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  • Un beau voyou

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    Policier proche de la retraite, notre pote le Commissaire Beffroi (Charles Berling) est sur une enquête plutôt atypique. Cela a commencé lorsqu’une femme a constaté un cambriolage et le butin était ciblé puisqu’il s’agissait d’une toile qui avait tout de même une certaine valeur. Il découvrira par la suite qu’il ne s’agit pas d’un acte isolé puisque d’autres particuliers ont eux aussi été victimes de vol et tout laisse croire qu’un voleur en série traîne à Paris. Au cours de son investigation, le commissaire va entrer en contact avec Justine (Jennifer Decker) et son père Charles (Jean-Quentin Châtelain) qui sont tous deux restaurateurs de tableaux. Au cours d’un dîner inattendu, le policier va ensuite rencontrer un certain Bertrand (Swann Arlaud), le petit-ami de Justine qui a lui aussi un goût prononcé pour l’art !

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    Lucas Bernard signe avec Un beau voyou son premier long-métrage et il arrive à se distinguer à la fois avec son histoire et ses personnages atypiques. Dès les premières minutes, on se familiarise avec un policier aux méthodes peu orthodoxes et qui attire tout de suite la sympathie.Il en est de même avec le duo haut en couleurs formé par une rayonnante Jennifer Decker & Jean-Quentin Châtelain malheureusement une fois la scène du dîner passé, l'intérêt retombe au fur et à mesure que les minutes s’égrainent. Malgré tout le talent que l’on connaît à notre pote Swann Arlaud, le film a bien du mal à retrouver du rythme et c’est bien dommage car le sujet était original.


    Il faut le voir pour : Arrêter de confondre le Moderne et le Contemporain !

  • Les Anarchistes

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    Paris en 1899. Parce qu’il a un certain don pour l’écriture, Jean (Tahar Rahim) a tapé dans l’œil de Gaspard (Cédric Kahn) qui lui propose une mission particulière : infiltrer les Anarchistes. Il commence ainsi à se faire embaucher dans une clouterie avant de se rapprocher de Biscuit (Karim Leklou). C’est à son contact qu’il va par la suite entrer en relation avec Elysée (Swann Arlaud) et sa bande d’anarchistes. Régulièrement, Jean doit ainsi faire remonter toutes les informations qu’il aura récolté, une mission qu’il doit mener avec délicatesse s’il ne veut pas être démasqué par ses désormais nouveaux potes d’enfance.

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    Le premier aspect intéressant avec Les Anarchistes c’est qu’on a droit à un casting plutôt étoffé composé de vrais talents. Outre le couple Adèle Exarchopoulos / Tahar Rahim, on apprécie en effet les présences de Swann Arlaud, Guillaume Gouix ou encore Karim Leklou (remarqué dans Coup de chaud) malheureusement les réjouissances semblent presque s’arrêter là. Les personnages sont quasi fantomatiques car peu mis en valeur dans leurs actions ; en dehors de quelques discours et cambriolages, on ne peut pas dire que le film d'Elie Wajeman se montre très éclatant. Un film décevant qui n'arrive à aucun moment à captiver le spectateur.

     

     
    Il faut le voir pour : Offrir un livre lorsque vous voulez rompre avec quelqu’un, ça lui fera peut-être plaisir !

  • Bouboule

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    C’est un fait indéniable ; notre pote Kevin (David Thielemans) est trop gros. A 12 ans, il pèse déjà plus de 100 kilos ce qui inquiète tout son entourage et encore récemment il a pris du poids. Il n’échappe pas aux moqueries de ses camarades de classe et c’est d’ailleurs lors d’une nouvelle altercation qu’il rencontre Pat (Swann Arlaud). Cet agent de sécurité entrainait son chien Rocco et immédiatement Kevin s’est trouvé là un modèle à suivre. Il faut dire que Pat n’est pas n’importe qui puisqu’il fait partie des Commandos ! Le jeune garçon n’aura alors plus qu’une seule envie : suivre ses traces et devenir lui aussi un Commando.

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    Ce qui est assez perturbant c’est qu’à première vue Bouboule s’apparente à une de ces adaptations de bande-dessinée destinée aux enfants mais il s’agit en fait d’un portrait bien plus dramatique. Notre pote David Thielemans souffre donc de son aspect physique mettant également en péril sa santé, c’est quelqu’un qui provoque immédiatement l’empathie du spectateur malgré cela on a du mal à s’attacher à ce film. C’est tout de même l’occasion de revoir Swann Arlaud qui s’était fait remarquer dans Bon rétablissement mais on a du mal à donner de la crédibilité à son personnage avec sa dégaine tellement stéréotypée. Un film qui se fait vite oublier.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas laisser votre fils boire de la bière au petit-déjeuner !

