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Jonathan Zaccaï

  • Joe - Je te survivrai

    Allô Keke (David Murgia) ?

     

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    01.jpgC’est Joe (Jonathan Zaccaï), bon j’espère que tu recevras ce message. Alors première chose à faire : il faut que tu contactes M. Jacquemin du garage Audi pour repousser notre rendez-vous mais attention hein ; tu fais ça avec délicatesse, je compte sur toi !

     

    Bon après ça, il faut que tu m’aides. Je suis coincé chez moi enfin plus exactement je me trouve au fond de mon puits qui se trouve près de la maison de la vieille Blanche (Ben Riga). J’y suis descendu pour couper l’arrivée d’eau de Carabosse en espérant qu’elle s’assèche et se décide enfin à débarrasser le plancher.

     

    02.jpgAvec ça c’est certain, mon terrain de golf va faire un tabac ! Par contre j’ai été un peu imprudent et mon échelle a lâché donc il faut que tu me sortes de là, fais vite. Bon maintenant je vais essayer de lancer ce portable hors du puits pour t’envoyer ce message, en espérant que ça marche …

     

     

     

    En savoir plus sur Je te survivrai ?

  • Cerise

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    Parce qu'elle est au bout du rouleau et que ça ne peut plus continuer comme ça, Pascale (Olivia Côte) a pris la décision d'envoyer sa fille vivre auprès de son père. C'est ainsi que notre pote Cerise (Zoé Adjani-Vallat) se retrouve en Ukraine ce qui est loin de la réjouir. Sentiment partagé avec Fred (Jonathan Zaccaï) qui connaît peu sa fille et qui découvre une adolescente de 14 ans au look qui ne passe pas inaperçu. Entre eux, les relations sont assez tendues heureusement que Nina (Tania Vichkova), une des voisines est là pour apaiser les choses et donner à Cerise de l'attention et de l'amour qui lui manquaient tant.

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    Au départ, ce portrait d'adolescente ne donne pas vraiment envie ; Cerise est une caricature de la jeune fille fashion amoureuse d'un chanteur beau gosse. Par la suite, le film de Jérôme Enrico se révèle un peu plus intéressant avec d'abord le personnage de Nina qui apporte une vraie fraîcheur et qui contrebalance avec les excès de l’héroïne. D'un coté, le parcours de cette dernière est plutôt prévisible mais de l'autre elle évolue dans un contexte riche puisqu'on se retrouve plongé dans une Ukraine en pleine mutation. On a donc au final une comédie au visage particulier qui se dévoile avec le temps mais de laquelle on ressort plutôt mitigé.

     

    Il faut le voir pour : Aller bronzer à Tchernobyl, il y a de bonnes ondes là-bas !

  • Je te survivrai

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    Agent immobilier, notre pote Joe (Jonathan Zaccaï) est un vendeur hors-pair et qui fait les beaux jours d’Immo V. Vendre des maisons c’est une chose mais lui est sur un projet de plus grande envergure avec la construction d’un terrain de golf sur sa propriété seulement il y a un obstacle de taille. Il s’agit de sa voisine Blanche (Ben Riga), une vieille femme avec laquelle il n’est pas vraiment en bons termes et qu’il cherche à faire partir depuis presque (j’ai bien dit presque) 5 ans. Lui vient alors l’idée de la priver d’eau et c’est ainsi qu’il entreprend de descendre dans un puits qui se trouve sur son terrain mais Joe aurait du prendre plus de précautions avant de se lancer là-dedans.

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    Dans les premiers instants, il est franchement difficile de prendre Je te survivrai au sérieux avec les personnages hyper-stéréotypés que sont Joe et ses collègues. Par la suite, le film tourne davantage sur la confrontation entre les 2 voisins laissant moins de place à la fantaisie malgré le fait que Jonathan Zaccaï nous gratifie d’une interprétation personnelle de Star Wars assez amusante. Bien qu’au fond du trou, le comédien se trouve même à son avantage renforçant encore un peu plus le double visage de ce premier long-métrage de Sylvestre Sbille. Divertissant à condition de savoir faire preuve de second degré.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus manger de fromages grecs !

  • Je te survivrai

    "Je te survivrai" ! Non attendez revenez il ne s'agit pas de la chanson de Jean-Pierre François, on va vous parler du film de Sylvestre Sbille où l'on découvrira un Jonathan Zaccaï vraiment au fond du trou et s'il veut s'en sortir il devra convaincre sa voisine Ben Riga mais c'est pas gagné !

    Date de sortie : 28 Mars 2014.


