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cinéma - Page 202

  • Magic Baskets 2

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    Comme son père, Jérôme Jenkins Jr (Jascha Washington) s’est promis qu’un jour il deviendra un grand champion de basket et aura son nom sur le ballon de la gloire. D’ailleurs lui et ses potes d’enfance Rodney & Nathan (Brett Kelly& Micah Stephen Williams) vont participer au tournoi du Game On rassemblant la crème des joueurs de Street. A la veille de cet évènement, Jérôme trouve une paire de Baskets avec les initiales MJ inscrits dessus et quand il les porte, il devient imbattable. Devant le prodige, la troupe du Game On n’hésite pas une seconde pour enrôler le jeune garçon mais attention de ne pas attraper la grosse tête !

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    Un film à réserver aux Michael Jordan en herbe qui s’émerveilleront devant les quelques phases de jeu et s’éclateront avec les improbables mouvements du jeune prodige. Comme son nom l’indique si bien, Magic Baskets 2 est la suite du premier volet mais exit le jeune rappeur Lil’ Bow Wow pour laisser place à Jascha Washington, inconnu au bataillon et qui risque de le rester s’il continue à jouer dans ce genre de films. Destiné aux enfants, on ne s’est pas beaucoup creusé les méninges pour pondre le scénario avec évidemment une histoire qui se finit bien et dont la morale nous dicte de ne jamais abandonner ses potes d’enfance !

     

    En savoir plus sur Magic Baskets ?

  • Laïcité Inch’allah

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    Le 07 Novembre 1987, l’histoire de la Tunisie est marquée par l’arrivée au pouvoir de Zine el-Abidine Ben Ali qui changera à jamais le paysage politique du pays. Après 5 mandats, son règne est contesté par le peuple et ainsi débutent les évènements que l’on désignera plus tard comme le Printemps arabe et il est obligé de fuir le pays en janvier 2011. Selon l’Article 1er de la Constitution Tunisienne, "La Tunisie est un Etat libre, indépendant et souverain: sa religion est l'Islam, sa langue l'arabe et son régime la république". Pour la réalisatrice Nadia El Fani, avec le départ de Ben Ali, c’est l’occasion de supprimer toute référence religieuse dans cette Constitution et d’instaurer la laïcité.

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    Le Printemps Arabe a longtemps occupé nos journaux télévisés mais depuis le renversement de Ben Ali, cette même actualité a un peu oublié la Tunisie. Même si Laïcité Inch’allah se déroule quelques mois avant le départ de l’ancien président, on découvre les enjeux qui accompagnent les changements qui se déroulent au pays et notamment l’espoir de mettre en place la laïcité. Ce documentaire n’a rien d’un brulot à l’encontre des musulmans, Nadia El Fani se contente simplement de mettre en lumière l’hypocrisie qui entoure certains pratiquants vis-à-vis de leur religion et demande une Constitution qui n’impose rien en la matière à ses citoyens. Un documentaire intéressant, photographie d’une période charnière d’un pays en construction.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir que les restaurants ne se vident pas forcément durant le Ramadan.

  • Bullit - Mais qui a tué Pamela Rose (2)

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    Bullit : J'ai été marié 25 ans et elle est partie avec mon dentiste. A chaque fois que je me brosse les dents je pense à elle... Une fois par mois...

  • Restless

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    Notre pote Enoch Brae (Henry Hopper) a une relation particulière avec la mort surement parce qu’il l’a rencontré pendant quelques instants. Il fut en effet victime d’un horrible accident de la route au terme duquel il a perdu ses parents et depuis il s’adonne à un drôle de rituel. Sans rien connaitre des personnes disparues, il n’hésite pas à s’inviter à leur enterrement et c’est lors d’une de ces occasions qu’il a fait la connaissance d’Annabel (Mia Wasikowska). Intriguée par cette activité peu commune, elle décide de l’accompagner et le temps faisant, ils vont finir par former un couple au destin malheureusement funeste. Annabel est en effet atteinte d’un cancer et n’a plus que quelques mois à vivre.

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    On aura rarement vu une romance aussi morbide ! L’ombre de la faucheuse est présente de la 1ère à la dernière minute de Restless et je ne suis pas sur qu’il s’agisse d’un excellent remède pour les spectateurs au moral déjà plombé. Reste que ce lumineux duo Mia Wasikowska / Henry Hopper est pour le moins charmant et qu’on se laisse doucement séduire par cette relation atypique dont Gus Van Sant ne cherche jamais à en faire un vulgaire drame mielleux. L’atmosphère qui se dégage de ce film le rend réellement spécial et en tant que spectateur on est un peu entre 2 eaux, rires et tristesse sont mêlés. Pas sur que tout le monde adhère !

     

    Il faut le voir pour : Prévoir des confiseries à votre enterrement.

