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film - Page 86

  • Piégé

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    Afghanistan. Un char français retourne à sa base ; dans 4 heures les soldats qui se trouvent à l’intérieur pourront se dégourdir les jambes. Ils n’arriveront jamais à destination car ils vont être victimes d’une embuscade et seuls nos potes Denis & Murat (Pascal Elbé & Laurent Lucas) parviendront à s’en tirer vivants. En inspectant les alentours, ils tombent alors sur un camion rempli d’héroïne, une aubaine qui devrait assurer leurs vieux jours mais Denis ne le voit pas de cet œil. Il décide de contacter la base cependant Murat n’a pas l’intention de le laisser faire, les 2 hommes sont proches d’en venir aux mains jusqu’au moment où Denis met le pied sur une mine. Désormais si le soldat bouge, il meurt !

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    Le scénario est aussi simpliste qu’il est accrocheur ; un soldat met le pied sur une mine et se retrouve Piégé privé de tout mouvement. Tout le problème est alors de faire vivre l’intrigue, une tache pas évidente et malheureusement on se rend vite compte qu’il s’agit là de la première réalisation de Yannick Saillet. Son film est en effet empreint d’une telle naïveté qu’il finit par en devenir risible pour les spectateurs malgré la bonne volonté de Pascal Elbé et comment ne pas évoquer le grand rôle de Caroline Bal (sigh !). Contrairement au héros, vous avez le droit de bouger et ça risque de faire fuir pas mal de monde car on n’y croit pas une seule seconde.

     

    Il faut le voir pour : Regarder où vous mettez les pieds.

  • Sandy Patterson - Arnaque à la carte

    Bonjour, je m’appelle Sandy Patterson (Jason Bateman).

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    01.jpgPardon ? Non, c’est un prénom unisexe, mon père m’a appelé comme cela en hommage au joueur de base-ball Sandy Koufax. Enfin bref, je vous explique la situation : je viens tout droit de Denver car je suis à la recherche de Sandy Patterson (Melissa McCarthy) ou du moins d’une femme qui m’a volé mon identité.

    Non seulement elle a vidé mon compte en banque mais en plus de ça j’ai été arrêté par la police et j’ai même été viré de mon bureau. Je ne peux pas me permettre de perdre mon boulot, j’ai une famille à faire vivre et ma femme Trish (Amanda Peet) est enceinte de notre 3ème enfant.

    02.jpgComme la police de Denver ne peut pas intervenir pour une infraction en dehors de leur juridiction, j’ai été obligé de me déplacer moi-même. J’ai bien l’intention de la trouver et de la ramener pour qu’elle puisse me disculper.

     

    En savoir plus sur Arnaque à la carte ?

  • Les sorcières de Zugarramurdi

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    Il y a foule aujourd’hui à Madrid et quelques passants vont être les témoins d’une scène plutôt insolite puisqu’une boutique d’or vient d’être braquée par Jésus Christ ! Bon sous le déguisement se cache en fait José (Hugo Silva) qui, avec l’aide d’autres complices, a planifié ce coup sans oublier de faire participer son fils Sergio (Gabriel Delgado) dont il avait la garde ce jour-là. Ça tourne rapidement au désastre mais José accompagné de son fils et d’Antonio (Mario Casas) parviennent à s’enfuir avec un joli butin à bord d’un taxi. Ils doivent désormais se faire discret et rejoindre la France (sans oublier de passer par Disneyland) mais sur leur route, ils vont traverser le village de Zugarramurdi réputé pour être l’antre de terrible sorcières.

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    Considéré comme un réalisateur plutôt décalé, Álex de la Iglesia ne semble pas prêt à se calmer comme en témoigne ce 12ème film. Ça commence sur les chapeaux de roue avec une équipe de braqueurs plutôt originale et ça se poursuit au milieu de dizaines de sorcières prêtes à remettre les hommes à leur place à savoir dans leur estomac ! Avec son scénario qui n’est pas sans rappeler le cultissime Une nuit en enfer, le délire et les rires sont bien au rendez-vous mais le plaisir est enrayé par la confusion qui règne parfois à l’écran. Les sorcières de Zugarramurdi (si cela peut attirer quelques curieux, il s’agit d’un véritable village espagnol) est donc un bon divertissement et avec un peu plus de maitrise aurait pu être incontournable.

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’impliquer vos enfants dans vos braquages !

