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cinema - Page 176

  • La colère des Titans

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    Après sa bataille épique contre le Kraken, notre pote Persée (Sam Worthington) et son fils Hélios (John Bell) se sont retirés sur une ile où le héros est devenu un simple pêcheur. Zeus (Liam Neeson) vient pourtant solliciter son aide ; les hommes ne prient plus les Dieux dont les pouvoirs ne cessent de s’amenuiser et cela pourrait permettre aux Titans de se libérer du Tartare. Persée ne souhaite plus être mêlé à ses histoires mais bien malgré lui il va devoir prendre part à cette bataille titanesque. Arès (Edgar Ramírez) a en effet trahi Zeus & Poséidon (Danny Huston) et s’est rallié à Hadès (Ralph Fiennes) afin de libérer Cronos, roi des Titans et père des Dieux.

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    Sans un petit paquet de pop-corn, c’est un film qui perd déjà beaucoup de son intérêt ! Vous l’aurez compris, on ne fait pas dans la dentelle avec La colère des Titans, la suite de Le choc des Titans qui avait été confié aux mains du français Louis Leterrier mais qui laisse sa chaise de réalisateur à Jonathan Liebesman. On ne s’est évidemment pas beaucoup trifouillé les méninges pour pondre le scénario et en même temps ce n’est pas ce qu’on est venu chercher mais de l’action. Après une petite mise en bouche plutôt sympa, l’odyssée de Persée trouve son petit rythme de croisière pour se conclure avec une confrontation qui n’a rien à envier avec celle du Kraken. Léger mais en tout cas plus divertissant que son prédécesseur.

     

    Il faut le voir pour : Recommencer à prier les Dieux mais pas n’importe lesquels !


    En savoir plus sur Le choc des Titans ?

  • Les pirates ! Bons à rien, Mauvais en tout

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    Cette année sera celle de sa consécration, notre pote le Capitaine Pirate sent que le vent lui est favorable et qu’il deviendra à n’en pas douter le pirate de l’année ! Pourtant, ses illusions s’effondrent rapidement lorsqu’il se rend compte du fossé qui le sépare de ses principaux rivaux que sont Black Bellamy, Liz Lafaucheuse ou Hastings Jambe-de-bois S’il veut décrocher cette récompense, il doit mettre la main sur un gros trésor mais tout ce qu’il parvient à obtenir c’est de faire la connaissance de Charles Darwin. Celui-ci lui révèle que Polly, le perroquet du Capitaine, est en réalité un dodo une race aujourd’hui éteinte. Cela pourrait être la découverte de l’année mais pour cela, il faut se rendre à Londres au cœur du royaume de la Reine Victoria qui déteste les pirates.

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    Les studios Aardman Animations créateurs de Wallace & Gromit font leur come-back et se lancent à l’abordage des salles obscures avec ce rafraîchissant film d’animation. On embarque en compagnie d’un équipage qui n’a pas vraiment le vent en poupe dirigé par un capitaine qui rencontre plus de succès lors des soirées jambon que lorsqu’il s’agit d’attaquer les navires. On est toujours émerveillé par le stop-motion magnifiée par des moyens techniques plus modernes, un sacré bol d’air dans l’inondation de films d’animation en images de synthèse. Que l’on soit petit ou grand, on se laissera aisément voguer sur les flots du plaisir avec Les pirates ! Bons à rien, Mauvais en tout.

     

    Il faut le voir pour : Vous faire pousser la barbe, on peut y ranger plein de choses !

  • La terre outragée

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    Le 25 Avril 1986, il fait encore bon vivre à Pripiat. Le jeune Valery (Vladyslav Akulyonok) se promène avec son père et profite de cette ballade pour planter un pommier, Anya & Piotr (Olga Kurylenko & Nikita Emshanov) roucoulent à la veille de leur mariage ce seront les dernières réminiscences du bonheur qu’offrira cette ville ukrainienne. Un accident vient d’avoir lieu à la Centrale nucléaire Lénine et va provoquer l’une des pires catastrophes de l’histoire. Le soleil naissant laisse place à une pluie chargée de la radioactivité ambiante si bien que Pripiat va devoir être évacuée totalement.  Alors que Valery perd la trace de son père, Anya apprend elle que son mari est gravement irradié.

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    Personne ne pourra oublier ce qui s’est passé à Tchernobyl (heureusement pour nous la radioactivité s’est arrêté pile à nos frontières) et encore moins après les récents évènements à Fukushima. La terre outragée revient sur cette terrible catastrophe en mettant en lumière le funeste destin de la ville de Pripiat et de ses habitants. Si dans un premier temps le film parvient à garder notre attention jusqu’à l’évacuation par la suite on est rapidement décroché ; les personnages d’Anya & Valery ne parviennent en aucune façon à donner de l’ampleur à l’histoire. Complétez cela par une réalisation des plus ternes et vous risquez donc d’être fatalement exposé à de fréquents assoupissements.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus jamais sortir les jours de pluie !

