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Film - Page 221

  • Detective Dee : le mystère de la flamme fantôme

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    Chine en l’an 689. Wu Zetian (Carina Lau) s’apprête à être intronisé Impératrice 7 ans après la mort de son époux ; une succession qui est loin de plaire à tout le monde. A cette occasion, une statue géante à l’image du Bouddha se construit actuellement mais un évènement dramatique a soudainement lieu ; le maitre d’œuvre du chantier prend soudainement feu et meurt. S’en suit une seconde victime dans des circonstances tout aussi mystérieuses. Suivant le conseil du grand prêtre et pour résoudre ce mystère, la future impératrice doit libérer le Juge Dee (Andy Lau), lui qui est retenu prisonnier pour avoir contesté l’accès au pouvoir de l’Impératrice.

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    On est quand même bien content que des réalisateurs comme John Woo & Tsui Hark ait eu l’intelligence de quitter Hollywood et son usine de films pour produire une œuvre comme Detective Dee : le mystère de la flamme fantôme. C’est tout simplement le Wu Xia Pian dans toute sa splendeur ; des décors phénoménaux, des scènes d’actions aussi intenses que magnifiquement chorégraphiées par le maitre Sammo Hung. L’intrigue légèrement complexe au départ pourrait perdre quelques spectateurs en cours de route, en dehors de ça c’est un film frappant par son gigantisme et sa beauté !

     

    Il faut le voir pour : Tester l’acupuncture pour avoir un tout nouveau visage !

     

    En savoir plus sur Detective Dee II : La légende du Dragon des mers ?

  • Et soudain, tout le monde me manque

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    A 60 ans, notre pote Eli Dhrey (Michel Blanc) s’apprête à devenir père pour la 3ème fois ; une nouvelle déconcertante pour ses 2 filles que sont Justine & Dominique (Mélanie Laurent & Florence Loiret-Caille). En effet, on ne peut pas dire qu’Eli soit le père parfait ; aujourd’hui encore il semble ne pas avoir la tête sur les épaules. Son passe-temps favori est d’aller jouer au golf avec les ex-petits-amis de Justine sans que celle-ci soit au courant de tout ce manège. Elle a bien d’autres choses en tête notamment après sa rencontre avec Sami (Guillaume Gouix) mais leur histoire va tourner court lorsque le jeune homme va faire la connaissance …d’Eli.

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    Dès les premières minutes, on est prévenu qu’on est devant une comédie à l’humour décalé parfaitement incarné par le personnage d’Eli. Le problème c’est que cet aspect finit par prendre le pas sur le plan émotionnel du film tant au niveau de la romance entre Justine & Sami que dans la relation conflictuelle entre la fille et son père. Outre Mélanie Laurent & Michel Blanc, c’est aussi l’occasion de découvrir la comédienne Florence Loiret-Caille dans un registre plus léger que ses précédents rôles. L’univers proposé par Et soudain, tout le monde me manque avait sans aucun doute possible son charme mais on éprouve toutefois des difficultés à y pénétrer.

     

    Il faut le voir pour : Faire une radiographie de votre frigidaire !

  • La fille du puisatier

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    Patricia (Astrid Berges-Frisbey) est une charmante jeune femme de 18 ans mais c’est également une fille remarquable. Lorsqu’elle n’apporte pas le déjeuner à son père le Puisatier (Daniel Auteuil), elle s’occupe de la maison et de ses 5 sœurs. En ce jour du 21 Avril où on célèbre sa fête, elle a fait la rencontre d’un homme dont elle apprendra qu’il s’agit de Jacques Mazel (Nicolas Duvauchelle), fils du bazar et aviateur. Entre eux deux c’est le coup de foudre mais à peine se sont-ils connus qu’ils doivent déjà se séparer ; Jacques a été appelé pour partir en Afrique. Il n’a pas le temps de prévenir Patricia mais charge sa mère (Sabine Azéma) de l’avertir.

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    Evoquer Marcel Pagnol dans le cinéma français c’est forcément penser à des films comme La gloire de mon père et Le château de ma mère qui ont jalonné notre jeunesse. Daniel Auteuil fait donc parler la fibre nostalgique pour séduire le spectateur et effectue ses premiers pas en tant que réalisateur. Après la version de Pagnol datant des années 1940 avec Raimu & Fernandel, il dépoussière son œuvre avec passion, un film dans son ensemble plutôt agréable à voir. Auteuil & Merad sont excellents dans leurs rôles, on est moins convaincu par les premières scènes hésitantes d'Astrid Berges-Frisbey et d’un Nicolas Duvauchelle peu crédible. Pour qui a envie d’entendre à nouveau le chant des cigales, voici le film idéal à voir en famille.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas laisser trainer vos filles avec des hommes en motocyclettes, ennuis garantis !