  • Sous le figuier

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    Malade, Selma (Gisèle Casadesus) sait qu’elle n’en a plus pour très longtemps et elle refuse de quitter ce monde assommée par les médicaments. Pote d’enfance depuis 30 ans, Nathalie (Anne Consigny) décide alors de passer l’été avec elle dans une belle maison de campagne qu’elle a loué. Cette chef-cuisinier, qui vient de rendre son tablier, a besoin de faire le point tout comme Joëlle & Christophe (Marie Kremer & Jonathan Zaccaï) qui vivent également des moments difficiles. L’un vient de se faire virer et se demande comment il pourra se débrouiller avec ses 3 filles tandis que l’autre voit son couple se morceler.

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    Trois personnages au bord de la crise de nerfs et une vieille dame qui voit sa vie s’évanouir, il y a certainement de quoi nous tirer quelques larmes. Le souci c’est que les ficelles qui sont utilisées dans Sous le figuier sont tellement grosses qu’on frise plus d’une fois la caricature à l’image du personnage de Joëlle. Mâchouillant son chewing-gum durant tout le film, elle se révèle agaçante au possible et ses camarades totalement transparents ne parviennent jamais à relever le niveau. Malgré ce que laissait entrevoir l’histoire l’émotion est donc loin d’être au rendez-vous, tout sonne faux et on ira chercher notre bonheur sous un autre arbre.

     

    Il faut le voir pour : Ruiner une cuisine en préparant des spaghettis bolognaises !

  • Cornouaille

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    Direction le Finistère et plus précisément Quimper pour Odile (Vanessa Paradis) qui vient d’hériter d’une maison au bord de la mer qui appartenait à sa tante. Elle n’était pas revenu sur les lieux depuis l’âge de 12 ans mais ne compte pas s’éterniser et aimerait vendre le plus vite possible. Elle s’empresse donc de vider la maison, de vendre les meubles mais au fil du temps des souvenirs remontent à la surface. Et puis ce retour lui donne aussi l’occasion de revoir Loïc (Samuel Le Bihan), un pote d’enfance avec qui elle a partagé tant de si bons moments du moins c’est ce qu’elle s’imagine. Odile a en effet cette particularité de voir les fantômes de son passé, un passé dont la page est difficile à tourner.

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    Drôle de film que la dernière réalisation d’Anne Le Ny car le spectateur pénètre sans trop s’en douter dans une étrange atmosphère. Tout commence avec la succession d’une belle maison qui va alors faire remonter les souvenirs à notre pote Vanessa Paradis et très vite c’est une ambiance mystique qui s’empare de Cornouaille. Cela est également renforcé par le folklore de la région qui vient embrumer un peu plus nos esprits avec comme résultat qu’on finit par s’y perdre. Au final, on se retrouve avec un drame fantastique assez morne peuplé par des personnages pas plus frétillants que des fantômes. Si ça peut en consoler certains, il y a quand même de beaux paysages à voir !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de porter la cravate, on va vous prendre pour un notaire.

  • JC comme Jésus Christ

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    Son nom est d’ores et déjà inscrit dans le Guinness book des records, à seulement 15 ans il fut récompensé par une Palme d’or suivi ensuite d’un César ; pas de doute Jean-Christophe Kern (Vincent Lacoste) est un génie ! Parce qu’il n’a rien à cacher, il a accepté qu’une équipe de tournage le suive au quotidien que ce soit auprès de sa famille ou durant le processus de création de son prochain film. Il a eu une révélation : faire un biopic musical sur le criminel Ducroux et de nombreuses stars se battent déjà pour obtenir ce rôle en or. Acclamé partout où il passe, JC garde tout de même les pieds sur Terre car pour lui rien ne vaut un bon bol de Miel Pops.

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    Première réalisation pour Jonathan Zaccaï qui tente le pari osé de se lancer dans le vrai-faux documentaire à la manière d’un Moi, Michel G, Milliardaire, Maitre du monde. Là encore nous allons à la rencontre d’un personnage très imbu de lui-même et l’occasion d’un nouveau grand rôle principal pour Vincent Lacoste dont on attendait la confirmation depuis qu’il a été révélé dans Les beaux gosses et qui n’a depuis fait qu’enchainer les seconds rôles. Si on accueille avec plaisir l’idée qui nous réserve quelques bons moments avec un humour parfois irrévérencieux comme la production de cette comédie musicale, sur la longueur JC comme Jésus Christ peine à trouver et maintenir le rythme. Sympa à voir mais encore faut-il que Lacoste ne vous laisse pas indifférent.

     

    Il faut le voir pour : Oublier les autres céréales et acheter des Miel Pops.