  • Perfect sense

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    Trouvera-t-elle un jour un homme qu’elle pourra sincèrement aimer ? C’est la sempiternelle question que se pose notre pote Susan (Eva Green). Cette épidémiologiste n’a pourtant pas à chercher bien loin car elle va faire la connaissance de Michael (Ewan McGregor) qui travaille au restaurant situé juste en bas de chez elle. Si un nouveau couple se forme, il y a actuellement un curieux phénomène qui frappe le monde entier ; certaines personnes perdent soudainement leur odorat. Jusqu’à présent on est incapable de trouver une explication à cela et ce mal ne va cesser d’évoluer car après l’odorat, ce sont le goût et ensuite l’ouïe des Hommes qui sont affectés.

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    Humez l’odeur du pop-corn, écoutez les conversations pas si discrètes de vos voisins et mangez du regard le duo Eva Green / Ewan McGregor ; Perfect sense a pour ambition de vous faire redécouvrir vos sens. Dans son postulat de départ, ce film de David MacKenzie pourrait bien vous rappeler le Blindness de Fernando Meirelles, mêmes effets et mêmes conséquences sur une humanité complètement déboussolée. On serait aussi tenté de dire qu’on retrouve une pincée de Contagion avec une paranoïa édulcorée par la romance de Susan & Michael. Un film qui sent donc un peu le réchauffé avec un thème déjà exploré malgré tout on se laisse entrainer dans ce scénario catastrophe et qui sait prémonitoire …

     

    Il faut le voir pour : Préparer votre stock de gras et de farine !

  • 2 days in New-York

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    Son histoire avec Jack fut une étape dans sa vie au terme de laquelle est né leur fils Lulu (Owen Shipman) ; aujourd’hui notre pote Marion (Julie Delpy) a trouvé un nouveau compagnon. Il s’appelle Mingus (Chris Rock), il a d’abord été un pote d’enfance et un précieux confident puis un couple s’est formé. Lui est également séparé et a une fille ; c’est donc une famille totalement recomposée qui est en train de se former. En cette fin du mois d’Octobre, Marion a la chance de pouvoir exposer ses plus belles photos et à cette occasion elle a convié son père Jeannot (Albert Delpy) et sa sœur Rose (Alexia Landeau) à venir passer quelques jours à New-York. Une arrivée que Mingus n’est pas prêt d’oublier !

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    Julie Delpy est insatiable ; comédienne, réalisatrice et scénariste elle donne ainsi une suite à sa romance entamée dans 2 days in Paris. Adam Goldberg n’est plus de la partie et c’est Chris Rock qui prend la relève et qui va faire les frais de l’invasion de sa belle-famille armée de fromages et saucissons. C’est d’ailleurs Alexia Landeau, Albert Delpy & Alexandre Nahon qui viennent provoquer un véritable capharnaüm pour le plus grand plaisir des spectateurs. A l’image de son auteure, c’est une comédie décalée avec comme point d’orgue la vente d’une âme à une guest-star ; 2 days in New-York est atypique mais pas trop et nous offre un joli dépaysement.

     

    Il faut le voir pour : Trouver le bon moyen de calmer vos voisins mécontents.

  • Mince alors !

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    Notre pote Nina (Lola Dewaere) et son mari Gaspard (Gregory Fitoussi) bossent dans la mode et ont monté leur propre boite qui est en pleine expansion. Ils ont reçu il n’y a pas si longtemps encore la visite de clients italiens particulièrement intéressants mais un léger accident est venu perturber la rencontre ; un problème de taille. Après cette mésaventure, Gaspard a eu la délicatesse d’offrir à sa femme un beau séjour à Brides-les-bains pour une durée d’un mois, le temps qu’il faut pour lui faire perdre quelques kilos ! Une cure d’amaigrissement qui est devenu un rendez-vous annuel pour Emilie (Catherine Hosmalin) ou encore l’excentrique Sophie (Victoria Abril) qui est pourtant aussi fine qu’une crêpe.

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    Je dois avouer que lorsque j’ai vu qu’il s’agissait d’une comédie réalisée par Charlotte de Turckheim, j’avais quelques appréhensions. Le souvenir désastreux que j’avais de son dernier film Les aristos m’avait glacé le sang et c’est donc presque avec un certain soulagement que je suis sorti de la salle. Bon on ne va pas non plus dire qu’il s’agit d’une merveille, loin de là, Mince alors ! ne fait pas dans la finesse quand il s’agit d’humour et se sert de blagues ou d’expressions qu’on connait déjà tous par cœur. D’autant plus que lorsqu’il s’agit d’offrir plus de profondeur à des personnages comme Roxanne et son "petit frère" cela se fait plutôt grossièrement si bien que cette comédie est semblable à un mauvais régime ; ça ne sert à rien.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de faire les courses avec votre copine super svelte, c’est déprimant !

