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Charlotte Gainsbourg

  • 3 cœurs

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    Il s’en est vraiment fallu de peu pour que notre pote Marc (Benoit Poelvoorde) attrape le dernier train pour Paris et finalement c’est une bonne chose. Cela lui permet en effet de rencontrer Sylvie (Charlotte Gainsbourg) avec laquelle il va rester jusqu’au bout de la nuit. Quand l’heure de la séparation approche, ils décident de se retrouver vendredi prochain au Jardin des tuileries. Malheureusement, le jour tant attendu, Marc est victime d’un infarctus mais fait son possible pour aller au rendez-vous qu’il manquera à quelques minutes. Le temps passe et il fera la connaissance de Sophie (Chiara Mastroianni) mais ignore une chose importante à son sujet.

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    Si la ficelle utilisée pour tisser le scénario apparait assez grosse, l’intérêt de 3 cœurs réside surtout dans le trio constitué par Gainsbourg / Mastroianni / Poelvoorde avec une mention pour ce dernier. Il prouve une fois encore que des rôles dramatiques lui siéent à merveille. On est moins enthousiaste avec la réalisation de Benoit Jacquot parfois surprenante avec notamment cette voix off sortie de nulle part et une dernière demi-heure assez ennuyeuse. On reste également sur notre faim avec ce jeu de miroirs qu’il a essayé d’installer dans le film sans réellement l’imposer. Pas de quoi faire battre la chamade à nos cœurs !

     

    Il faut le voir pour : Je ne sais pas …

  • Son épouse

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    Lorsque son mari Joseph (Yvan Attal) lui a annoncé sa volonté d’avoir un enfant, notre pote Catherine (Charlotte Gainsbourg) a décidé de lui avouer la vérité. Cela fait plusieurs années qu’elle prend du Subutex pour laisser derrière elle cette sombre période où elle était accro à l’héroïne. L’histoire de ce couple va se terminer de façon brutale puisque Joseph apprend que le corps sans vie de sa femme a été retrouvé sur une plage de Madras en Inde. Cependant, quelques temps plus tard il apprend qu’une certaine Gracie (Janagi) est hantée par un Pey, un esprit maléfique qui ne serait autre que Catherine !

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    Couple dans la vie, Charlotte Gainsbourg & Yvan Attal aiment aussi se retrouver à l’écran et cette fois c’est devant les caméras de Michel Spinosa pour une histoire aux portes du surnaturel. Il y est en effet question d’esprit hantant une jeune mariée indienne et donc dans un environnement laissant place aux croyances mystiques telles que l’existence des Peys. On a donc une atmosphère particulièrement pesante qui nourrit le film dont l’histoire se dévoile à coups de flashbacks. Ce qui est surtout remarquable c’est aussi la belle performance de Janagi et avec tout ça, Son épouse constitue une bonne petite découverte.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir un moyen de vivre avec 2 femmes en même temps !

  • Nymphomaniac Volume 2

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    Seligman (Stellan Skarsgård) en a déjà beaucoup entendu de la vie sexuelle de notre pote Joe (Charlotte Gainsbourg / Stacy Martin) mais elle est loin d’avoir terminé son récit. Après l’excitation de ses retrouvailles avec Jerôme (Shia LaBeouf), la jeune femme a en effet vécu une période difficile où elle avait perdu tout plaisir sexuel ; un vrai drame ! Un plaisir qu’elle espérait retrouver lorsqu’elle donna naissance à leur fils mais il lui faudra finalement attendre sa rencontre avec K (Jamie Bell) pour voir son vœu se réaliser. C’est en effet en sa compagnie qu’elle va découvrir le sadomasochisme mais ce bonheur retrouvé va se faire au détriment de sa famille.

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    On est tout de suite replongé dans l’histoire chaotique de Joe et avec Nymphomaniac Volume 2 et c’est maintenant au tour de Charlotte Gainsbourg de prendre la relève de Stacy Martin à l’écran. Logiquement, on reste sur le même ton avec des scènes toujours aussi sulfureuses, provocantes et on a également droit à un petit hommage à Antichrist. A la vue de cette seconde et dernière partie, il apparait évident que l’œuvre de Lars Von Trier a souffert de cette découpe brutale et qu’on doit considérer Nymphomaniac dans son intégralité. Reste tout de même que ce 2ème volet m’a paru interminable et je n’ose imaginer ce qu’aurait donné un film de plus de 4 heures avec comme sujet le sexe et ses déviances.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de piquer les cuillères au restaurant !

     

    En savoir plus sur Nymphomaniac Volume 1 ?

