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lizzie brocheré

  • Nuit blanche

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    Bien qu’ils aient préparé leur coup, nos potes Vincent & Manuel (Tomer Sisley & Laurent Stocker) ont du faire face à un imprévu mais au final ils ont réussi à piquer près de 10 kilos de cocaïne. Le seul problème c’est qu’on a reconnu Vincent et celui-ci reçoit vite un coup de fil de Marciano (Serge Riaboukine) qui veut récupérer sa came et qui a pour cela enlevé Thomas (Samy Seghir), le fils de Vincent. Sans hésiter, ce dernier décide d’aller rendre la drogue et il rejoint ainsi Le tarmac, une boite de nuit où la soirée s’annonce très longue. L’échange aurait pu se dérouler simplement mais le flic ripoux fait l’objet d’une enquête et dès lors rien ne va se passer comme prévu.

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    Notre pote Tomer Sisley troque le beau costume de milliardaire de Largo Winch pour celui d’un flic ripoux et ça donne un film assez plaisant. Nuit blanche nous invite à passer la soirée dans une boite, un huis-clos qui ne manque pas de rebondissements et de bonnes scènes d’action (incroyable tout ce qu’on peut faire dans une cuisine !) mais également avec un brin d’humour parfois trop répétitif. La nuit s’annonce donc plutôt bonne du moins dans la première heure, les derniers instants s’avèrent plus délicates pour le spectateur. Une désagréable impression de déjà-vu s’installe et fait s’envoler le plaisir qu’on avait jusqu’alors mais ça n’enlève rien au fait qu’on se laisse entrainer facilement dans l’aventure.

     

    Il faut le voir pour : Aller fouiller dans le plafond des toilettes des femmes, vous trouverez peut-être votre bonheur.

  • American translation

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    Notre pote Aurore (Lizzie Brocheré) s’était rendue à l’hôtel Bristol afin de voir son père actuellement en voyage à paris pour ses affaires mais une fois de plus leur rencontre s’est transformé en réunion de travail. Une nouvelle déception pour elle qui va cependant à croiser le regard de Chris (Pierre Perrier) et ce fut immédiatement le coup de foudre. Très vite, le jeune homme emménage dans l’appartement d’Aurore à Paris et le couple se la coule douce mais le comportement de Chris a parfois de quoi laisser perplexe. Un jour, ils décident de prendre la route et tombent sur un jeune prostitué qui réveille des pulsions chez Chris, des pulsions meurtrières !

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    Vraiment un drôle de film que cet American translation que l’on doit à la collaboration de Jean-Marc Barr & Pascal Arnold. La scène d’ouverture ne fait pas mystère sur la nature criminelle de son personnage principal et on suit ainsi son parcours allant jusqu’à impliquer sa petite-amie. Le duo de comédiens se donne corps et âme malheureusement on ne trouve pas vraiment trace de leur âme tant leurs personnages apparaissent comme dépourvus de caractères. Selon le générique de fin, les réalisateurs se sont inspirés du vécu de véritables serial-killers, peut-être auraient-ils du également s’inspirer de bons films ça nous aurait évité de perdre notre temps !

     

    Il faut le voir pour : Se dire que même avec une camionnette Peugeot, vous pouvez aller draguer les nanas !