  • Maman, j’ai raté l’avion

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    C’est l’effervescence chez la famille McCallister ; chacun court dans tous les sens pour préparer ce voyage exceptionnel à Paris pour les fêtes de Noel mais Kevin (Macaulay Culkin) lui se sent un peu délaissé. Il voit rouge quand son grand frère Buzz (Devin Ratray) dévore la seule pizza aux fromages et en guise de punition, sa mère Kate (Catherine O’Hara) l’envoie passer la nuit au grenier. Une soirée agitée également au niveau de la météo puisque des vents violents vont provoquer une coupure de courant. Panne de réveil pour tout le monde le lendemain matin et c’est de nouveau la panique ; leur avion décolle dans 45 minutes !! Personne ne va le réaliser tout de suite et ce n’est qu’une fois dans le ciel que Kate va se rendre compte qu’ils ont oublié Kevin à la maison !

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    Le film qui a révélé Macaulay Culkin et en même temps c’est aussi le seul avec lequel il rencontrera le succès, oui j’avoue j’ai une tendresse particulière pour Maman, j’ai raté l’avion. Une de ses œuvres qui aura marqué mon enfance car on a tous secrètement rêvé un jour de vivre sans l’autorité parentale et je suis convaincu qu’aujourd’hui encore ce film pourrait séduire le jeune public. Il est évident que cette comédie signée Chris Columbus joue énormément sur la caricature avec entre autre le duo de voleurs incarné par Joe Pesci & Daniel Stern mais on se laisse facilement séduire par l’ingéniosité du petit Kevin qui a des faux airs de Denis la malice. Une comédie qui respire la nostalgie !

     

    En savoir plus sur Maman, j'ai encore raté l'avion ?

  • Les adieux à la reine

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    14 Juillet 1789. C’est une journée ordinaire qui semble se profiler à la Cour de Versailles et pour notre pote Sidonie (Léa Seydoux), la lectrice personnelle de la reine Marie-Antoinette (Diane Kruger). Ce n’est que le lendemain qu’elles prendront conscience qu’une page de l’histoire est en train de s’écrire ; le peuple français vient en effet de s’emparer de la Bastille. Commence alors une période de trouble durant laquelle on craint que Versailles ne soit à son tour envahi. Alors que Marie-Antoinette se prépare à se réfugier à Metz, elle confie à Sidonie un secret de polichinelle : l’amour qu’elle porte à la Comtesse Gabrielle de Polignac (Virginie Ledoyen).

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    Comme l’a si bien rappelé notre pote Jean-Luc Mélanchon, la prise de la Bastille est un des grands évènements de l’histoire française et on le redécouvre ici au prisme du regard du personnage de Sidonie, servante proche de Marie-Antoinette. Adapté du livre de Chantal Thomas, Les adieux à la reine séduit par son casting féminin de haut vol avec toutefois quelques réserves sur Diane Kruger qui ne sera pas une reine inoubliable. Les portes de Versailles nous sont donc grandes ouvertes pour découvrir les derniers râles d’une souveraine en pleine détresse, la seule chose c’est que ça manque par moment d’intensité pour nous emballer complètement.

     

    Il faut le voir pour : Avoir une illustration parfaite de l’expression "Sauver sa tête" !

  • Rencontre exclusive avec Julie Delpy pour la sortie de 2 days in New-York !!

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    Journée consacrée à notre chère Julie Delpy en ce samedi 31 Mars et cela débute tout d’abord par une séance de cinéma à 13 heures. Le mercredi 28 Mars est donc sorti dans nos salles obscures 2 days in New-York, suite de 2 days in Paris. On retrouve l’artiste aussi bien devant que derrière la caméra mais Julie Delpy étant un ogre de travail en signe également le scénario.

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  • Bellflower

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    Californie. Woodrow & Aiden (Evan Glodell & Tyler Dawson) sont potes d’enfance et partagent ensemble un vieux rêve ; avoir une voiture à la Mad Max qui leur permettra de flamber le jour où l’Apocalypse frappera la Terre. En attendant la fin du monde, Woodrow a fait la connaissance de Milly (Jessie Wiseman) autour d’un succulent plat de grillons et le courant passe plutôt bien entre les deux. Après une virée au Texas, un couple se forme donc mais en amour tout va très vite et le jeune homme a la mauvaise surprise de découvrir un jour sa petite-amie au lit avec un autre. A partir de ce moment, ils vont s’entre-déchirer et cette histoire pourrait trouver une dramatique conclusion.

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    Petit flash-forward en guise d’introduction et c’est un joli avant-gout de ce que nous réserve le Bellflower d’Evan Glodell qui s’implique devant et derrière la caméra. Tout commence par une banale histoire d’amour mais qui va rapidement connaitre une issue dramatique. Pour sa première expérience sur le grand écran, le réalisateur démontre déjà une belle maitrise en donnant un véritable rythme à sa narration qui amène parfois un peu de confusion chez le spectateur. Le film séduit également par un casting tout aussi rafraichissant qu’il est efficace ; outre l’immanquable Glodell, la belle Jessie Wiseman ne nous laisse pas indifférent. Séance découverte assurée !

     

    Il faut le voir pour : Installer un distributeur de boisson dans votre caisse !