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film - Page 338

  • Sexy Dance 2

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    Malgré son jeune âge Andie (Briana Evigan) a déjà beaucoup souffert après avoir perdu sa mère à 16 ans. Recueillie par Sarah (Sonja Sohn), la pote d’enfance de sa mère ; elle s’est trouvée une nouvelle famille abev des amis réunis par une seule et même passion : la danse hip-hop. Leurs exploits ont même fait la une de l’actualité semant la panique dans les transports en commun et laissant comme seule signature le nom de leur crew 410. Des fréquentations que n’apprécient pas vraiment Sarah qui commence à perdre patience face à la désinvolture de la jeune femme. Seule solution pour Andie de calmer les choses, s’inscrire aux cours de la Maryland School of the Arts et prendre enfin ses responsabilités.

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    Peut-on réellement parler de film quand on voit une bande de jeunes s’agiter devant son écran pendant près de 1H30 ? Le schéma est archi-connu avec une héroïne qui va devoir faire ses preuves et qui finira par tout réussir à force de travail et d’acharnement (désolé si je brise l’intrigue pour ceux qui souhaitaient voir le film). Comme son prédécesseur, Sexy Dance 2 ne vaut le coup d’œil que pour les scènes de danse plaisantes à voir pendant quelques minutes mais tout ce qui les entoure est pour le moins surfait et prévisible. A conseilleur seulement aux amateurs de danse et en attendant peut-être une future déclinaison avec le mouvement Tektonik.

     

    Il faut le voir pour : Vous mettre à danser dans le métro avec vos potes d’enfance.

     

     

    En savoir plus sur Sexy Dance ?

    En savoir plus sur Sexy Dance 3 - The battle ?

    En savoir plus sur Sexy Dance 4 - Miami Heat ?

    En savoir plus sur Sexy Dance 5 - All in Vegas ?

  • Les randonneurs à Saint-Tropez

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    Depuis que nos potes d’enfance Coralie, Nadine, Louis & Mathieu (Karin Viard, Géraldine Pailhas, Philippe Harel & Vincent Elbaz) se sont rencontrés lors d’une randonnée, ils ne se sont plus jamais quitté. Quand arrivent les vacances, c’est l’occasion de se retrouver et de passer du bon temps pour oublier les tracas du quotidien. Cette année, ils ont décidé de partir du coté de Sainte-Maxime et profiter ainsi du soleil de la cote. Par le plus grand des hasards, ils vont retrouver Eric (Benoit Poelvoorde), le guide qu’ils avaient rencontré en Corse 10 ans auparavant et accessoirement l’ex de Nadine. C’est qu’il en a fait du chemin depuis la randonnée devenant ainsi un mec plein aux as.

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    Réaliser la suite d’un film est toujours un exercice délicat qui laisse souvent place à de la déception. Le premier bon point avec Les randonneurs à Saint-Tropez, c’est d’avoir réussi à réunir le casting originel et … c’est à peu près tout ! Inutile de tergiverser, pour une comédie on s’ennuie ferme et les retrouvailles tourne donc vite à la mauvaise surprise. Karin Viard tente bien de nous amuser tandis que Pailhas, Elbaz & Harel semblent totalement absent. Même Poelvoorde se remet dans la peau d’Eric sans trop y croire. On va donc tout faire pour oublier rapidement cet épisode qui n’aurait jamais du voir le jour et on préfèrera revoir Les randonneurs pour passer du bon temps.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre le geste qui sauve si quelqu’un avale une arête !

  • L'île de Nim

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    Une ile déserte que personne au monde n’a jamais découverte ; voici le lieu paradisiaque où vivent Nim (Abigail Breslin) et son père Jack Rusoe (Gérard Butler). Une existence heureuse mais qui l’aurait été davantage si la jeune fille avait toujours auprès d’elle sa mère disparue dans les profondeurs océaniques. Heureusement, elle peut compter sur le soutien des animaux devenus de véritables potes d’enfance et surtout sur les extraordinaires aventures d’Alex Rover dont elle ne manque aucun livre. Dans son imagination, il est le plus grand héros qu’ait porté la Terre mais en réalité il s’agit d’une auteure complètement anxiogène qui n’ose même pas sortir de chez elle pour récupérer son courrier !

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    Qui n’a jamais rêvé de vivre sur une ile déserte loin de tout le stress et de pouvoir se construire son petit coin de paradis ? A défaut de pouvoir vous délasser sur le sable chaud, vous pouvez toujours rejoindre L’ile de Nim, un divertissement agréable que les enfants vont pouvoir apprécier à sa juste valeur. Alors que l’histoire laissait croire à un grand film d’aventures, on est un peu déçu par le déroulement des évènements. Chacun des personnages vit son expérience de son coté pour finalement se retrouver durant les 5 dernières minutes nous laissant un peu sur notre faim. Un film à découvrir pour se rappeler les bons souvenirs de la famille Robinson !

