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Justin Timberlake

  • Inside Llewyn Davis

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    New York 1971. Llewyn Davis (Oscar Isaac) traverse une période difficile du point de vue financier et pour le moment il s’en sort en squattant les canapés de ses potes d’enfance. C’est encore le cas chez Jim & Jean (Justin Timberlake & Carey Mulligan) mais il va avoir une sacrée surprise en apprenant que cette dernière est enceinte. La mauvaise nouvelle c’est qu’il pourrait être le père et il n’avait vraiment pas besoin de ça actuellement. Son premier disque enregistré ne se vend pas du tout et avec un agent comme Mel (Jerry Grayson), il se demande s’il est vraiment entre de bonnes mains. Difficile pour lui de percer en solo surtout quand tout son entourage ne fait que lui rappeler son ancien partenaire Mike.

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    Pas toujours amateur du cinéma d’Ethan & Joel Cohen, je dois tout de même reconnaitre que cette fois le charme a agi. Avec Inside Llewyn Davis il est d’abord question de musique et nos oreilles sont là pour témoigner ; la bande originale est excellente et contribue au plaisir qu’on prend devant ce film. A travers ce portrait, on ne peut pas pousser non plus à coté de la performance d’Oscar Isaac (pour son premier grand rôle) à la fois égoïste et émouvant qui réussit à emporter le spectateur dans sa quête existentielle. En plus de ça, il est extrêmement bien accompagné avec Carey Mulligan, Justin Timberlake et le ténébreux Garrett Hedlund.

     

    Il faut le voir pour : Amener votre chat avec vous pour vos prochains voyages !

  • Inside Llewyn Davis

    Avec Inside Llewyn Davis, on va assister aux retours de Joel & Ethan Coen qui mettent en scène Oscar Isaac, un chanteur de Folk car oui la Folk c'est de la musique. Pas évident de vivre de cette passion mais ils sera bien entouré avec Carey Mulligan, John Goodman ou encore Justin Timberlake.

    Date de sortie : 06 Novembre 2013.


  • Players

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    Un avenir radieux s’offrait à notre pote Richie Furst (Justin Timberlake) lorsqu’il travaillait encore à Wall Street mais la crise est passée par là. Il se retrouve aujourd’hui à Princeton afin de valider son Master de Finance mais ses études coutent chères et il ne trouve pas de meilleure idée que de jouer ses économies au Poker en ligne. A la fin, il ne lui reste que ses yeux pour pleurer mais il a remarqué quelque chose d’anormal dans la programmation du jeu ; une faille qu’il souhaite faire remonter directement à Ivan Block (Ben Affleck), le propriétaire du site. Richie part ainsi au Costa Rica et à sa grande surprise, non seulement Block lui rembourse ses pertes mais lui propose aussi un job en or.

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    Paris en ligne, Black Jack, Poker ; on trouve désormais de tout sur Internet et ce qui fait le bonheur des joueurs et la richesse des propriétaires de ces sites. Autour de ce thème, Players possède finalement un jeu peu flamboyant tournant autour du trio Arteton / Timberlake / Affleck le tout enjolivé d’une luxure qui en ferait baver plus d’un. Pourvu d’un scénario sans idées et qui prouve toute son inefficacité avec un dénouement sur lequel on aurait pu parier dès le départ, ce thriller de Brad Furman ne mérite vraiment pas qu’on mise le moindre sou dessus. A moins que vous ayez gagner le gros lot récemment, il semble tout indiqué que vous pouvez faire l’impasse sur ce film qui a peu de chance de vous bluffer.

     

    Il faut le voir pour : Planquer vos objets de valeur dans les boites de céréales.

  • Players

    Batman est là !! Ah non pas encore, Ben Affleck gère un site de poker grâce auquel il a construit sa fortune mais pas que ... et c'est Justin Timberlake qui va en faire les frais dans Players !

     

    Date de sortie : 25 Septembre 2013


     

  • Une nouvelle chance

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    Recruteur chez les Braves d’Atlanta, Gus Lobel (Clint Eastwood) a des années d’expérience derrière lui et sait repérer les futurs champions de baseball quand il en voit un ! Malheureusement pour lui, il se découvre une vue défaillante, un terrible handicap pour son travail d’autant plus qu’on cherche à le remplacer. Son pote d’enfance Pete Klein (John Goodman) pressent qu’il y a quelque chose qui le dérange et demande ainsi à Mickey (Amy Adams), la fille de son ami de l’accompagner pour son prochain voyage en Caroline du Nord afin de superviser un certain Bo Gentry (Joe Massingill). Les relations entre Gus et sa fille ont été marquées par l’absence d’une femme et d’une mère trop vite disparue mais il y a aussi une profonde blessure qui les a longtemps tenus à distance.