  • Si tu meurs, je te tue

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    Philippe (Jonathan Zaccaï) sort à peine de prison et une page de sa vie se tourne. Il a trouvé un petit appartement et concernant le boulot il s’occupe de débarrasser les caves, bref tout va plutôt bien. Un soir, il rencontre Avdal (Billey Demirtas) au bar ; ils se sont déjà croisés et échangent quelques mots. Philippe comprend alors que son nouveau pote d’enfance n’a pas de logement et lui propose de l’héberger pour le dépanner. Il lui trouve également un job malheureusement Avdal meurt de cause naturelle apparemment et Philippe doit prendre contact avec sa fiancée Sibe (Golshifteh Farahani). Cette dernière vient d’arriver en France mais elle ignore encore le drame qui vient de se produire.

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    Si on s’arrête aux 15-20 premières minutes du film, on se dit alors qu’on aurait mieux fait de rester chez soi mais cela aurait été une belle erreur ! Après un prologue assez statique, on découvre une comédie à l’humour à l’image de son titre à savoir très décalé et l’ennui qu’on éprouvait au départ se transforme alors en une agréable surprise. Marqué par le second degré, impossible de ne pas rire devant ce groupe de potes d’enfance kurdes ou de résister au charme de l’envoutante Golshifteh Farahani. Si tu meurs, je te tue est un film qui interpelle dans ses premiers instants mais qui se révèle être au final une très belle découverte.

     

    Il faut le voir pour : Manger des œufs durs.

  • Quartier lointain

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    C’est un curieux hasard qui a conduit notre pote Thomas (Pascal Greggory/Léo Legrand) à se retrouver dans le village de son enfance ; un lieu qu’il n’avait pas revu depuis la mort de sa mère. Celle-ci a énormément souffert de l’absence de son mari Bruno (Jonathan Zaccaï) abandonnant sa famille sans crier gare. Thomas lui aussi se pose des questions mais alors qu’il se recueillait sur la tombe de sa mère, il est victime d’un malaise. A son réveil il se croit dans un rêve ; il a fait un bon dans le passé, là où il n’était encore qu’un adolescent à quelques jours du départ de son père. Cette fois, il va tout faire pour empêcher ce tragique évènement d’arriver mais peut-on réellement changer son destin ?

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    Quartier lointain est un manga de Jiro Taniguchi qui a connu la consécration en France en recevant le Prix du Meilleur scénario à Angoulême en 2003. Si l’œuvre papier a su conquérir le public, il risque de ne pas en être de même avec cette adaptation cinématographique beaucoup trop scolaire. Le film de Sam Garbarski n’arrive pas à nous plonger dans cette atmosphère nostalgique qu’il vise, la faute avant tout à un manque de fluidité entre chaque scène. Et puis on n’a pas vraiment le temps de s’imprégner de cet univers, peut-être aurait-il fallu développer davantage cette phase afin que l’on s’attache davantage aux personnages. Une adaptation qu’on qualifiera de correct mais qui est loin de  marquer les mémoires.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier d’acheter le pain !

  • L'âge de raison

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    Margaret Flore (Sophie Marceau) est une femme déterminée et qui n'hésite pas à employer les grands moyens quand elle veut quelque chose. Menant sa carrière de main de maitre, son agenda est aussi serré que celui d'un ministre et c'est à peine si elle a eu le temps de célébrer son anniversaire. A cette occasion, un vieil homme est venu la trouver, c'est un ancien notaire du nom de Mérignac (Michel Duchaussoy), originaire du village où Margaret a passé son enfance. En ce temps là ; elle s'appelait Marguerite et avait plein de rêves et à l'âge de 7 ans, elle a écrit une série de lettres destinées à elle-même. C'est cet héritage si particulier qu'elle reçoit des mains de Mérignac et cela va bouleverser le reste de sa vie.

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    On dit toujours qu'il est important de garder ses rêves d'enfant et notre pote Yann Samuell semble bien décidé à ne pas grandir de sitôt ! Après l'amusant Jeux d'enfants, il fait revivre à Sophie Marceau ses plus belles années sauf que là la pilule a plus de mal à passer. Trop de bons sentiments tue le film et L'âge de raison souffre indéniablement de cet excès de guimauve au point de le rendre vraiment indigent. D'autre part, Jonathan Zaccaï ne semble pas trop à l'aise dans une comédie où il a du mal à tenir la cadence devant Marceau qui récite ses gammes. La magie de la nostalgie ne fonctionne pas toujours donc on s'abstiendra de ce film à la longue très ennuyeux.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de monter les escalators en sens inverse !