Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Apprenti gigolo

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    C’est en discutant avec sa dermatologue que Murray (Woody Allen) a découvert que celle-ci cherchait à expérimenter un ménage à trois avec sa compagne. Ne demandez pas pourquoi mais il a immédiatement pensé à son pote d’enfance Fioravante (John Turturro), plutôt à l’aise avec les femmes et qui en plus aurait bien besoin d’argent. Ainsi s’organise son premier rendez-vous avec cette dermatologue, le Docteur Parker (Sharon Stone) qui souhaite effectuer un premier test avant le grand soir. Il semble que cela a été concluant au point que Fioravante va devenir un homme très convoité auprès des dames.

    01.jpg

    C’est le plus vieux métier du monde et c’est donc avec un scénario assez original que John Turturro signe son 5ème film en tant que réalisateur. Conviant un casting féminin qui ne manque pas de charme avec Vanessa Paradis, Sharon Stone & Sofia Vergara ; Apprenti gigolo éprouve bien du mal à nous faire monter au 7ème ciel. La faute principalement au tandem Turturro / Paradis qui n’apporte pas réellement la touche d’émotions à un film qui finirait presque par devenir un show assuré par Woody Allen. Evidemment avec tout ça il ne faudra pas vous étonner de parfois rencontre l’ennui au lieu du plaisir promis.

     

    Il faut le voir pour : Commencer à vous poser des questions si votre femme ramène beaucoup de fleurs à la maison !

  • Divergente

    star 02.jpg

    aff.jpg

    Il y a 100 ans, une grande guerre éclata laissant un monde en ruines. A l’heure de la reconstruction, l’organisation de la société fut radicalement changée puisque la population se divise désormais en 5 factions. Les Erudits, les Audacieux, les Altruistes, les Sincères et les Fraternels sont ainsi les groupes destinés à préserver la paix. Pour déterminer son groupe, un test est effectué et c’est le grand jour pour nos potes Béatrice & Caleb Prior (Shailene Woodley & Ansel Elgort). Les résultats de ce test n’ont rien de définitif puisqu’au final chacun choisira son propre groupe mais tout semble indiquer que Béatrice possède des dons exceptionnels qui font d’elle une Divergente.

    01.jpg

    Voilà de quoi apporter un peu de concurrence à Hunger Games, Divergente est également l’adaptation d’une série de romans à succès signés Veronica Roth. Pas mal de points communs entre les 2 sagas ; on est plongé dans un monde futuriste pas très rose avec une héroïne qui va venir bouleverser les choses et bien sur (attention gros spoiler) une belle romance. Visant un public jeune, le film de Neil Burger devrait toucher sans mal sa cible mais difficile de ne pas souligner une histoire peu surprenante et des scènes d’action peu spectaculaires (le must étant un jeu de guerre). Espérons que ça bougera un peu plus dans les suites à venir.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à sauter d’un train si vous voulez devenir un Audacieux !

     

    En savoir plus sur Divergente 2 : L'insurrection ?

  • Les choristes

    star 03.5.jpg

    aff.jpg

    C’est le 15 Janvier 1919 que notre pote Clément Mathieu (Gérard Jugnot) a franchi pour la première fois les grilles du Fond de l’étang. C’est dans cette école qu’il va prendre ses nouvelles fonctions de surveillant mais ça ne sera pas de tout repos car il va avoir affaire à des élèves très agités. Si le Directeur Rachin (François Berléand) prône les vertus de l’action / réaction en envoyant les éléments perturbateurs au cachot, Clément va lui s’essayer à une méthode plus douce. Il parvient ainsi à fédérer ses élèves autour de sa passion : la musique ! Qui aurait cru qu’une chorale aurait pu se former avec ses jeunes garçons et comment deviner que le jeune Pierre Morhange (Jean-Baptiste Maunier) avait une voix aussi mélodieuse.