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    Un Clint Eastwood irascible, on n’a pas déjà vu ça quelque part ? Ça deviendrait presque redondant mais quand en plus le scénario se permet d’y ajouter une rivalité ressassée entre les compétences d’un homme face à la technologie ça devient franchement gonflant. N’oublions pas non plus le personnage de Justin Timberlake qui a la panoplie complète du parfait gendre et qui revient miraculeusement pour le (attention spoiler !!) happy end de circonstance. Et puis le thème du baseball ne trouvera pas forcément un intérêt auprès des spectateurs qui ne donneront pas Une nouvelle chance à ce film.

     

    Il faut le voir pour : Visiter les hôtels pour trouver les champions de demain !

  • Time out

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    Un futur proche. Le monde n’est plus régit par l’argent mais par le temps. Désormais, dès que l’on atteint l’âge de 25 ans, notre corps ne vieillit plus cependant à partir de cette date, il ne vous reste qu’une année à vivre. Pour prolonger ce temps, il faut en acheter et pour notre pote Will Salas (Justin TImberlake) qui vit au jour le jour chaque seconde est précieuse. Un soir il fait la connaissance d’Henry Hamilton (Matthew Bomer), un homme qui possède plus d’un siècle de crédit ; une richesse qu’il exhibe fièrement. C’est un joli butin et dans ce quartier malfamé, il ne tarde pas à devenir la cible des Minute men, des voleurs de temps et c’est là que Will entre en scène en l’aidant à s’enfuir. Le lendemain quand notre héros ouvre les yeux, il se rend compte qu’on lui a transféré ces 100 ans de vie.

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    Pour certains le temps c’est de l’argent et bien désormais, c’est la vie ! Le réalisateur Andrew Niccol revient nous présenter sa nouvelle vision de la société futuriste après Bienvenue à Gattaca, un monde où la jeunesse a pris le pouvoir du moins en apparence. Substituant le temps à l’argent, on découvre la critique d’une société construite sur les inégalités entre riches et pauvres ; un message moralisateur sans surprises auquel on sera peu sensible. Reste ensuite un film pas déplaisant malgré quelques incohérences (braquer une banque c’est simple quand celle-ci laisse un coffre grand ouvert !), bref Time out n’est évidemment pas un chef d’œuvre mais on s’en contentera … si on a du temps à perdre !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de regarder votre montre et prendre votre temps !

  • Bad teacher

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    Notre pote Elizabeth Halsey (Cameron Diaz) pensait avoir trouvé le pigeon idéal et leur mariage était planifié mais manque de bol, le malheureux élu a ouvert les yeux sur la vénalité de sa dulcinée. La voilà donc obligée de reprendre son job d’enseignante qu’elle s’était fait une joie de quitter quelques mois plus tôt et les cours qu’elle dispense sont pour le moins … spéciaux ! Entre 2 lamentations et quelques pétards, voilà qu’un nouveau professeur débarque : Scott Delacorte (Justin Timberlake) est un célibataire issu d’une grande famille et il n’en faut pas plus pour qu’il devienne la nouvelle proie d’Elizabeth. Bien décidée à lui mettre le grappin dessus, elle n’est pas la seule sur le coup puisque sa collègue Amy Squirrel (Lucy Punch) a elle aussi bien l’intention de séduire ce nouvel arrivant.

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    Ah je peux vous certifier que si on avait eu des enseignantes comme la belle Cameron Diaz, on aurait éradiqué sans mal l’absentéisme à l’école ! Comment ne pas tomber sous le charme de cette prof aussi sexy qu’au comportement rock’n’roll. Elle envoie balader ses élèves, les punit à coups de ballons de basket ou encore s’enfile quelques doses d’alcool en plein cours bref elle a l’habit complet de l’irrévérence personnifiée et on adore ça ! Pour l’occasion, elle retrouve celui qui fut pendant quelques temps son boyfriend, Justin Timberlake magnifiquement ringardisé et qui se dévoile avec ironie au cours d’une scène de sexe d’anthologie, avis aux amatrices. Dommage qu’il y ait un peu de relâchement vers la fin en dehors de ça vous allez être ravis de prendre des cours d’été avec ce Bad teacher.

