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Clive Owen

  • Blood ties

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    Après 12 ans passés derrière les barreaux, notre pote Chris (Clive Owen) a l’opportunité de retrouver la liberté. Pour le moment, il n’a droit qu’à une permission mais s’il trouve un job, il pourra réellement être de nouveau libre et c’est son frère Frank (Billy Crudup) qui va lui donner un coup de pouce. Il réussit en effet à lui trouver un boulot dans un garage mais entre les 2 frères, les relations sont tumultueuses. Si Chris a plongé très tôt dans la délinquance, Frank a lui choisi une voie totalement opposée en devenant flic ce qui crée parfois quelques tensions entre eux. Chris tentera bien de se ranger mais va finalement replonger dans ses mauvaises habitudes et va se retrouver confronté à son frère.

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    Sorti chez nous en 2008, Les liens du sang a droit à son remake américain mais là où c’est plutôt original c’est que Guillaume Canet, un des interprètes de l’œuvre initiale, qui se charge de la réalisation. Il en profite donc pour signer son premier film sur le territoire américain et s’offre un casting international avec Zoe Saldana, Mila Kunis, Marion Cotillard (hélas dans des rôles trop transparents) et surtout Clive Owen associé à Billy Crudup (seule véritable surprise de ce film) pour reprendre les rôles principaux. Pas de grandes surprises à signaler, la réalisation du français n’a rien de transcendante et fait se poser la question du véritable intérêt de ce remake pour ceux qui connaissent déjà le film de Jacques Maillot. Pour les autres spectateurs, ce sera juste un petit policier sympathique.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus laisser vos enfants jouer au flic et au voleur !

  • Shadow dancer

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    Londres, 1993. Les services secrets viennent d’appréhender Colette (Andrea Riseborough), membre de l’IRA et qui a tenté de poser une bombe dans le métro. Mac (Clive Owen) se charge de son interrogatoire avec un objectif précis : faire d’elle une taupe qui pourrait leur apporter d’importantes informations sur un certain Gerry (Aidan Gillen). Afin de rallier Colette à eux, il menace de la séparer de son fils et elle n’a donc d’autres choix que d’accepter leur proposition. La voilà obligée de trahir les siens, sa famille mais elle devra rester sur ses gardes car sa rapide libération éveille déjà certains soupçons.

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    Face à face entre Andrea Riseborough & Clive Owen sur fonds d’espionnage du coté de l’IRA dans les années 1990, ce film de James Marsh affiche un certain lien de parenté avec l’excellent La taupe. La comparaison est plutôt flatteuse car Shadow dancer est loin de se hisser à la hauteur de la réalisation de Tomas Alfredson mais on y retrouve une atmosphère identique à savoir assez glacial. Ici l’intrigue se construit de manière beaucoup plus simple, trop même pour réussir à étonner le spectateur malgré son irréprochable duo de comédiens. Les fans d’X-files trouveront un intérêt à y jeter un œil puisque cela vous permettra de revoir la toujours très belle Gillian Anderson.

     

    Il faut le voir pour : Ne faire confiance à personne (Trust no one) !

  • Intruders

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    Bien qu’elle vienne de souffler ses 12 bougies, notre pote Mia (Ella Purnell) est effrayée lorsque vient le moment de s’endormir. En fait, il y a quelques jours elle a fait une drôle de découverte dans le jardin de ses grands-parents ; caché dans le creux d’un arbre, elle a trouvé une petite boite. En ouvrant celle-ci, elle tombe sur un bout de papier sur lequel est écrite une histoire vraisemblablement imaginée par un enfant et où intervient un monstre nommé Sans visage. Ça tombe bien pour la jeune fille qui doit justement inventer une histoire pour l’école mais elle ne sait pas qu’en faisant cela, elle va redonner vie à un traumatisant cauchemar.

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    Comme j’étais entré dans la salle sans voir ni bande-annonce ni affiche et après les premières minutes je pensais qu’il s’agissait là d’un nouveau film d’épouvante espagnol. Une lueur d’espoir qui allait rapidement s’éteindre. Intruders propose en fait de suivre alternativement 2 histoires dont on devine assez facilement le point de liaison. Pour le reste, c’est du cinéma d’épouvante à l’américaine comme on a trop souvent l’occasion de voir c’est-à-dire sans aucune inspiration dans lequel sont venus s’égarer Clive Owen & Carice Van Houten. Pas la peine d’aller dans la salle, on a d’ores et déjà identifié les intrus : ce sont les futurs spectateurs de ce long-métrage insignifiant.



    Il faut le voir pour : Interdire à vos enfants d’écrire des histoires d’horreur.

  • Trust

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    A 14 ans, Annie (Liana Liberato) comme beaucoup de ses potes d’enfance passe énormément de temps sur son téléphone portable et les chats sur Internet ; c’est là qu’elle a fait la connaissance de Charlie (Tristan Peach). Ce dernier s’est présenté comme un garçon de 16 ans et durant 2 mois, ils n’ont cessé de discuter et parfois même de vive voix. Pour l’adolescente, c’est un vrai coup de cœur et le seul hic c’est qu’il ne vit pas à coté mais elle est loin de s’imaginer que cet homme a en réalité plus de 30 ans ! Elle ne le découvrira qu’au moment de leur rencontre ; désagréablement surprise, elle va finir par se laisser de nouveau séduire par le discours de Charlie jusqu’au point de le suivre à l’hôtel.