    01.jpg

    "Vois sur ton chemin, gamin oublié égaré donne leur la main pour les mener vers d’autres lendemains" Il fallait certainement être sourd en 2004, époque de la sortie en salles pour ne pas avoir entendu cette chanson qui venait couronner la première réalisation de Christophe Barratier et remake du film La cage aux rossignols. Les choristes nous ramène à la vie de l’après-guerre à travers le quotidien de cette école qui a su réveiller de jolis souvenirs chez des millions de spectateurs. Une nostalgie associée à une galerie de personnages tous plus attachants les uns que les autres ce qui nous donne un beau moment d’émotion qu’on le découvre pour la première fois ou qu’on le revoit.

  • Eastern boys

    star 03.5.jpg

    aff.jpg

    La Gare du Nord, c’est le terrain de Boss (Danil Vorobyev) et de ses potes d’enfance tous originaires d’Europe de l’Ouest. Parmi cette bande, Daniel (Olivier Rabourdin) a remarqué Marek (Kirill Emelyanov) qu’il réussit à aborder lorsqu’il se retrouve seul. Très vite, ils se mettent d’accord pour un rendez-vous ; Daniel invite ainsi le jeune homme à le rejoindre chez lui le lendemain à 18H00. Quand arrive l’heure H, il va avoir la désagréable surprise de voir sonner à sa porte un enfant rapidement suivi de Boss et de tous ses compagnons. Ils vont ainsi improviser une petite fête dans cet appartement et en profiter pour rapporter quelques souvenirs.

    01.jpg

    Eastern boys c’est d’abord 2 portraits ; celui d’un homme homosexuel et célibataire et l’autre d’un immigré prêt à vendre son corps. La réalisation de Robin Campillo est assez particulière puisque l’histoire se décompose en fait en 4 chapitres avec parfois quelques longueurs (plus particulièrement dans la 2nde partie). Ce qui permet toutefois au film de rester prenant, c’est son trio d’acteurs Olivier Rabourdin / Kirill Emelyanov / Danil Vorobyev (aux faux airs de Nicolas Duvauchelle) avec une interprétation sans fautes. Un cinéma au rythme lent qui risque d’en décrocher beaucoup mais qui constitue une excellente découverte.

     

    Il faut le voir pour : Organiser une fête si vous voulez redécorer entièrement votre appartement.

  • Dancing in Jaffa

    star 03.5.jpg

    aff.jpg

    Sacré champion du monde de danse de salon à 4 reprises, notre pote Pierre Dulaine se lance aujourd’hui dans une nouvelle aventure qui lui tient particulièrement à cœur. Il revient en effet pour la première fois à Jaffa en Israël où il est né et a vécu pendant 4 ans. Il se sent comme investi d’une mission et veut absolument transmettre aux enfants son amour pour la danse et c’est ainsi qu’il entre en contact avec 5 écoles. Un projet pas si facile à mener lorsqu’on connait le passé mouvementé de cette ville et les tensions qui persistent entre les différentes communautés. Son souhait est en passe de se réaliser mais il sait aussi qu’il va rencontrer de nombreux obstacles sur sa route.

    01.jpg

    C’est évidemment un formidable projet que celui mené par Pierre Dulaine auquel il serait difficile de ne pas adhérer. On sera ainsi ému par certains portraits d’enfant et plus particulièrement celui de la petite Noor vraiment touchante. L’objectif est évidemment de planter les graines de la paix en renouant le contact social entre israéliens & palestiniens pour espérer qu’un jour ce conflit soit enterré. Dancing in Jaffa met surtout en lumière les difficultés et les doutes éprouvés par le champion de danse pour transmettre sa passion. Installer une compétition, apprendre le respect de l’autre et gagner en confiance, changer le regard sont autant d’objectifs faisant appel à un travail de longue haleine. Un documentaire porteur d’espoir et donc à ne pas manquer.

     

    Il faut le voir pour : Prendre des cours de danse !