     

    Il faut le voir pour : Constater que le Wi-fi passe même sur les iles désertes !

  • Deux soeurs pour un roi

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    Pour entrer dans les bonnes grâces d’Henri VIII (Eric Bana), roi d’Angleterre, il faut être prêt à toute sorte de sacrifice. C’est ainsi que la jeune Anne Boleyn (Natalie Portman) fut désignée pour divertir sa majesté afin de lui faire oublier une vie maritale morose. Seulement à vouloir trop en faire, elle manque de l’envoyer rejoindre ses ancêtres et voilà que celui-ci préfère la compagnie de sa jeune sœur Mary (Scarlett Johansson). Bien que cette dernière soit déjà mariée, les volontés du roi sont exaucées ; Mary et toute sa famille sont invitées à venir siéger dans la cour du roi. Mais lorsque Mary tombe enceinte, le roi se lasse de sa compagnie et veut reconquérir le cœur d’Anne.

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    Les féministes risquent d’élever leurs voix face à cette reconstitution historique sur la vie d’Henri IV, roi d’Angleterre. Oui, c’est vrai que dans les faits les sœurs Boleyn sont un peu considérées comme des marchandises, des artifices offertes au roi pour son épanouissement personnel. Mais à y regarder de plus près, ce sont justement ces femmes qui font tourner en bourrique le souverain qui ira jusqu’à provoquer une révolution dans la monarchie britannique pour les yeux de ses dulcinées. Belle reconstitution avec un duo de charme avec lesquelles le pauvre Eric Bana joue au yo-yo et finit par se faire submerger.

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’épouser les sœurs d’une meme famille.

  • Amityville

    Cela fait maintenant un peu plus de 30 ans que s’est joué un véritable drame aux Etats-Unis, dans le comté de Suffolk, fief d’Amityville. La date fatidique du 13 Novembre 1974 restera à jamais gravé dans la mémoire de tous les habitants puisque s’est déroulé le massacre de la famille Defeo. Les parents et leurs 5 enfants vivaient tous dans cette belle et immense maison située au 112, Ocean Avenue. Un soir, Ronald Defeo Junior (Brendan Dawson), le fils aîné de la famille s’empare d’une carabine et visite chacune des chambres semant derrière lui la mort. Un an plus tard, la famille Lutz vient s’installer dans cette maison d’où émanent de drôles de sensations, des pulsions meurtrières saturent l’atmosphère.

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    Parmi la vague des films d’épouvante proposés par nos amis américains, on retrouve Amityville qui a l’originalité d’être un remake (avez vous noté ce joli contresens ?). La première version était sorti en 1979 et avait surtout brillé par le fait que l’histoire était inspiré d’un fait divers reprise par l’écrivain Jay Anson. Comme bon nombre de remakes, ce film est loin d’être indispensable mais au vu du boom des films d’épouvante de l’époque, chacun voulait sa part de gâteau. Pas très effrayant, on préférera jeter un œil sur l’œuvre original plutôt que sur cette reprise insipide.

     
    Découvre le film Dans la peau du héros
  • Horton

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    Tout allait merveilleusement bien pour notre pote Horton, un éléphant qui profitait de ce soleil radieux pour faire sa toilette matinale jusqu’à ce qu’il entende un léger bruit. Il n’y avait rien autour de lui ce qui le laissait croire qu’il avait imaginé ce son et pourtant en tendant attentivement l’oreille, il percevait une petite voix qui émanait d’un grain de poussière ! Aussi invraisemblable que cela puisse paraitre, cette poussière abritait en effet tout un univers, le monde de Zouville. Pour que les habitants de Zouville puissent vivre à l’abri de tous les dangers, Horton doit amener ce minuscule grain de poussière en haut de la montagne mais ce ne sera pas une partie de plaisir !

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    Voici donc venir la dernière création de l’équipe à qui l’on doit Robots ou L’âge de glace avec une adaptation d’un livre pour enfants écrit par le Dr Seuss. Fidèle à ce que l’on a l’habitude de voir ces dernières années ; Horton est un film d’animation qui rassemble tous les éléments nécessaires pour séduire les enfants. Plongée dans une foret riche et colorée, l’histoire joue sur les notions de dimension avec une belle leçon ; quelque soit sa taille une vie reste une vie. Rien de révolutionnaire donc mais une valeur sure pour divertir les plus jeunes.

     

    Il faut le voir pour : Avoir une bonne raison de ne plus enlever la poussière chez vous.