  • Jacky au royaume des filles

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    La nouvelle a fait le tour de tout le royaume de Bubunne, la Générale Bubunne 16 (Anémone) a décidé  de se retirer au profit de sa fille la Colonelle (Charlotte Gainsbourg). A cette occasion, un grand bal va être organisé afin de lui trouver son grand couillon autrement dit l’homme qui aura l’honneur de l’épouser. C’est l’effervescence pour tous les hommes et notamment pour notre pote Jacky (Vincent Lacoste) qui n’a d’yeux que pour elle et qui se voit déjà dans sa belle voilerie blanche. Attention tout de même, il n’est pas seul sur le coup et son plus grand rival est certainement son cousin Vergio (William Lebghil) qui peut compter sur le soutien de sa riche famille.

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    Il s’était fait remarquer avec Les beaux gosses, le réalisateur Riad Sattouf devrait une fois encore faire parler de lui avec cette comédie pour le moins décalée. Jacky au royaume des filles c’est d’abord la découverte de tout un univers assez loufoque (qui peut tout aussi bien vous laisser insensible) à travers cette société gouvernée d’une main de fer par les femmes. On salue donc l’originalité qui a été apporté mais au fil des minutes on se rend aussi compte que l’humour ne suit pas vraiment et que la satire promise se révèle bien décevante. On passe donc un bon moment avec Vincent Lacoste et compagnie mais c’est quand même bien loin d’être la grande éclate.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à touiller la bouillie !

  • Nymphomaniac Volume 1

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    Alors qu’il rentrait chez lui après avoir effectué des petites courses, Seligman (Stellan Skarsgård) est tombé sur cette jeune femme évanouie dans les rues. Il comptait appeler les secours mais Joe (Charlotte Gainsbourg / Stacy Martin) l’en dissuade et il finit par l’inviter chez lui. Après une bonne tasse de thé, il tente de comprendre ce qui est arrivé et selon elle c’est quelque chose qu’elle a amplement mérité. En effet, Joe ne se considère pas comme quelqu’un de bien, elle est nymphomane et commence ainsi à lui raconter son histoire. Tout a commencé avec sa pote d’enfance B (Sophie Kennedy Clark) avec qui elle organisait de drôles de concours dans les trains !

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    Un petit message donne le ton du film ; pour profiter véritablement de l’œuvre de Lars Von Trier tel qu’il l’a voulu, il faudra attendre une éventuelle version intégrale. Pour le moment, il faudra se contenter de Nymphomaniac Volume 1 ou les chroniques sexuelles de Joe interprétée par Charlotte Gainsbourg & surtout Stacy Martin. Avec un érotisme qui flirte souvent avec la pornographie, on découvre ainsi les différentes étapes de sa vie constituées en chapitres et faisant l’objet d’analogies plutôt amusantes. S’il s’agit bien d’un portrait destiné clairement à un public averti et qui va bien au-delà de la simple provocation, difficile de considérer objectivement ce film sans sa conclusion.

     

    Il faut le voir pour : Se remettre à la pêche !

     

    En savoir plus sur Nymphomaniac Volume 2 ?

  • Nymphomaniac

    Attention, voilà une bande-annonce choc ! Le dernier Lars Von Trier se dévoile et son titre est plutôt explicite puisqu'avec Nymphomaniac on suivra le parcours de Charlotte Gainsbourg totalement obnubilée par le sexe. A noter que le film est scindé en 2 parties.

    Dates de sortie : 01 Janvier + 29 Janvier 2014.


  • Do not disturb

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    C’est en plein milieu de la nuit que Jeff (François Cluzet) a débarqué chez Ben (Yvan Attal). Ils ont fait l’école des beaux arts ensemble mais ont pris des chemins totalement différents ; le premier est devenu un grand voyageur tandis que le second a épousé Anna (Laetitia Casta) et aspire désormais à une tranquille vie de famille. Jeff va ainsi rester quelques temps avec son pote d’enfance et il va d’ailleurs l’entrainer dans une soirée assez étrange au terme de laquelle ils vont monter un projet étonnant. Évoquant le festival Hump, ils veulent tourner un film où on les verrait coucher ensemble exprimant ainsi de la plus belle des façons l’amitié qui les lie. Des paroles à l’acte il y a parfois un grand écart et il ne faudrait pas oublier non plus la pauvre Anna dans cette histoire !

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    Parce que les américains n’ont pas le monopole du remake, Yvan Attal s’est donc lancé dans sa version de Humpday aussi bien en tant que réalisateur que comédien. L’histoire n’a elle pas changé à savoir 2 potes d’enfance qui veulent faire un film très particulier dans le cadre du festival érotique Hump. Si on se laisse convaincre par un François Cluzet itinérant, on retrouve les mêmes travers que la version US à savoir un scénario qui fait du surplace loin de transporter le spectateur. Do not disturb n’apporte donc rien de plus à l’œuvre originale déjà assez fade et même si vous ne l’aviez pas vu, ne vous dérangez pas trop pour vous précipiter dans les salles.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas laisser votre mec trainer trop longtemps avec ses potes d’enfance !