  • Mineurs 27

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    Il ne fait aucun doute que notre pote Stan (Finnegan Oldfield) a changé ses derniers temps, il s’est plus que jamais renfermé sur lui-même. La seule façon qu’il ait trouvée pour exprimer ses sentiments est de réaliser des graffs, le reste du temps il le passe à la plage pour admirer la belle Deborah (Marie-Ange Casta) qu’il a connu au lycée. Celle-ci n’a pourtant d’yeux que pour Wilson (Nassim Si Ahmed) qui a eu une adolescence mouvementée et qui a même mis un pied dans la délinquance ; un passé pas totalement enterré. Ces 2 garçons ont d’ailleurs une histoire commune, un drame qu’on a tenté d’oublier mais le dossier Mineurs 27 est sur le point de revenir hanter les mémoires.

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    En dehors de Jean-Hugues Anglade, le casting du reste des rôles principaux est un vent frais pour le cinéma français et on n’aura pas manqué la première médiatisée de Marie-Ange Casta, sœur de Laetitia. Le réalisateur Tristan Aurouet n’est pas un amateur puisqu’il avait déjà coréalisé avec Gilles Lellouche Narco et il revient cette fois en solo pour un thriller autour du sujet sensible de la pédophilie. Intrigue alambiquée, déséquilibre des personnages et rythme haché sont autant de défauts qui font qu’on a beaucoup de mal à se laisser absorber par l’histoire et on voit alors poindre un ennui sans équivoque. Il y avait de bonnes intentions mais cela ne semble pas être un argument assez suffisant pour se laisser tenter par Mineurs 27.

     

     

    Il faut le voir pour : Considérer les graffitis d’une autre façon.

  • La brindille

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    Etudiante en arts, notre pote Sarah (Christa Theret) travaille actuellement comme stagiaire dans une galerie et espère décrocher un contrat. Pour cela, elle ne ménage pas ses efforts et ne rechigne pas à faire des heures supplémentaires mais à trop en faire elle finit par s’évanouir de fatigue. Une fois remise sur pieds, elle apprend qu’elle ne sera pas gardée au terme de son stage mais surtout des examens complémentaires lui apprennent qu’elle est enceinte de 6 mois ! C’est un coup de massue pour la jeune femme qui n’est pas prête à devenir mère et sa première réaction est d’ailleurs de vouloir avorter. Cependant, au vu de l’avancée de sa grossesse, la seule solution qui s’offre désormais à elle et de mettre cet enfant au monde sous X.

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    Beaucoup la présentent déjà comme le digne successeur de Sophie Marceau et sa carrière en prend effectivement le chemin. Après avoir interprété la tumultueuse adolescente de Lol, elle n’a pas hésité à se lancer dans rôles autrement plus décalés comme Le village des ombres ou Mike et c’est encore le cas avec ce dernier film. La brindille suite le parcours d’une jeune femme forcée de mettre au monde un enfant, une grossesse qu’elle tient à ignorer et ce jusqu’au moment de l’accouchement. S’il n’y a rien à reprocher à l’actrice, on est beaucoup moins convaincu par son personnage qui ne parvient jamais réellement à susciter l’empathie du spectateur. Cela donne alors au film une légèreté qui peut s’avérer aussi agréable que décevante.

     

    Il faut le voir pour : Acheter un test de grossesse pour votre copine.

  • Scream

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    Toute la communauté de Woodsboro est sous le choc lorsqu’elle a appris cette terrible nouvelle : Casey Becker (Drew Barrymore) et son petit ami ont été retrouvés sauvagement assassinés. La police est à la recherche de pistes et commence son enquête au lycée tandis que les médias locaux se jettent sur ce fait divers qui rappelle curieusement un autre meurtre commis 1 an plus tôt. Une affaire que Sidney Prescott (Neve Campbell) connait bien puisque la victime n’était autre que sa mère. Toujours est-il que ce crime n’est que le point de départ d’une série de meurtres et Sidney pourrait bien en être la prochaine victime. Au cours de la soirée, elle reçoit un coup de fil inquiétant avant d’être surprise par son agresseur vêtu d’un masque blanc.

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    On pourra dire ce que l’on voudra mais on ne peut pas nier que le Scream de Wes Craven aura insufflé un nouveau souffle aux slash-movies. Après ce film, on verra ainsi déferler les Souviens-toi l’été dernier, Urban legends et il inspirera fortement la saga Scary-movie. Surtout le papa de Freddy Krueger (qui fait d’ailleurs une apparition clin d’œil) bouscule le genre en se moquant ouvertement de tous les codes qui caractérisent les films d’horreur pour construire le sien. Pour l’occasion, il donne sa chance à Neve Campbell (notons qu’à l’origine c’est Drew Barrymore qui devait tenir ce rôle) tout droit sortie de la série 7 à la maison ou encore à Courteney Cox de Friends. Marquant le début d’une saga, Scream a su se démarquer dans l’esprit des spectateurs mais on ne pourra pas vraiment en dire autant de ses suites.

