est mort. Cornelia se précipite auprès de son fils qui est interrogé au poste de police. La déposition d’un témoin est accablante ; Barbu aurait roulé au-dessus de la limite autorisée si bien que la collision semblait inévitable. En attendant les conclusions de l’enquête en cours, cette mère prête à tout pour son fils va chercher à rencontrer ce témoin avec une idée précise en tête.

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    Portrait d’une mère déterminée à aider son fils, ce personnage ne vous laissera pas indifférent mais pas forcément comme on l’attendait. En effet Cornelia, incarnée par une fabuleuse Luminita Gheorghiu, n’a rien de très sympathique par son allure hautaine et son comportement souvent insolent. Pendant longtemps on est donc confronté à quelqu’un de froid jusqu’à une scène forte où pour la première fois son armure se brise pour laisser s’exprimer en elle la détresse d’une mère. L’histoire de Mère et fils met aussi en lumière le pouvoir apporté par l’argent dans une société roumaine et nous fait penser à Tel père, tel fils de Hirozaku Kore-Eda. Le film de Calin Peter Netzer est toutefois plus difficile à appréhender par une certaine lenteur mais n’en est pas moins riche en émotions.

     

    Il faut le voir pour : Veiller à ramener ce qu’on vous demande d’acheter et pas autre chose !

  • Divin enfant

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    Cela fait maintenant plus d’un an que nos potes Sarah & Jean (Emilie Dequenne & Sami Bouajila) essayent d’avoir un enfant mais l’heureux évènement tarde à venir. Peu étonnant quand on sait que Jean a subit une vasectomie et qu’il ne peut donc plus avoir d’enfants et c’est donc une sacré surprise quand sa femme lui annonce qu’elle est enceinte ! Cette soirée de Noel s’annonce donc animée surtout que parmi les invités se trouvent les 3 anciens compagnons de Sarah à savoir Eric, Xavier & Thomas (Guillaume De Tonquédec, Pascal Demolon & Marco Prince) ainsi que leurs femmes respectives et toute une ribambelle d’enfants. Jean va donc avoir l’occasion de démasquer celui qui couche (encore) avec sa femme !

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    Rien de mieux qu’une belle et grande réunion familiale à Noël pour voir les choses déraper et ce Divin enfant s’annonçait comme une belle foire. Déjà on peut saluer un casting assez riche et cette bande aurait pu nous proposer une comédie plutôt sympa si elle avait basculé davantage dans le second degré. Vu qu’on part d’emblée avec un scénario improbable à travers cette famille recomposée XXL, il aurait fallu assumer le délire jusqu’au bout et nous faire plonger dans une certaine folie. Au lieu de quoi, on devra juste se contenter d’une comédie sans véritables inspirations qui fera juste passer le temps et qui, pour l’anecdote, constitue en fait un remake de la comédie suédoise Happy Christmas !

     

    Il faut le voir pour : Choisir un Père Noël qui n’a pas d’accent !

  • Un vrai cinglé de cinéma

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    Surpris au lit en charmante compagnie, notre pote Steve Wiley (Dean Martin) a quelques dettes à régler. Pas vraiment un souci pour lui puisqu’il a trouvé un bon moyen d’effacer son ardoise ; une tombola est organisée avec un lot exceptionnel à savoir un superbe cabriolet. Grace à une combine, il est sur de remporter le grand prix sauf qu’un autre gagnant va se manifester et il se nomme Malcolm Smith (Jerry Lewis). Comme il n’y a qu’une voiture, elle devra donc être partagée ce qui ne fait pas les affaires de Steve qui va tenter de se débarrasser de ce gêneur qui se révèle être un vrai cinglé de cinéma mais aussi amoureux fou d’Anita Ekberg. Il lui fait ainsi miroiter une rencontre avec cette star et tous deux prennent la route pour Hollywood !

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    Si en guise de prologue, notre pote Jerry Lewis s’amuse à parodier quelques spectateurs à travers le monde, Un vrai cinglé de cinéma est avant tout un road-trip réunissant un duo improbable. Le film restera d’ailleurs dans les annales comme étant la dernière collaboration entre Jerry Lewis & Dean Martin. La route est parsemée d’un humour bon enfant et prend même parfois des chemins absurdes comme ces scènes où brille M. Bascom, le chien du héros. Parsemez le tout d’un peu de romantisme avec l’apparition de Pat Crowley et de quelques moments de comédie musicale et on a au bout de la route un divertissement agréable à découvrir ou à revoir mais pas non plus incontournable.