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Comédie - Page 30

  • Arrête ou je continue

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    A première vue, Pomme & Pierre (Emmanuelle Devos & Mathieu Almaric) forment un couple ordinaire mais leur relation est en fait au creux de la vague. Pierre semble de plus en plus distant ce qui fait croire à sa femme qu’il voit quelqu’un d’autre et pourquoi pas Mellie (Joséphine de la Baume), la Miss météo ? C’est au cours d’une randonnée que le couple va connaitre sa première véritable crise puisque Pomme décide soudainement de rester seule dans la foret. Un sac à dos rempli de quelques provisions et la voilà prête à jouer les survivantes ce qui ne parait pas inquiéter plus que ça Pierre.

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    C’est de nouveau un couple en crise qui s’invite sur nos écrans et nos potes Emmanuelle Devos & Mathieu Almaric se retrouvent pour leur 6ème film ensemble. Une complicité évidente qui se ressent dès les premiers instants. A priori, l’histoire est assez banale mais elle est relevée ici par des dialogues parfois surréalistes offrant à Arrête ou je continue un certain charme. Les gaffes répétées de Pomme ou la peur de Pierre de croiser d’autres randonneurs sont aussi là pour apporter un brin d’humour ce qui ne fait pas oublier à certains moments la longueur du film notamment durant cette paisible retraite en foret. Amusant mais ça n’ira pas plus loin.

     

    Il faut le voir pour : Aller vous promener en foret (mais n’y abandonnez pas votre femme !).

  • Un week-end à Paris

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    Il fallait marquer le coup pour leur 30ème anniversaire de mariage et c’est ainsi que nos potes Meg & Nick Burrows (Lindsay Duncan & Jim Broadbent) ont programmé un joli week-end à Paris. Quoi de mieux que la ville la plus romantique au monde pour cet évènement mais à leur arrivée, tout ne se passe pas comme prévu. Il y a d’abord eu  un hôtel miteux où on a voulu leur donner une chambre aux couleurs beiges ce qui a fait sortir Meg de ses gonds. Après une visite de la ville en taxi, ils finissent par trouver refuge dans un luxueux hôtel, ce qui ne semble pas rassurer Nick qui surveille attentivement leurs finances.

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    En réunissant Lindsay Duncan & Jim Broadbent pour Un week-end à Paris, on s’attendait à voir le couple roucouler devant la Tour Eiffel mais c’est un couple fragile qui se présente à l’écran. Unis par l’amour, les nombreuses années partagées ensemble semblent avoir également fait place à des questionnements voire des doutes sur leur vie commune. D’accord les 2 comédiens sont sympathiques et donneraient presque envie de se lancer dans une escapade dans la capitale française mais le film finit par devenir totalement monotone pour ne pas dire ennuyeux. La cerise sur le gâteau étant ce diner avec un Jeff Goldblum parfait dans le rôle de maitre de cérémonie irritant.

     

    Il faut le voir pour : Demander la couleur de la chambre avant de réserver votre hôtel !

  • Vampire academy

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    Après s’être cachées pendant plus d’un an, nos potes Rose & Lissa (Zoey Deutch & Lucy Fry) ont été retrouvées et immédiatement reconduites à la Vampire Academy. Vous l’aurez certainement deviné, elles ne sont pas des étudiantes ordinaires ; Lissa est en fait une Moroï et jeune princesse issue de la prestigieuse famille Dragomir tandis que Rose est son gardien comme tous les Dhampyr. Il existe également une 3ème race de vampire, les Strigoï totalement incontrôlables et qui ne pensent qu’à épancher leur soif de sang. D’ailleurs, à peine sont elles arrivées qu’elles assistent déjà à une attaque mais heureusement que Dimitri (Danila Kozlovsky) est là pour surveiller leurs arrières !

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    C’est de nouveau l’adaptation d’une série de romans (de Richelle Mead)  auquel on a droit avec Vampire academy, un mélange plus ou moins subtil entre Harry Potter plongé dans l’univers des suceurs de sang, pourquoi pas. Le problème c’est qu’au bout d’à peine 15 minutes, on est totalement submergé avec la présentation des Moroï, Strigoï et Dhampir sans oublier les pensionnaires de cet établissement scolaire atypique. Résultat, on passe totalement à coté du scénario et on doit alors subir le film de Mark Waters pendant plus d’une heure avant d’avoir quelques éclaircissements. Même si Zoey Deutch est assez charmante, il en faudra plus pour s’éclater peut-être pour l’éventuelle suite ?

     

    Il faut le voir pour : Ne plus accepter les colliers qu'on vous offre !

  • N’importe qui

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    "C’est en faisant n’importe quoi qu’on devient n’importe qui". Si vous connaissez cet adage alors vous faites certainement partie des milliards de clics qui ont fait la réputation du montpelliérain Rémi Gaillard. Provoquer un bouchon en se déguisant en escargot, soulever la Coupe de France en se faisant passer pour un joueur de football, donner vie à Mario kart ; ses vidéos ont fait le tour du monde et aujourd’hui encore avec ses potes d’enfance Arnaud, Gérald & Greg (Alban Ivanov, Sylvain Katan & Franc Bruneau) il continue à faire n’importe quoi. C’est une chose que ne supporte plus sa petite-amie Sandra (Nicole Ferroni) qui aimerait bien qu’il devienne un peu plus sérieux, et si son rêve devenait réalité ?