  • La croisière

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    Hortense (Charlotte de Turckheim) est heureuse, elle vient de remporter une croisière pour elle et son mari ; dépaysement garanti pour ce couple de fermiers. Seulement son mari est peu enthousiaste ; il aurait préféré rester auprès de ses 50 cochons que d’aller se pavaner sur ce magnifique bateau et d’ailleurs, il profite d’un moment d’inattention pour se planquer. Il sera difficile de le retrouver parmi les milliers de passagers parmi lesquels Hortense va se faire de véritables potes d’enfance. Il y a Alix (Marilou Berry), la parisienne stressée (pléonasme ?) ; Chloé (Nora Arnezeder), cleptomane compulsive ou encore Raphael (Antoine Duléry), passager clandestin et déguisé pour épier sa femme.

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    Il y a une certaine part de rêve lorsqu’on évoque les croisières (je mets de coté le Titanic bien entendu) et ce film joue là-dessus. Il faut dire aussi qu’en matière de placement de produit, c’est une vitrine ouverte sur les croisières de chez MSC qui fait valoir ses majestueux bateaux pour attirer l’œil du futur client … euh pardon du spectateur. On en oublierait presque qu’on est devant un film et non pas une publicité car La croisière est loin de provoquer des vagues de rires. Tout y est extrêmement poussif aussi bien dans l’interprétation des personnages que dans le niveau de l’humour proposé. Jean Benguigui ne cesse de marteler que nous sommes les bienvenus à bord mais pas sur qu’on ait envie d’embarquer dans ce qui ressemble plus à une galère !

     

    Il faut le voir pour : Ne plus être surpris de voir un sac à main avec des pattes.

  • L’étrangère

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    En tant que mère, notre pote Umay (Sibel Kekilli) ne pouvait plus supporter de voir son fils Cem (Nizam Schiller) frappé par son propre père Kemal (Ufuk Bayraktar). Décidée à agir, elle a réuni tout l’argent qu’elle avait pour quitter Istanbul et retourner auprès de sa famille en Allemagne. Malheureusement pour elle, ses proches ne comprennent pas sa réaction bien au contraire, en agissant ainsi elle apporte l’opprobre aux siens. Son père Kader (Settar Tanrıöğen) appuyé par son frère Mehmet (Tamer Yiğit) sont particulièrement virulents à son encontre en voulant l’obliger à retourner auprès d’un mari auquel elle appartient. Malgré toutes les personnes qui s’opposent à elle, Umay est déterminée à rester en Allemagne avec son fils.

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    Il y a des films dont on ne sort pas indemne et vous pouvez être sur que L’étrangère entre dans cette catégorie. La scène finale est à la fois attendue puisqu’elle est annoncée dans les premières minutes du film et inattendue au point d’en ressentir des frissons. Bon, c’est vrai que pendant la majeure partie du film, on a une terrible impression de déjà-vu ; une femme musulmane qui se bat pour sa liberté se retrouve confrontée au comportement radical de sa famille. C’est à partir d’un véritable fait divers que la réalisatrice Feo Aladag a construit l’histoire relevée par l’émouvante Sibel Kekilli. Un film qui vous marquera et c’est donc un Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Laisser quelque chose derrière vous quand vous partez.

  • La proie

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    Franck Adrien (Albert Dupontel) a réussi un casse exceptionnel en s’attaquant à la Caisse d’épargne d’Aix-en-Provence dérobant ainsi un butin de 2 millions d’euros. Seulement il s’est fait serré et se retrouve derrière les barreaux depuis maintenant 18 mois. Sa libération est proche et il va pouvoir remettre les mains sur son fric qu’il avait pris la peine de cacher soigneusement. Son plan est toutefois retardé car sa peine a été allongée après qu’il ait voulu aider son codétenu Jean-Louis Maurel (Stéphane Debac) ; un homme condamné pour viol sur mineur. Ce dernier est néanmoins blanchi et sort de prison ; une occasion pour Franck de lui demander un précieux service mais Maurel est-il vraiment digne de confiance ?

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    Albert Dupontel laisse de coté la comédie pour se plonger dans un thriller plutôt réussi. Coté réalisation, on ne peut pas se plaindre d’un manque d’action car entre le saut à travers la fenêtre ou la course-poursuite à contresens d’une route, on est plutôt bien servi. Au niveau du casting aussi on a assuré avec Alice Taglioni, Caterina Murino,Sergi Lopez, Zinedine Soualem, Serge Hazanavicius mais c’est surtout l’occasion de découvrir Stéphane Debac qui se glisse à merveille dans la peau de ce psychopathe manipulateur. Sans conteste un film réussi, La proie manque juste d’éclat pour parvenir à nous séduire davantage.

     

    Il faut le voir pour : Conserver précieusement les dessins de vos enfants !