  • Bon rétablissement !

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    Un homme vient de faire une chute vertigineuse dans la Seine et notre pote Pierre (Gérard Lanvin) a de la chance d’être toujours en vie. Lorsqu’il se réveille à l’hôpital, il n’a aucune idée de ce qui a bien pu lui arriver ce qui rend l’enquête de Maxime (Fred Testot) un peu plus difficile. Avec une jambe dans le plâtre, il doit rester alité mais peut compter sur la visite de son entourage à commencer par son petit frère Hervé (Jean-Pierre Darroussin). Et puis à l’hôpital il fait des rencontres comme l’infirmière Myriam (Claudia Tagbo) ou Maëva (Mona Jabeur), une adolescente qui traine souvent devant sa chambre et même un peu trop !

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    Adapté du livre de Marie-Sabine Roger, Bon rétablissement ! a cette particularité que quasiment tout se déroule dans la chambre du patient bougon qu’est Gérard Lanvin. Cette comédie signée Jean Becker est ainsi rythmée par les différentes visites mais aussi de touchantes rencontres (dont celle incarnée par un remarquable Swann Arlaud) sans oublier quelques scènes de flashbacks. Celles-ci viennent apporter un peu de lumière sur Pierre mais il faut bien reconnaitre que cela reste assez superficiel tout comme certains personnages secondaires. S’il ne s’agit pas du remède parfait pour se marrer, ça n’en reste pas moins un divertissement simple et agréable.

     

    Il faut le voir pour : Garder un œil sur votre ordinateur si jamais vous l’apportez à l’hôpital !

  • Les émotifs anonymes

    Bonjour, je m’appelle Angélique (Isabelle Carré) et je suis émotive !

    a.jpgTenez, je vous ai apporté une boite de chocolats, servez-vous ! J’ai toujours aimé le chocolat et d’ailleurs j’ai même fait mes études pour assouvir cette passion mais tout ne s’est pas passé comme je l’espérais.

     

    Dès que le regard des gens se portent sur moi, je perds tous mes moyens ce qui m’a causé beaucoup de soucis aussi bien dans ma vie privée que professionnelle. Aujourd’hui, je viens d’être engagée comme Commerciale pour une fabrique de chocolat.

     

    b.jpgC’est une véritable catastrophe ! Comment je vais pouvoir vendre leur chocolat alors que j’ose à peine parler en public ? Non, vraiment il faut que j’en parle à Jean-René (Benoit Poelvoorde) mais ce qui m’a intrigué c’est que lui aussi se comporte de manière étrange.

  • Les émotifs anonymes

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    Angélique (Isabelle Carré) a une passion dans sa vie ; le chocolat. C’est ainsi qu’elle s’est lancée dans la cuisine et très vite son talent a été reconnu mais elle doit affronter un mal terrible, elle est émotive ! Le regard des autres la fait paniquer et afin de pouvoir continuer à travailler le chocolat ; elle en fabriquait en secret le magasin de Monsieur Mercier (Claude Aufaure) et le succès est vite arrivé. Hélas à la mort de Mercier, elle se retrouve démunie et répond à une annonce  d’une fabrique de chocolat en perdition. Le patron Jean-René (Benoit Poelvoorde) parait dur en apparence mais lui aussi est un émotif et l’arrivée d’Angélique pourrait bien lui changer la vie.

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    Voici une excellente surprise à déguster tout comme on dégusterait une belle boite de chocolat. Il faut bien l’avouer, notre gourmandise s’éveille devant la noblesse du chocolat ; comment résister en l’entendant craquer sous la dent ? Et puis, il y a Isabelle Carré et Benoit Poelvoorde (couple parfait à l’écran soit dit en passant) tous deux fondants dans leurs rôles d’émotifs, tendres et si attachants ce qui donne de drôles de situations. C’est par le rire que Jean-Pierre Améris choisit de nous faire vivre le quotidien des émotifs même si on prend bien conscience que leur vie est loin d’être rose. Les émotifs anonymes est la comédie idéale pour débuter cette nouvelle année sur une vague de douceur alors ne vous privez pas !

     

    Il faut le voir pour : Allez vous acheter une boite de chocolats.


    Découvrez le film Dans la peau du héros !