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    Comme des millions d’internautes, difficile de ne pas se marrer devant les exploits de Rémi Gaillard mais l’annonce d’une arrivée au cinéma avait de quoi laisser perplexe. Sur la forme, on aurait pu s’attendre à une succession de défis tous plus fous les uns que les autres mais N’importe qui essaie de s’imposer en tentant de développer une pseudo-histoire. Restons objectifs, les seuls vrais bons moments sont les fameuses caméras cachées qu’on voit et revoit toujours avec grand plaisir. Quant à cette exploitation cinématographique, on a du mal à comprendre ce projet si ce n’est qu’il est mené à des fins purement commerciales. Mieux vaut rester à la maison et chercher les vidéos sur Internet !

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais traiter Rémy de parisien !

  • Very Bad Games

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    Ils n’ont pas pu se rendre à Las Vegas et c’est finalement au Chief Loose Slots que Doug (John Livingston) va fêter son enterrement de vie de garçon en compagnie de ses potes d’enfance Bradley, Ed & Zach (Ross Nathan, Ben Begley & Herbert Russell). Ils avaient promis de rester sages mais allez savoir comment ils se sont débrouillés mais ils se sont réveillés avec une sacrée gueule de bois … ah et aussi en l’an 2213 ! Alors qu’ils émergent progressivement, ils apprennent non seulement que Doug a disparu mais aussi qu’ils font route pour le prochain tournoi des Hungover Games. Plusieurs districts se disputent la victoire et il n’y aura qu’un survivant.

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    Vous aviez demandé une nouvelle parodie ? Non et bien ce n’est pas grave car voici venir Very Bad Games à savoir un mélange entre la saga comique Very bad trip et bien entendu le phénomène Hunger Games. Bien sur, vous verrez d’autres détournements avec un Thor gay, un Ted encore plus vicieux ou encore le clan des Johnny Depp déguisés. Dans le même style, on avait déjà le Starving games du binôme Aaron Seltzer & Jason Friedberg mais cette "comédie" réussit à être encore plus désastreuse. L’humour est une superbe compilation de mauvais gout et parfois même scabreux en envahissant les scènes de sex toys, de nouveau un joli film à offrir à vos pires ennemis.

  • Week-ends

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    Les 2 couples que forment Christine & Jean (Karin Viard & Jacques Gamblin) et Sylvette & Ulrich (Noémie Lvevski & Ulrich Tukur) sont potes d’enfance depuis des années et se trouvent être également voisins. En fait, ils avaient toujours rêvé d’une belle maison à la campagne proche de la mer et ont tout simplement exaucé leurs vœux. Ils coulaient ainsi des jours heureux auprès de leurs enfants jusqu’à cet évènement aussi inattendu qu’incompréhensible ; Jean a décidé de quitter Christine. Depuis, le couple ne cesse de se déchirer et au fil du temps Sylvette & Ulrich revoient leurs potes d’enfance occuper leur ancienne maison à tour de rôle.

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    Un couple d’amis qui se séparent, ce n’est jamais facile à gérer et Week-ends propose ainsi une vision particulière de ce sujet. On s’installe ainsi dans leurs maisons de campagne où l’on partage volontiers en leur compagnie le café ou un bon gigot devenant ainsi les témoins privilégiés de la séparation entre Jacques Gamblin & Karin Viard. Cette dernière apporte un vrai dynamisme au film à tel point qu’on finit par s’ennuyer durant ses quelques absences à l’écran. Pas toujours évident à appréhender, on reste un peu confus devant ce film d’Anne Villacèque puisqu’on ne sait jamais vraiment s’il vaut mieux rire ou pleurer des situations dans lesquelles sont plongés ces personnages.

     

    Il faut le voir pour : Chercher une belle maison au bord de la mer !

  • The Grand Budapest Hotel

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    Autrefois, le Grand Budapest Hotel faisait la fierté de Zubrowka. Ce n’était pas qu’un simple hôtel ; il s’agissait d’une véritable institution ! Le propriétaire se nomme Zero Moustapha (F. Murray Abraham / Tony Revolori) et à chacun de ses passages, il occupe toujours la même chambre, une petite chambre de bonne située au dernier étage. Ça pourrait vous étonner mais lorsqu’il a fait ses premiers pas dans ce lieu magique, il n’était qu’un simple Lobby boy. Il sera alors pris sous l’aile de M.Gustave (Ralph Fiennes), le concierge avec lequel il s’apprête à vivre une incroyable aventure. Assassinat, héritage, amour et pâtisseries ; après ça la vie de Zero ne sera plus jamais la même !