  • Tomboy

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    Au cœur de l’été, une famille vient de s’installer dans la résidence ; un couple et leurs 2 enfants, le 3ème étant sur le point de voir le jour. Laure (Zoé Héran) n’est pas une fille comme les autres, d’apparence on pourrait aisément la confondre avec un garçon et c’est d’ailleurs ce qui arrive lorsqu’elle fait connaissance avec ses nouveaux potes d’enfance. Elle prétend s’appeler Michaël et personne ne se doute de sa véritable identité d’autant plus qu’elle fait tout pour garder l’illusion. Convaincu qu’il s’agit d’un garçon, Lisa (Jeanne Disson) devient plus intime mais la vérité finira par éclater au grand regret de Laure.

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    On a connu sujet plus facile à traiter au cinéma que celui abordé par Céline Sciamma mais ça commence à devenir une coutumière du fait puisqu’on lui doit déjà le très remarqué Naissance des pieuvres. La recherche de l’identité sexuelle s’arrête cette fois sur la jeune Laure interprétée avec excellence par Zoé Héran (à noter aussi l’adorable petite Malonn Lévana) et encore une fois le sujet se traite du point de vue des enfants. Ceci amène une certaine forme d’insouciance renforcée par cette atmosphère estivale où tout semble plus léger. Tomboy fait donc partie de ces films d’une rare sensibilité et qui convainc par la justesse de son interprétation et donc à découvrir.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de forcer votre fille à porter des robes et des jupes !

  • Foolproof

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    Sam, Kevin & Rob (Kristin Booth, Ryan Reynolds & Joris Jarsky) sont 3 potes d’enfance qui se sont connus à la fac où ils tentaient déjà de pirater des logiciels informatiques. Depuis, ils ont fait du chemin et mettent désormais leur talent au service d’une même cause : le braquage. Non ce ne sont pas de simples voleurs, pour eux le véritable challenge est de pouvoir trouver le plan parfait pour que le vol se fasse sans fioritures. Leur dernière cible est la bijouterie Hamish et alors qu’ils ont finalisés leurs plans ; ceux-ci sont dérobés lors d’un cambriolage.

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    Loin du casting clinquant d’un Ocean’s eleven ; Foolproof est un peu le film de braquage du pauvre. La formule est aussi simple qu’elle est connue ; un lieu réputé impénétrable qui va finalement être violé après un plan minutieusement préparé. Pour faire durer un peu plus le suspense ; notre trio de héros est victime d’un chantage et ils se retrouvent forcés à commettre ce délit. Pas très excitant tout ça, le film a été fait avec peu de moyens et ça se voit mais c’est tout à fait honorable pour qui n’est pas pointilleux sur ce qu’il regarde !

  • Winnie l’ourson

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    Au moment où il se réveille, Winnie ne sait pas encore qu’il a quelque chose d’important à faire aujourd’hui mais avant tout il doit trouver du miel. En effet, son ventre ne cesse de gargouiller et malheureusement tous les pots qui se trouvent chez lui sont vides. Il se dirige donc chez son pote d’enfance Bourriquet et c’est là qu’il découvre que l’âne a perdu sa queue. Alors que tout le monde cherche de quoi remplacer cette queue ; nos amis pensent que Jean-Christophe a été enlevé par le monstrueux Poil long. Ils mettent alors un plan ingénieux pour le piéger et libérer ainsi leur ami mais Winnie lui n’a toujours pas trouvé de miel.

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    Indémodable, Winnie l’ourson nous revient dans de nouvelles aventures cinématographiques et le charme opère toujours. On retrouve bien entendu tous ses potes d’enfance ; Tigrou, Maman Gourou et son Petit Gourou, Maitre hibou, Porcinet, Coco Lapin et le tonitruant Bourriquet. Face aux déluges de productions en images de synthèse et autres effets 3D ; ce dessin animé conserve la recette qui a fait son succès à savoir des dessins simples et des personnages attachants. Les parents verront se réveiller de nombreux souvenirs tandis que les enfants se laisseront facilement entrainer dans la forêt des rêvés bleus.

     

    Il faut le voir pour : Aller au supermarché pour faire des réserves de miel.

  • Underdog

    Bonjour,

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    b.jpgMoi c’est Cirage ! Non, vous ne rêvez pas ; je suis un chien et je parle ! En fait, ces facultés je les ai acquises depuis que j’ai échappé aux expériences clandestines du savant fou Minuscruel (Peter Dinklage) et que certains de ses produits se sont déversés sur moi.

     

    J’ai alors obtenu de drôles de pouvoirs ; je peux courir aussi vite que l’éclair, creuser au plus profond de la Terre en un temps record ou encore voler à travers toute la ville. En plus, j’ai été recueilli par le policier Dan Hunger (James Belushi) et son fils Jack (Alex Neuberger).

     

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    Maintenant que j’ai un foyer et une famille, je suis le plus heureux des chiens ! Quant à mes pouvoirs, j’ai décidé de les mettre au service des gens ; je suis le nouveau protecteur de Capitol City !

     

    C’est la fin de vos tracas, Underdog est là !!

     

    En savoir plus sur Underdog ?