  • Nebraska

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Un million de dollars ! Voilà ce qu’a remporté notre pote Woody Grant (Bruce Dern) … du moins c’est ce qu’il croit puisqu’en fait cet homme âgé n’a plus vraiment toute sa tête. En fait, il s’agit d’un simple tract publicitaire mais Woody est lui convaincu que sa vie va désormais changer et qu’il va pouvoir se payer un compresseur et surtout un camion flambant neuf. C’est ainsi qu’il prend le chemin du Nebraska à pied. On aura beau essayer de le raisonner, il persiste à vouloir se rendre à Lincoln et finalement David (Will Forte), un de ses fils va tout simplement prendre un petit congé pour le conduire jusqu’à destination.

    01.jpg

    Après King of California ou encore The descendants, le réalisateur Alexander Payne nous offre un nouveau portrait de famille teinté de road-movie. Premier choix notable sur lequel on peut s’interroger ; c’est le noir & blanc qui à mon sens n’apporte rien, si ce n’est quelques belles images, à cette histoire centrée sur la relation Père / Fils entre Bruce Dern & Will Forte. Pour le reste, Nebraska séduit avec sa galerie de personnages atypiques et attachants avec une mention particulière pour la mère June Squibb drôle et délicieuse. S’il se montre plutôt sympathique, ce voyage n’est pas toujours passionnant et de ce fait, il a peu de chances de marquer les mémoires.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas laisser votre père ramasser le courrier.

  • La crème de la crème

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Kelly (Alice Isaaz) vient de faire son entrée dans la plus prestigieuse Business School d’Europe, elle a de quoi être fière mais sa réussite va également se traduire dans un autre domaine. Tout commence avec sa rencontre avec ses nouveaux potes d’enfance Dan & Jaffar (Thomas Blumenthal & Karim Ait M'Hand) qui lui apprennent un peu le mode de fonctionnement de cet univers si particulier. Pour être populaire auprès des filles, il faut porter le bon polo et quand ce n’est pas le cas, vous êtes tout simplement invisible. Kelly va alors bousculer un peu les codes en payant une jolie femme pour accompagner Jaffar en soirée mais lorsque Louis (Jean-Baptiste Lafarge) se mêle à cette bande, ça se transforme en un vaste réseau de prostitution.

    01.jpg

    En seulement 2 longs-métrages, Kim Chapiron s’est imposé comme l’une des valeurs sures du cinéma français. Il nous revient avec un sujet fort ; la prostitution dans le milieu étudiant mais La crème de la crème laisse un petit gout amer de déception. On regrette en effet que le scénario n’ait pas été plus audacieux au point qu’on a l’impression que le réalisateur s’est presque assagi. Ce qui ne change pas en revanche c’est qu’il collabore toujours avec de grands acteurs et les présences d’Alice Isaaz, de Jean-Baptiste Lafarge, Thomas Blumenthal et du trop rare Karim Ait M'Hand sont là pour nous démontrer qu’il sait dénicher les talents. Un bon film mais qui ne réussit pas à nous marquer comme il l’avait fait avec Sheitan ou Dog pound.

     

    Il faut le voir pour : Sortir vos polos !

  • 47 Ronin

    star 02.jpg

    aff.jpg

    Dans le Japon féodal. Le pays est divisé en provinces avec à leur tête des Seigneurs soumis à l’autorité du Shogun Lord Asano (Min Tanaka) est l’un d’entre eux. Il y a quelques années de cela, il n’a pas hésité à recueillir un jeune garçon appelé Kaï (Daniel Barber / Keanu Reeves) alors que beaucoup le considérait comme un démon. Les années passent et Kaï a grandi en compagnie de Mika (Arisa Maekawa / Kô Shibasaki), la fille d’Asano une relation laissant petit à petit place à l’amour mais du fait de son rang, ils ne peuvent laisser s’exprimer leur sentiment. La province d’Ako sera toutefois marquée par la disparition de Lord Asano qui a été victime d’un piège et Kuranosuke Oïshi (Hiroyuki Sanada) qui fut son samouraï se chargera de le venger !

