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Un beau voyou

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Policier proche de la retraite, notre pote le Commissaire Beffroi (Charles Berling) est sur une enquête plutôt atypique. Cela a commencé lorsqu’une femme a constaté un cambriolage et le butin était ciblé puisqu’il s’agissait d’une toile qui avait tout de même une certaine valeur. Il découvrira par la suite qu’il ne s’agit pas d’un acte isolé puisque d’autres particuliers ont eux aussi été victimes de vol et tout laisse croire qu’un voleur en série traîne à Paris. Au cours de son investigation, le commissaire va entrer en contact avec Justine (Jennifer Decker) et son père Charles (Jean-Quentin Châtelain) qui sont tous deux restaurateurs de tableaux. Au cours d’un dîner inattendu, le policier va ensuite rencontrer un certain Bertrand (Swann Arlaud), le petit-ami de Justine qui a lui aussi un goût prononcé pour l’art !

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Lucas Bernard signe avec Un beau voyou son premier long-métrage et il arrive à se distinguer à la fois avec son histoire et ses personnages atypiques. Dès les premières minutes, on se familiarise avec un policier aux méthodes peu orthodoxes et qui attire tout de suite la sympathie.Il en est de même avec le duo haut en couleurs formé par une rayonnante Jennifer Decker & Jean-Quentin Châtelain malheureusement une fois la scène du dîner passé, l'intérêt retombe au fur et à mesure que les minutes s’égrainent. Malgré tout le talent que l’on connaît à notre pote Swann Arlaud, le film a bien du mal à retrouver du rythme et c’est bien dommage car le sujet était original.


Il faut le voir pour : Arrêter de confondre le Moderne et le Contemporain !

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