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thomas cavanagh

  • Yogi l’ours

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    Jellystone Park est sur le point d’être fermé afin que le Maire Brown (Andrew Daly) puisse rembourser la dette de la ville et avoir ainsi les faveurs de l’électorat pour devenir le prochain gouverneur. Cette nouvelle est un choc pour le Ranger Smith (Thomas Cavanagh) et surtout pour Yogi & Booboo, deux ours qui prenaient un malin plaisir à chasser les paniers de pique-nique des visiteurs. S’ils veulent sauver ce dernier coin de paradis, ils doivent absolument équilibrer leur budget et faire rentrer plus de 30 000 dollars. Ils ont alors l’idée d’organiser un fantastique feu d’artifice à l’occasion du centenaire de Jellystone Park mais Yogi va, sans le vouloir, gâcher la fête.

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    Après un 1er film sorti en 1964, le personnage crée par le légendaire duo Hanna-Barbera retrouve les honneurs d’une sortie dans les salles obscures. Trouver un ours qui parlent étant difficile de nos jours, Yogi l’ours se compose d’animation en images de synthèse et film live, un mélange plutôt réussi et qui passera comme une lettre à la poste auprès des enfants. Pour les nostalgiques du dessin-animé ou bien pour les amateurs d’ours portant une cravate, ce sont essentiellement les petits qui sauront passer du bon temps quant aux autres, vous pourrez toujours vous consoler en organisant un pique-nique après la séance !

     

    Il faut le voir pour : Faire attention aux ours qui veulent vous piquer votre repas.

  • Deux semaines

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    Emily, Keith & Barry Bergman (Julia Nicholson, Ben Chaplin & Thomas Cavanagh) sont frères et sœurs; ils ne se réunissent pas souvent et c’est pour leur mère Anita (Sally Field) qu’ils sont revenus dans la maison familiale. Elle est gravement malade, atteinte d’un cancer ; les médecins ne lui prédisent plus que quelques jours à vivre. Son agonie est difficile à supporter, alors que son état se dégrade de jour en jour ; ses enfants doivent commencer à accepter l’inéluctable. Il ne reste que peu de temps pour partager l’amour de leur mère, de se remémorer les instants de bonheur avant sa prochaine disparition.

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    Les âmes sensibles peuvent d’ores et déjà préparer leurs mouchoirs. Si Deux semaines n’a pas la prétention d’être la nouvelle merveille du cinéma, sa sobriété joue en sa faveur. Le film tire sur une corde sensible qui va émouvoir tout le monde, la perte d’un parent est une douleur pour tous d’autant quand cette disparition se fait dans des conditions aussi difficiles. Steve Stockman, le réalisateur signe ici son premier film, un projet très personnel qui s’inspire directement de sa vie puisqu’il a perdu sa mère dans des circonstances identiques. Belle interprétation dans l’ensemble avec évidemment un grand rôle de la part de Sally Field qui s’était fait rare au cinéma dommage que le film n’ait pas eu droit à une sortie sur nos grands écrans.