     

    Il faut le voir pour : Amener votre voiture au lavage plus souvent.

  • Yogi l’ours

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    Jellystone Park est sur le point d’être fermé afin que le Maire Brown (Andrew Daly) puisse rembourser la dette de la ville et avoir ainsi les faveurs de l’électorat pour devenir le prochain gouverneur. Cette nouvelle est un choc pour le Ranger Smith (Thomas Cavanagh) et surtout pour Yogi & Booboo, deux ours qui prenaient un malin plaisir à chasser les paniers de pique-nique des visiteurs. S’ils veulent sauver ce dernier coin de paradis, ils doivent absolument équilibrer leur budget et faire rentrer plus de 30 000 dollars. Ils ont alors l’idée d’organiser un fantastique feu d’artifice à l’occasion du centenaire de Jellystone Park mais Yogi va, sans le vouloir, gâcher la fête.

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    Après un 1er film sorti en 1964, le personnage crée par le légendaire duo Hanna-Barbera retrouve les honneurs d’une sortie dans les salles obscures. Trouver un ours qui parlent étant difficile de nos jours, Yogi l’ours se compose d’animation en images de synthèse et film live, un mélange plutôt réussi et qui passera comme une lettre à la poste auprès des enfants. Pour les nostalgiques du dessin-animé ou bien pour les amateurs d’ours portant une cravate, ce sont essentiellement les petits qui sauront passer du bon temps quant aux autres, vous pourrez toujours vous consoler en organisant un pique-nique après la séance !

     

    Il faut le voir pour : Faire attention aux ours qui veulent vous piquer votre repas.

  • The social network

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    Fraichement largué par Erica (Rooney Mara), notre pote Mark Zuckerberg (Jesse Eisenberg) n'a rien trouvé de mieux que d'organiser un classement des plus belles filles de l'université via un site internet crée en quelques heures. Comme une trainée de poudre, le site a connu un succès phénoménal et a enregistré un nombre hallucinant de connexions. Mark est alors contacté par des étudiants pour créer un site communautaire select mais lui voit une idée révolutionnaire germer. Avec l'aide de son pote d'enfance Eduardo (Andrew Garfield), il va créer The Facebook, site d'abord connecté aux grandes universités alentours mais qui va connaitre une expansion mondiale avec plus de 500 millions d'inscrits à ce jour.

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    Un film sur Facebook, on pensait que ce projet était une mauvaise plaisanterie mais quand David Fincher en prend les commandes, les choses deviennent soudainement plus sérieuses. Fincher ne s'intéresse pas réellement au phénomène Facebook en tant que tel mais plutôt sur la personnalité atypique de son créateur. On découvre ainsi un Mark Zuckerberg très renfermé sur lui-même, soucieux par l'image qu'il véhicule auprès des autres et incarné avec brio par Jesse Eisenberg. Que l'on soit utilisateur ou non de Facebook ; The social network est (encore) un excellent film de Fincher, passionnant de bout en bout et vous pouvez donc l'accepter dans votre liste d'amis !

     

    Il faut le voir pour : Décrocher quelques instants de votre compte Facebook.

  • Love Gourou

    Mariska Hargitay !

     

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    01.jpgJe suis Pitka (Mike Myers), l’un des plus grands gourous dans ce monde. En fait, pour tout vous dire je suis le deuxième derrière cet énervant Deepak (Deepak Chopra).

     


    Une belle opportunité s’offre à moi, la charmante Jane Bullard (Jessica Alba), propriétaire de l’équipe de Hockey des Toronto Maple Leafs m’a engagé pour que j’aide un de leur joueur vedette. Darren Roanoke (Romany Malco) est une star de la glace mais vient de se faire plaquer par sa femme et ça se ressent dans ses prestations.

     

    02.jpgL’objectif est donc de le remettre d’aplomb pour qu’il puisse d’abord se réconcilier avec sa femme et ensuite remporter la Stanley Cup ! Quant à moi, si je remplis correctement ma mission, je pourrais enfin être l’invité d’Oprah et être le gourou N°1 !