     01.jpg

    Le Ronin, c’est le Samouraï qui se retrouve soudainement sans maitre et ce film s’inspire d’une ancienne histoire japonaise ; c’est la minute culturelle car en dehors de ça, il n’y a pas grand-chose à tirer du film de Carl Erik Rinsch. Pour sa première réalisation, il a bénéficié d’une enveloppe incroyable de 175 millions de dollars et on se demande où est passé ce budget. Trop long à démarrer, des personnages transparents, des effets spéciaux perfectibles et des scènes d’action qui manquent de folie font que 47 Ronin se révèle bien loin d’être aussi fun qu’on ne l’aurait imaginé. Il aura beau se déplacer comme un fantôme ou manier les sabres avec habileté, ce n’est vraiment pas avec ce genre de rôle que notre pote Keanu Reeves signera son come-back. A oublier.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir la légende des 47 Ronin.

  • Rio 2

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Blu, Perla et leurs 3 enfants croyaient être les derniers aras bleus de la planète mais ils viennent de voir à la télé qu’il y aurait d’autres oiseaux de leur espèce en Amazonie. C’est d’ailleurs leurs potes d’enfance Tulio & Linda qui ont fait cette incroyable découverte et la famille de Blu prend alors la décision folle de les rejoindre. Ils quittent ainsi Rio accompagnés de Rafael, Nico & Pedro et sans le savoir ils vont croiser sur leur chemin le cacatoès Hector qui n’a pas oublié ce qu’il a subi autrefois. Bien décidé à se venger, il se lance à leur poursuite jusque dans la jungle amazonienne où Perla va avoir une grande surprise !

    01.jpg

    Le Brésil ce n’est pas que le football, c’est aussi notre pote Blue qui revient pour de nouvelles aventures au cœur de l’Amazonie. Les studios Blue Sky nous régalent de nouveau visuellement avec un retour en pleine nature et le film d’animation prend même parfois des allures de spectacle musical. On ne s’ennuye pas avec Rio 2 cependant on peut pointer du doigt un scénario qui n’ose pas grand-chose et en dehors du héros principal les autres personnages ont beaucoup de mal à exister (comme dans le 1er épisode) mais cela les enfants ne devraient pas en tenir rigueur. S’il est loin d’atteindre les sommets du Corcovado, ça reste simplement une petite récréation sympathique et haute en couleurs pour réunir toute la famille.

     

    Il faut le voir pour : Oublier votre GPS si vous souhaitez aller en Amazonie !

     

    En savoir plus sur Rio ?

  • Scooby-doo et la folie du catch

    star 01.jpg

    AFF.png

    C’est une merveilleuse nouvelle pour Sammy & Scooby-Doo. Ce dernier vient en effet de passer avec brio le niveau bonus du jeu de la World Wrestling Entertainment ce qui lui vaut comme récompense un joli séjour au village de la WWE et surtout la possibilité d’assister à l’évènement de l’année : Wrestlemania.  Après avoir convaincu leurs potes d’enfance Véra, Daphné & Fred ; ils arrivent au village et seront accueillis par rien moins que la star John "You can’t see me" Cena. Cependant au sein de la WWE, l’inquiétude grandit au fur et à mesure que Wrestlemania se rapproche puisqu’un ours effroyable sème la terreur depuis quelques jours. On dirait bien qu’une nouvelle enquête va commencer.

    01.jpg

    Dans le cadre de la 30ème édition de Wrestlemania, la WWE a décidé de faire plaisir aux jeunes fans en leur offrant ce crossover inimaginable entre les héros de Scooby-doo et les stars du catch. L’occasion ainsi de retrouver le populaire John Cena, l’intenable Sin Cara, le funky Brodus Clay tous impliqués dans une histoire totalement farfelue. Bien entendu, il ne faut pas nous prendre pour des billes, c’est surtout l’occasion de promouvoir l’évènement et d’attirer encore un peu plus les jeunes spectateurs. Scooby-doo et la folie du catch n’intéressera donc que les enfants de moins 7 ans (et encore pas tous !) qui pourront juste se montrer curieux de voir ces drôles de guest-stars.