     

    La scène à ne pas louper : L’introduction et l’exécution de Drew Barrymore !

  • Le cochon de Gaza

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    Notre pote Jafaar (Sasson Gabai) vit avec sa femme Fatima (Baya Belal) à Gaza où le conflit Israélo-palestinien rythme leur quotidien. D’ailleurs, des soldats israéliens se sont même installés au-dessus de leur maison. Pour gagner sa vie, Jafaar sort chaque jour avec son bateau de pêche mais les prises sont minces et il récupère davantage de détritus que de poissons à vendre. Un jour cependant il attrape dans ses filets une chose incroyable : un cochon vietnamien ! Comment cet animal impur a-t-il pu croiser son chemin ? C’est certainement un châtiment de Dieu toujours est-il que ce cochon va lui permettre de gagner un peu d’argent. Il réussit à trouver en effet du coté de l’Israël une personne intéressée par cet animal mais plus particulièrement … par son sperme !

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    Les années passent et le conflit Israélo-palestinien n’en finit plus de durer et l’espoir d’une trêve ressemble de plus en plus à une chimère. On a donc bien besoin que le cinéma continue de dénoncer les aberrations de cette guerre et quoi de mieux qu’une comédie comme Le cochon de Gaza pour détendre l’atmosphère. Sylvain Estibal se lance dans la réalisation après avoir inspiré le film Le dernier vol avec son roman, un premier essai plutôt réussi puisque malgré le sujet sensible le spectateur a droit à quelques délicieux moments de rires. Si on ne peut pas crier au génie, on sortira largement satisfait de cette jolie fable avec l’espoir qu’un jour une paix pourra être célébré entre ces peuples.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de ramener un cochon la prochaine fois que vous irez à la pêche.

  • L’Apollonide - Souvenirs de la maison close

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    Nous sommes aux prémices du XXème siècle. L’Apollonide est une maison close dirigée par une main de fer par Madame Marie-France (Noémie Lvovsky). Du sourire et du plaisir voilà ce que l’on peut trouver dans cet établissement, ces jeunes femmes sont là pour assouvir toutes les envies même celle qui paraissent insensées. Notre pote Madeleine (Alice Barnole) en a d’ailleurs fait l’amère expérience puisqu’il y a quelques mois, elle a été retrouvée attaché à un lit avec le visage défiguré. Depuis ce drame, elle est restée aux services de Madame et est devenue l’intendante de l’Apollonide qui accueille par ailleurs l’arrivée d’une nouvelle charmeuse en la personne de Pauline (Iliana Zabeth).

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    Et si les maisons closes faisaient leur retour dans notre société ? L’idée avait été évoquée il n’y a encore pas si longtemps au sein de notre précieux gouvernement et au vu de la conclusion de film de Bertrand Bonello, il semble que cette proposition continue de faire son chemin. Que dire de L’Apollonide - Souvenirs de la maison close si ce n’est qu’on a droit à un emballage vraiment séduisant mais que son contenu est bien creux ! Le seul intérêt du film réside dans le personnage de Madeleine (soit 20% du film) pour le reste ça n’est qu’artifices malgré les charmes conjugués de toutes ces demoiselles. A vouloir décrire cet univers suffocant dont ces femmes sont prisonnières, il étouffe le spectateur par l’ennui.

     

    Il faut le voir pour : Faire connaissance avec la femme du Joker !

  • Magic baskets

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    Calvin Cambridge (Lil’Bow Wow) et ses 2 potes d’enfance Reg & Murph (Brenda Song & Jonathan Lipnicki) sont orphelins et rêvent du jour où ils trouveront une famille d’adoption. Une nouvelle visite de parents a lieu aujourd’hui mais une fois de plus c’est la déception cependant Calvin va avoir une agréable surprise : parmi les objets offerts à l’orphelinat, il tombe sur une paire de baskets qui auraient appartenus à Michael Jordan. Il n’est pas au bout de ses surprises puisqu’il va se rendre compte que ces chaussures ont des pouvoirs et lui permettent de jouer comme un véritable pro. Repéré lors d’un match des Los Angeles Knights, il va intégrer l’équipe et devenir la nouvelle révélation de la NBA.

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    Attention, film interdit aux plus de 12 ans à moins d’être un fan inconditionnel de basket-ball et de la célèbre ligue NBA. Si les jeunes filles se délectent avec l’histoire de Cendrillon, les garçons trouveront leur bonheur avec Magic baskets nettement moins glamour. On pardonnera alors peut-être plus facilement ce scénario quand même très naïf qui nous permet néanmoins de voir les stars de l’époque qu’étaient David Robinson, Allen Iverson ou encore Gary Payton. N’oublions pas non plus le jeune rappeur Lil’Bow Wow qui lance sa carrière de comédien avec cette comédie qui ne fera pas date.

     

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    Découvre le film Dans la peau du héros !