  • Confession d’un enfant du siècle

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    La vie nous réserve parfois de mauvais tours et Octave (Peter Doherty) en fait l’amère expérience. Non seulement il apprend que la femme qu’il aime Elise (Lily Cole) le trompe mais en plus de cela son amant n’est autre que son pote d’enfance. Pour l’honneur, cette humiliation se réglera par un duel mais rien ne pourra sauver le cœur meurtri d’Octave qui se laisse aller à une vie de libertinage. Le malheur continue de s’abattre sur lui avec la disparition de son père mais une rencontre pourrait bien le sauver. Elle se nomme Brigitte (Charlotte Gainsbourg), veuve et habitant sous le même toit que sa tante. Cette femme ne laisse pas Octave indifférent mais leur relation semble difficile en raison de leur différence d’âge.

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    Adaptation de l’œuvre homonyme du français Alfred De Musset, Confession d’un enfant du siècle ne marquera les annales du cinéma (et encore) que pour la participation du controversé Peter Doherty. Le chanteur se voit offrir le premier rôle de ce drame romantique, une prestation qu’on qualifiera de convenable tout en soulignant un personnage dénué de toute expression en dehors de son état dépressif. Le scénario est un "Je t’aime moi non plus" qui lasse très vite d’autant plus que l’alchimie entre l’acteur et Charlotte Gainsbourg est inexistante. S’il faut vous faire une confession ; le film semble durer des siècles à vous de voir si cette perspective vous enchante !

     

    Il faut le voir pour : Jeter un œil par-dessous la table pendant vos diners on ne sait jamais …

  • Melancholia

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    Cela devait être une soirée mémorable pour nos potes Justine & Michael (Kirsten Dunst & Alexander Skarsgård) qui célébraient leur mariage mais cette nuit n’allait pas se dérouler comme ils l’avaient imaginé. La jeune mariée se montre en effet très distante et on doit presque la contraindre à assister à la cérémonie donnée en son honneur ce qui ne plait guère à sa sœur Claire (Charlotte Gainsbourg) et encore moins à John (Kiefer Sutherland), le beau-frère qui a généreusement tout financé. Tandis que les heures s’écoulent, le jeune couple n’aura jamais paru aussi éloigné avant de provoquer une rupture qui semblait inévitable. Ce changement de comportement soudain de la part de Justine trouverait-elle un explication sur le phénomène incroyable que vit la Terre : l’arrivée dans son sillage de la planète Melancholia ?

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    On en a beaucoup parlé lors du Festival de Cannes 2011 d’abord par les propos indécents du réalisateur Lars Von Trier et puis sur une note plus positive avec la Palme de la meilleure interprète féminine attribuée à Kirsten Dunst. Après une magnifique séquence d’introduction, Melancholia nous invite à vivre la fin du monde à travers les visions conjuguées de 2 sœurs chacune se voyant attribuer un chapitre du film. On ne peut pas dire que ce soit réellement subjuguant, disons qu’il nous laisse tout le loisir d’admirer les interprétations parfaites de Kirsten Dunst et de notre Charlotte Gainsbourg nationale. Quant au reste, ça rappelle un peu ce que j’avais ressenti avec The tree of life de Terrence Malick ; pas mal de spectateurs risquent de rester sur la touche devant l’ambition de ce film.

     

    Il faut le voir pour : Ne surtout pas inviter votre patron au mariage, il serait capable de vous faire bosser !

  • L'arbre

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    Dawn (Charlotte Gainsbourg) est anéantie depuis la disparition de son mari qui laisse derrière lui 4 enfants qui devront grandir sans la présence de leur père. Les premiers mois sont difficiles, la douleur est encore rémanente et les enfants font tout leur possible pour soutenir leur mère. Sabine (Morgana Davies) elle, s'est réfugiée dans l'immense arbre, un figuier, qui se trouve à proximité de leur maison seule place où elle trouve du réconfort. La jeune fille est en effet convaincue que cet arbre abrite en son sein l'esprit de son père disparu. Bien que majestueux, l'arbre pose de nombreux problèmes, les racines apparentes provoquent de nombreux dégâts et les voisins envisagent de l'abattre.

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    Malgré son sa teneur dramatique - l'acceptation du deuil familial- il se dégage du film de Julie Bertuccelli un certain sentiment de bien-être. Les projecteurs sont principalement braqués sur le personnage de Sabine qui cristallise l'esprit de son père au sein d'un immense arbre devenant un acteur à part entière dans ce merveilleux conte. La petite Morgana Davies est tout simplement prodigieuse dans son rôle et L'arbre devrait être le point de départ d'une belle carrière pour cette jeune actrice. Touchant et merveilleusement bien interprété, voilà une très bonne adaptation du roman L'arbre du père de Julie Pascoe.

     

    Il faut le voir pour : Vérifier vos WC avant de tirer la chasse d'eau !