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elias koteas

  • Dream house

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    La décision n’était pas évidente mais notre pote Will Atenton (Daniel Craig) a franchi le pas et a démissionné pour se consacrer davantage à sa famille. Sa femme Libby (Rachel Weisz) et leurs 2 filles accueillent évidemment cette nouvelle avec plus d’enthousiasme et ils vont pouvoir profiter comme il se doit de cette maison qu’ils viennent d’acquérir dans la ville de New Ashford. Leur vie va cependant être perturbé par quelques incidents, ce sont d’abord les filles qui prétendent avoir aperçu un homme étrange rodé dans le jardin et puis par la suite Will surprend des jeunes dans sa cave. C’est là qu’il découvre la vérité ; cette maison fut le théâtre d’un horrible massacre dont le responsable serait un certain Peter Ward.

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    On pourrait facilement confondre ce film à un vulgaire film d’épouvante et d’ailleurs la première demi-heure conforte notre ressenti mais quand on se rend compte qu’à la distribution on a Daniel Craig, Rachel Weisz & Naomi Watts et que le réalisateur est Jim Sheridan (Brothers / Réussir ou mourir …) on se dit que Dream house cache certains secrets. Effectivement après une révélation tonitruante, ce qui s’apparentait à un film d’horreur devient soudainement un thriller plaisant mais qui ne propose rien de bien exceptionnel. Une fois le coup de théâtre révélé, l’intérêt du film va en décroissant et on en vient vite à attendre avec une certaine impatience que l’histoire trouve son dénouement.

     

    Il faut le voir pour : Vérifier le passé des anciens locataires de votre maison !

  • The killer inside me

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    Lou Ford (Casey Aflleck) est le shérif adjoint d’une petite ville de l’Oklahoma, un endroit plutôt calme en apparence. Pourtant, un soir on retrouve le corps sans vie d’un homme et à ses cotés se trouve une jeune prostituée du nom de Joyce (Jessica Alba) passée à tabac et dont les chances de survie sont minces. Pour Lou, ce serait une affaire délicate à traiter s’il n’en connaissait pas déjà les tenants et les aboutissants. Il n’a pas à chercher bien loin le coupable puisque c’est lui-même qui a orchestré tout cela. Derrière son uniforme de représentant de la loi, l’homme est en fait un véritable psychopathe qui n’en est pas à ses premiers méfaits.

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    C’est en 1952 que nait le roman de Jim Thompson qui a inspiré cette deuxième adaptation cinématographique. L’aspect thriller du film de Michael Winterbottom tourne court puisqu’on apprend rapidement que le personnage incarné par Casey Affleck n’est pas celui qu’il parait être. The killer inside me se transforme alors en un portrait psychologique du personnage dévoilant notamment une part de son enfance et l’origine du mal qui le ronge. Ponctué de scènes assez violentes (vous ne reconnaitrez pas Jessica Alba) et avec une misogynie ambiante, le film a tendance à se disperser et cela s’en ressent pour les humbles spectateurs que nous sommes.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier qu’il y a des fous qui se promènent dans la nature !