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    Si les progrès des technologies de la communication ont été une révolution pour beaucoup cela s’est aussi accompagnée de son lot de désagréments. Après la comédie avec Cours toujours Dennis, David Schwimmer (oui, le Ross de Friends !) change totalement de registre et s’empare de faits divers qui ont malheureusement fait l’actualité. Si dans un premier temps le déroulement de Trust apparaît plutôt classique, le développement de l’histoire prend une tournure intéressante avec les répercussions d’un tel traumatisme au cœur d’une famille guidée par Clive Owen. On appréciera notamment la prestation de Liana Liberato parfaite dans le rôle de victime en plein déni ; un film dans l'ensemble plutôt réussi.



    Il faut le voir pour : Confisquer le portable de votre fille, surveillez ses accès internet et se renseigner sur les couvents les plus proches de chez vous !

  • Sin City

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    Bienvenue à Sin City enfin c’est une façon de parler bien sur car quand vous mettrez les pieds dans cette ville, vous aurez l’impression d’avoir pénétré dans l’antichambre de l’enfer. C’est ici que Jim Hartigan (Bruce Willis), ancien flic déchu cherche la trace de Nancy (Jessica Alba), une jeune femme qu’il avait secouru 8 ans auparavant et dont on l’a injustement accusé de viol. Vous pouvez également faire un tour au Katie’s bar où vous avez de fortes chances de croiser Marv (Mickey Rourke) lui aussi embarqué dans une drôle d’affaire. En tout cas quoi que vous fassiez, ne vous aventurez jamais dans la vieille ville où Gail (Rosario Dawson) et ses potes d’enfance vous feraient vite regretter cette escapade !

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    Ce qui saute immédiatement aux yeux ce sont bien sur les images, c’est un réel choc visuel et, cerise sur le gâteau, totalement fidèle à l’œuvre de Frank Miller. D’ailleurs, ce dernier prolongera l’expérience en s’essayant personnellement à la réalisation avec The spirit et puis Sin City laisse un héritage de poids inspirant notamment 300. Plongé entre le réel et l’imaginaire, ce sont donc 3 récits fonctionnant à la manière d’un film choral dans lesquels on retrouve entre autres Clive Owen, Benicio Del Toro ou encore la regrettée Brittany Murphy. Avec sa réalisation inédite, Robert Rodriguez frappe fort et sait comment faire plaisir aux spectateurs en multipliant les massacres avec un admirable esthétisme. L’une des meilleures adaptations de comic et forcément incontournable pour tout amateur de cinéma d’action.

     

    La scène à ne pas louper : La baston entre Hartigan & Roark Jr !

     

    Découvrir le film Dans la peau du héros !

     

    En savoir plus sur Sin city : J'ai tué pour elle ?

  • Killer elite

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    Autrefois, Danny (Jason Statham) était un mercenaire et avec son pote d’enfance & mentor Hunter (Robert De Niro), ils formaient un duo du tonnerre jusqu’à cette dernière mission au Mexique. A partir de ce moment précis et après avoir croisé le regard d’un enfant innocent, il a raccroché et est parti vivre en Australie mais son passé va vite le rattraper. Il reçoit des photos montrant Hunter prisonnier, celui-ci est détenu par le Sheik Amr (Rodney Afif) qui n’acceptera de le libérer qu’à la seule condition que Danny se débarrasse de 3 cibles. Ces 3 personnes sont directement responsables de la mort des fils du Sheik qui réclame vengeance avant de s’éteindre mais ils sont également membres du Special Air Service (SAS) britannique.

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    Ce n’est pas encore pour cette fois qu’on va découvrir Jason Statham dans une comédie romantique et ce n’est pas plus mal ! Killer elite s’inspire d’évènements réels et notamment des agissements souvent obscurs du SAS à partir du témoignage écrit de Ranulph Fiennes. Un thriller bien rythmé même si on regrette que Robert De Niro fasse un peu de la figuration - au moins il sait commander du vin en France - rattrapé toutefois par un charismatique Clive Owen. Même si le scénario n’a rien de vraiment exceptionnel, il est suffisamment bien ficelé pour nous garder en haleine et on est absorbé par les phases d’action. Certainement pas le genre de film qui restera dans les mémoires mais pour les amateurs du genre, ça fera largement passer le temps !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à vous battre lorsque vous êtes ligoté à une chaise.