  • V/H/S

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    Gary (Calvin Reeder) et ses potes d’enfance ont une mission précise ce soir ; on leur a demandé de pénétrer dans cette maison et d’y récupérer une cassette vidéo. Ils ignorent quelles images se trouvent dessus mais au prix où ils sont payés, ça doit être quelque chose d’assez extraordinaire et ils ne sont pas au bout de leurs surprises. En effet, en cherchant cette cassette, ils tombent sur le cadavre d’un vieil homme assis devant plusieurs postes de télévision. Alors que les autres continuent de fouiller la maison, l’un d’entre eux doit rester dans la même pièce que le cadavre pour jeter un œil sur les nombreuses cassettes qui trainent là. Il n’est pas prêt d’oublier ce qu’il va voir.

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    Si vous vous attendiez à voir un film, vous faites fausse route car V/H/S rassemble en fait 5 courts-métrages. Un semblant de scénario se débrouille pour nous faire découvrir 5 vidéos façon found-footage et il se trouve que l’ensemble est plutôt homogène au niveau qualitatif puisque c’est bien pourri. On a ainsi droit à une histoire avec une sorte de vampire, une version très allégée de Paranormal activity ou encore un hommage à Vendredi 13 bref ce n’est pas du coté l’originalité qu’on trouvera quelque chose. Heureusement que les cassettes n’existent plus sans quoi on n’hésiterait pas à enregistrer autre chose par-dessus !

     

    En savoir plus sur V/H/S 2 ?

    En savoir plus sur V/H/S : Viral ?

  • Cadences obstinées

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    Une nouvelle année débute et elle s’annonce plutôt chargée pour Furio (Nuno Lopes) à qui l’on a confié la rénovation d’un hôtel. Carmine (Franco Nero) lui a accordé toute sa confiance si bien que de lourdes responsabilités pèsent sur lui et pour y faire face, il pourra compter sur l’aide de son pote Mattia (Ricardo Pereira). De son coté, Margo (Asia Argento) se réjouit beaucoup moins de ce travail car elle sent que le couple qu’elle forme avec Furio est en train de se briser. Qu’il est loin le temps où ils étaient enivrés par l’amour et la jeune femme avait même arrêté le violoncelle pour lui mais elle va avoir l’occasion de s’y remettre puisqu’elle a promis à Carmine qu’elle jouerait pour l’inauguration de l’hôtel.

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    Voici donc le 2nd long-métrage de Fanny Ardant en tant que réalisatrice et elle signe également le scénario de ce drame qui risque de tomber dans les oubliettes du cinéma français. La faute déjà à une histoire peu voire pas passionnante avec ce couple qui s’aime autant qu’il se déchire mais qui nous laisse indifférent. Coté réalisation dans l’ensemble c’est assez soigné mais il ne faut pas se le cacher c’est quand même soporifique et pire encore cette scène de l’inauguration de l’hôtel frôle l’amateurisme (ce qui a du rassurer Mika pour son rôle primordial). Reste enfin le choix d’Asia Argento en tant que personnage principal et qui, par moment, fait irrémédiablement penser à l’artiste française et c’est bien là tout ce qu’on pourra retenir de ces Cadences obstinées.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de confier des enveloppes à des joueurs de poker !

  • American Bluff

    Le bluff est un art qu'il faut apprendre à maitriser et c'est ce que l'on va découvrir en compagnie de Christian Bale, Bradley Cooper, Amy Adams, Jennifer Lawrence et Jeremy Renner. American Bluff s'inspire en partie de faits réels et l'on y verra un couple d'escrocs collaborer avec le FBI pour identifier un politicien véreux.

    Date de sortie : 05 Février 2014.


  • Philomena

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    C’est son anniversaire aujourd’hui et notre pote Philomena Lee (Sophie Kennedy Clark / Judi Dench) aurait du fêter les 50 ans de son fils Anthony. Après avoir longtemps gardé son secret, elle a tout raconté à sa fille Jane (Anna Maxwell Martin) ; comment elle a eu cet enfant alors qu’elle n’était encore qu’une jeune femme grandissant à l’abbaye de Roscrea et surtout qu’elle a du assister, impuissante, au départ de son enfant. Depuis ce jour, elle n’a jamais plus eu de nouvelles mais avec l’aide d’un journaliste, Martin Sixsmith (Steve Coogan), elle aimerait retrouver sa trace. Ils débutent leurs recherches en retournant à l’abbaye mais apprennent qu’un incendie a frappé les archives faisant disparaitre tout espoir. C’est finalement dans un bar non loin de là que Martin apprendra que la plupart des enfants qui ont quitté Roscrea ont rejoint les Etats-Unis.