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    Ce qui est sur c’est qu’on oublie rarement un film de Wes Anderson et ça peut être aussi bien dans le sens positif que négatif. Une nouvelle fois, il nous entraine dans une drôle d’histoire en compagnie de Ralph Fiennes et du jeune Tony Revolori. En chemin, on a alors le loisir de croiser la méconnaissable Tilda Swinton ou encore d’apprécier le doigté de Willem Dafoe. Pas de doute, The Grand Budapest Hotel est une démonstration de la maitrise du réalisateur américain cependant on a un peu de mal à accrocher avec une première partie d’abord confuse puis laissant place à un certain ennui. Pour le reste il n’y a rien à dire on a une comédie haute en couleurs et surtout imprévisible, vous pouvez y réserver une chambre immédiatement !

     

    Il faut le voir pour : Constater qu’un chat ne retombe pas toujours sur ses pattes !

  • The starving games

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    Comme les nombreux habitants du District 12, notre pote Kantmiss Evershot (Maiara Walsh) a grave la dalle et ce n’est pas avec ce qu’elle rapporte de la chasse qu’elle va pouvoir se remplir le ventre. C’est alors qu’a lieu la 75ème édition des Starving Games où le vainqueur pourra non seulement avoir un vieux jambon mais aussi un coupon promotionnel de Subway et un cornichon déjà entamé. Lors du traditionnel tirage au sort, c’est la pauvre Petunia (Kennedy Hermansen) qui est désignée mais sa sœur Kantmiss à l’insu de son plein gré décide alors de se porter volontaire pour la remplacer. Elle sera accompagnée de Peter Malarky (Cody Christian) lui aussi volontaire mais on se pose des questions sur ses véritables motivations !

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    Qui dit succès au box-office dit aussi parodie et c’est désormais chose faite avec The starving games que l’on doit à l’inévitable duo Aaron Seltzer & Jason Friedberg. La base du film c’est évidemment Hunger games auquel s’ajoute les traditionnels gags de bas-étage qui en laisseront plus d’un sur leur faim. Bien entendu, on a aussi quelques références à d’autres blockbusters parfois de manière furtive (Le monde fantastique d’Oz) ou avec des sosies récupérées sur les trottoirs d’Hollywood Boulevard comme ces équipes d’Expendables et d’Avengers. A noter aussi des clins d’œil à Angry Bird et Fruit ninja bref on fourre vraiment tout ce qu’on veut dans ce genre de films donc attention à ce que vous regardez !

  • Supercondriaque

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    Alors que dans les rues on fête l’arrivée de la nouvelle année, une ambulance file à toute allure. A son bord se trouve Romain (Dany Boon) et il se trouve qu’il souffre de … eh bien en fait de rien ! C’est un malade et pour être tout à fait exact il s’agit d’un hypocondriaque qui vient de mettre un sacré bazar à la soirée de son médecin et pote d’enfance Dimitri (Kad Merad). Un médecin qui n’en peut plus du cinéma de Romain et il connait le remède pour le guérir : l’amour ! Il tente ainsi de lui faire rencontrer des femmes mais ce n’est pas chose aisée quand on sait que cet homme ne supporte pas les contacts à cause des germes et de cette satanée épidémie de grippe.

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    Comment ne pas repenser au raz-de-marée qu’avait provoqué Bienvenue chez les ch’tis lorsqu’on voit se reformer le duo Dany Boon / Kad Merad. Avec Supercondriaque, la formule n’a pas beaucoup changé avec au programme une comédie teintée d’un élan solidaire et qui vous réserve quelques tranches de rires. Pas de surprise non plus au niveau de l’humour qui va vite diviser les spectateurs par son coté surjoué mais qui donne quand même lieu à des scènes franchement marrantes (la douche avec Valérie Bonneton ou l’attaque du chien). Si on ne tient pas une excellente comédie, on passe un bon petit moment ce qui en fait un remède pour ceux qui ont besoin de se changer les idées.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus toucher aux magazines des salles d’attente !

  • Gloria

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    Depuis son divorce, notre pote Gloria (Paulina García) vit seule. Ses enfants mènent leur vie chacun de leurs cotés et elle peut ainsi profiter de sa liberté pour aller danser et pourquoi pas faire des rencontres. C’est ainsi qu’elle fait la connaissance de Rodolfo (Sergio Hernandez), un homme lui aussi divorcé depuis maintenant 1 an. Il ne faudra pas attendre davantage pour qu’un couple se forme mais leur relation s’annonce déjà compliquée. S’il est bien séparé de sa femme, Rodolfo est encore très proche de ses deux filles qui sont totalement dépendantes de lui au point de faire passer parfois Gloria au second plan.

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    Avec Gloria, on a le portrait d’une femme attachante enveloppée dans une certaine solitude sans pour autant tomber dans la dépression. Rien à redire de la prestation de Paulina García, véritable révélation, qui fait preuve d’une parfaite justesse ce qui n’empêche pas ce film chilien de tomber dans une profonde monotonie. A force de nous gaver de scènes anecdotiques, c’est tout l’ensemble qui le devient malgré toutes les bonnes volontés de notre héroïne et quelques traits d’humour bienvenus. Un cinéma à découvrir avant toute chose pour son interprète principale si vous arrivez à surmonter la crainte de tomber dans l’ennui.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais confier vos pistolets de paintball à votre copine !