  • Duplicity

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    Tout a commencé le 04 Juillet 2003 à Dubaï avec la rencontre entre Claire Stenwick & Ray Koval (Julia Roberts & Clive Owen). Elle travaille pour la CIA tandis que lui roule depuis plus de 10 ans pour le MI6 ; ils étaient faits l’un pour l’autre et pourtant Claire n’a aucuns scrupules à s’enfuir avec des infos confidentielles. Un affront que n’est pas prêt d’oublier Ray et le hasard va lui donner un coup de pouce car 5 ans il tombe sur elle en plein cœur de New-York. Comble de malchance, il semble qu’ils collaboraient sans le savoir à la même opération orchestrée par Dick Garsick (Paul Giamatti), un industriel véreux.

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    Les films d’espionnage sont à la mode ces temps-ci mais Duplicity apporte une touche de glamour avec le duo Julia Roberts/Clive Owen. Tous deux agents secrets, il est surtout question de confiance dans ce film. Comment croire quelqu’un qui a justement passé toute sa vie à mentir et à jouer les taupes ? Pas toujours évident de distinguer le vrai du faux et c’est ainsi qu’on promène le spectateur durant 2 heures. Après le très sérieux Michael Clayton, Tony Gilroy s’offre une petite récréation riche en rebondissements assez sympa mais pas incontournable.

     

    Il faut le voir pour : Penser à vous acheter une perruque.

  • L’enquête-The international

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    Le parquet de New York et Interpol travaillent en collaboration sur une enquête visant les opérations de l’International Bank of Business & Credit, une banque luxembourgeoise. On suppose en effet que cet établissement est impliqué dans des transactions douteuses et une source interne confirme ces suppositions. A Berlin, Louis Salinger (Clive Owen) et son équipier Thomas Schumer (Ian Burfield) étaient chargés de rencontrer ce contact mais les choses dégénèrent et Schumer meurt dans d’étranges circonstances. Cette enquête semble déranger des gens hauts-placés qui sont prêts à tout pour cacher la vérité.

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    De Berlin à New-York en passant par Lyon ; Clive Owen nous convie à un mini tour du monde avec ce thriller assez solide. Déjà qu’avec cette période de crise, on est de plus en plus méfiants envers les instituions bancaires ; L’enquête-The international assène le coup final. Une bonne histoire avec ce qu’il faut de complexité et surtout une scène de fusillade hallucinante que vous n’oublierez pas de sitôt. Hormis peut-être une baisse de régime dans les dernières minutes et un dénouement pour le moins décevant, ça devrait vous permettre de passer un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Eviter le musée Guggenheim à New-York, c’est trop bruyant !

  • Shoot'Hem Up

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    Mr.Smith (Clive Owen) n’avait rien demandé à personne et il a fallu qu’il tombe sur cette femme enceinte qui tentait d’échapper à un homme armé. Muni d’une simple carotte, il parvient à le neutraliser mais voilà que toute une bande se pointe et c’est une fusillade qui explose laissant pour morte la jeune mère qui venait d’accoucher. Il se retrouve désormais avec un bambin sous les bras qui est en fait la cible à abattre. Avant d’en savoir plus sur cette affaire, il va retrouver la plantureuse DQ (Monica Bellucci) pour nourrir l’enfant mais il sait déjà qu’il s’est embarqué dans une drôle d’affaire.

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    Shoot’hem up est un terme emprunté au monde vidéo ludique désignant ces jeux où il faut tirer sur tout ce qui bouge.  Le film porte bien son nom car en effet, en matière de fusillade, vous allez être aux anges avec en moyenne un échange de coups de feu toutes les 5 minutes. A cela il faut rajouter une bonne dose d’humour ainsi qu’une violence assez marquée interdisant le film aux moins de 12 ans. Amateurs d’action, de flingues, de crudités et de second degré, bienvenue quant à ceux qui recherchent de la poésie, de la tendresse et un peu d’amour dans ce monde violent ; ils n’auront qu’à aller se louer un bon DVD !

     

    Il faut le voir pour : Manger des carottes.

  • Les fils de l'homme

     

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    En l’an 2027, l’humanité vit ses heures les plus sombres à tel point que la mort du plus jeune homme sur Terre est vécue comme un véritable désastre. En effet, une épidémie s’est abattue privant les femmes de la joie de tomber enceinte et donc les enfants ont peu à peu disparus de la planète. Notre pote Théo (Clive Owen) n’a pas été épargné par ce fléau mais il va être le témoin privilégié d’un miracle. Julian (Julianne Moore) qui fut sa compagne a fait appel à lui après 20 ans sans nouvelles, elle lui confie le destin de Kee (Claire-Hope Ashitey), une femme réfugiée tombée enceinte et porteuse d’un nouvel espoir.

     

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    On m’avait dit du grand bien de ce film et évidemment cela donne envie de le découvrir avec notamment un scénario plutôt intéressant avec rien moins que la fin de l’humanité. Contrairement à bon nombre de films qui se déroule dans le futur, Les fils de l’homme ne fait pas dans la surenchère au niveau des évolutions technologiques mais privilégie surtout la décadence d’une humanité perdue et désespérée. Malgré une histoire intéressante, je dois dire que je me suis pas mal ennuyé ! Seule chose que je retiendrais, l’une des dernières scènes où l’on suit Théo traversant un champ de bataille grâce à une caméra embarqué, effets garantis !