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    Philomena Lee n’est pas un personnage fictif puisque ce nouveau film de Stephen Frears s’inspire du livre écrit par le journaliste Martin Sixsmith qui avait justement vécu cette incroyable aventure humaine. Il faudrait être insensible pour ne pas être touché par cette histoire ô combien émouvante surtout que Judi Dench est délicieusement attachante. Le début est un peu poussif, la suite devient un peu plus passionnante avec cette quête qui trouvera un incroyable bouleversement au milieu du film. C’est aussi à partir de ce moment là qu’on sent l’intérêt décroitre si bien qu’au final le résultat se révèle assez mitigé ;  s’il ne nous marquera outre mesure on retiendra avant tout le sort de ces enfants irlandais vendus aux familles américaines.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de voyager sur Ryanair si vous voulez des consommations gratuites !

  • Dragon Ball Z : Le robot des glaces

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    Oolong a remarqué que quelqu’un cherchait à réunir les 7 boules de cristal et c’est ainsi qu’il s’est rendu aux montagnes Tsurumaï Tsuburi avec son pote d’enfance Sangohan. Peut-être parviendra-t-il à demander à Shenron d’exaucer un vœu qui lui tient à cœur mais les choses ne se passeront pas comme prévu. Ils vont en effet assister à la résurrection d’un savant : le Dr. Willow qui dans le passé a réalisé d’étranges expériences avec son assistant le Dr. Kochin. Oolong et Gohan vont alors être attaqués par des créatures surgies de nulle part mais seront sauvés par Piccolo qui disparaitra de manière inquiétante.

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    Soyons franc et concis, c’est certainement l’un des plus mauvais films de la saga déjà parce qu’il ne rentre pas du tout dans la continuité de la série et aussi parce que les personnages qui y sont présentés sont de pales copies. Il y a ces petites créatures cousins pas si lointains des Saibaimen plantés par Nappa & Vegeta ou encore ces hommes de main portant ce qui ressemble étrangement à la tenue de combat des hommes de Freezer. On a donc une galerie d’adversaires totalement ridicules et ce n’est pas le Dr. Willow qui va venir relever le niveau. Non, en fait la seule et maigre consolation de Dragon Ball Z : Le robot des glaces c’est de voir de nouveau Tortue Géniale en action, en dehors de ça il faut vite l’oublier !

     

    En savoir plus sur Dragon Ball Z : A la poursuite de Garlic ?

  • Belle comme la femme d'un autre

    Audrey Fleurot est testeuse de fidélité c'est à dire qu'elle va tout faire pour séduire ses clients et gare à eux si ils se montrent infidèles. Zabou Breitman va faire appel à ses services pour tester son mari Olivier Marchal mais les choses vont vite déraper dans Belle comme la femme d'un autre.

    Date de sortie : 22 Janvier 2014.


  • The spectacular now

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    A 18 ans, notre pote Sutter Keely (Miles Teller) peut difficilement se plaindre de sa situation ; il a un job plutôt sympa, une belle voiture et surtout Cassidy (Brie Larson), la petite-amie idéale. Seulement le couple vient de se séparer et pour célébrer l’évènement, le jeune homme ne trouve rien de mieux que d’abuser de l’alcool jusqu’à se réveiller complètement hagard au milieu d’un jardin. Il se retrouve ainsi aux pieds d’Aimee Finicky (Shailene Woodley) qui le connait puisqu’ils sont dans le même lycée, va alors naitre entre eux une relation ambigüe. En effet, Sutter n’a pas complètement perdu l’espoir de reconquérir Cassidy tandis que pour Aimee, il s’agit là de sa première expérience amoureuse et qu’elle va se livrer à lui corps et âme.

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    Adapté du roman homonyme de Tim Tharp, The spectacular now reprend au départ les codes du teen-movie à travers son héros. Camarade populaire et beau séducteur, Sutter ne pense qu’à s’éclater notamment avec sa vasque de Whisky qui ne le quitte jamais. On s’attend alors à tout moment à ce que le film de James Ponsoldt bascule dans le banal et c’est là qu’il trouve le moyen de rebondir à travers l’histoire de ce père qui va expliquer beaucoup de choses et notamment ce difficile passage à l’âge adulte. On ne peut rien reprocher aux comédiens, il y a juste le personnage d’Aimee qui manque vraiment de caractère pour donner un véritable relief à ce nouveau portrait de l’adolescence américaine plutôt réussi.

     

    Il faut le voir pour : Dire deux mots à votre mère …