  • Disco

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    Jogging et caddie à la main, il est difficile de croire qu’autrefois notre pote Didier Graindorge (Franck Dubosc) était la star des dancefloor. Il est loin l’époque du disco où les pattes d’éph’ ornaient les pistes mais le grand Jean-François Jackson (Gérard Depardieu) propriétaire du club le Gin Fizz va remettre tout ça au gout du jour ! La Fizz Academy est un concours qui désignera les meilleurs danseurs avec comme prix un magnifique voyage en Australie. Une opportunité pour Didier qui cherchait à offrir à son fils des vacances inoubliables. Il est temps pour lui de ressortir jean serré et de parfaire son brushing, dégagez les pistes car Didier Travolta et les Bee Kings sont de retour !

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    On le sait, Fabien Onteniente a une prédilection pour les comédies populaires et si dans l’ensemble on est loin des grandes œuvres ; il n’empêche qu’on y jette toujours avec plaisir un œil. Camarades nostalgiques c’est l’heure de revivre votre jeunesse, de vous déhancher sur le son des Bee Gees, Earth, Wind & Fire et autres. COmme dans Camping, Franck Dubosc tire presque toute la couverture à lui et c’est dommage car on aurait apprécié de voir davantage à l’écran Samuel Le Bihan, autre fidèle du réalisateur. Malgré de très bons passages, Disco manque de rythme ; les démonstrations de danse se révèlent rares, peu ahurissantes et donc décevantes. Inutile de cacher qu’on attendait plus de fun et que le film ne séduira que les aficionados d’Onteniente.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre la moulinette de l’amour !

  • Les aventuriers de l'Arche perdue

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    Quand il n’est pas dans sa salle de cours, le professeur Indiana Jones (Harrison Ford) sillonne le monde à la recherche d’antiquités et de trésors enfouis. C’est d’ailleurs en raison de sa grande expérience qu’on va lui confier une mission de la plus haute importance ; arracher l’Arche d’alliance des mains des nazis. Cet objet renferme en effet un énorme pouvoir et si celui-ci tombait entre de mauvaises mains, ce serait une véritable catastrophe pour le monde. Il prend ainsi la direction de l’Egypte où l’attend son plus grand rival René Belloq (Paul Freeman) qui a décidé d’effectuer les recherches pour le compte des allemands. La découverte de l’Arche ne sera pas facile et il faudra braver mille et un dangers avant de pouvoir s’en emparer.

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    Personnage désormais mythique du paysage cinématographique mondial, Indiana Jones a sans conteste apporté un nouveau visage au 7ème art. De l’aventure, de l’exotisme, de l’humour et un personnage aussi sympathique que charismatique ont vite fait de séduire des millions de spectateurs. Steven Spielberg voulait son James Bond et avec l’aide de son pote d’enfance George Lucas, donne naissance à l’aventurier le plus célèbre. Les aventuriers de l’Arche perdue est devenu un classique et malgré ses 27 ans d’âge, reste un film d’excellente facture. Seuls quelques effets spéciaux d’une autre époque viennent trahir sa modernité mais Indy est irrésistible et reviendra en 1984 avec Indiana Jones et le temple maudit.

     

    La scène à ne pas louper : La course d’Indy poursuivi par la boule en pierre.

     

    En savoir plus sur Indiana Jones et le temple maudit ?

    En savoir plus sur Indiana Jones et la dernière croisade ?

    En savoir plus sur Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal ?

  • Crimes à Oxford

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    L’étude des chiffres le passionne depuis de nombreuses années et notre pote Martin (Elijah Wood) est persuadé que les Mathématiques constituent la clé de voute de notre existence. Porté par sa conviction, il est venu jusqu’en Angleterre pour peaufiner sa thèse en espérant bénéficier de l’aide d’un des plus grands professeurs au monde Arthur Seldom (John Hurt). Dans le cadre de ses études, Mme Eagleton (Anna Massey), proche du professeur avait accepté de l’héberger au sein de sa demeure. Alors que le professeur Seldom venait juste de lui refuser une éventuelle collaboration sur sa thèse, Martin retrouve en compagnie de celui-ci le corps sans vie de Mme Eagleton. C’est un meurtre prémédité puisque des indices sous forme d’énigmes apparaissent et laissent présager d’autres victimes.

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    Si vous n’avez jamais supporté la vue des chiffres, le dernier film d’Alex de la Iglesia va vite vous révulser surtout si en plus vous n’aimez pas vous triturer les méninges. Avec comme thème central les Mathématiques et leur implication sur notre réalité, on aurait pu s’attendre à un thriller au suspense progressif au lieu de quoi on est un peu désorienté par les complexités théoriques énoncées. C’est bien gentil de vouloir donner aux chiffres un rôle à part entière, encore faut-il que Crimes à Oxford prenne la peine de faire participer le spectateur à cet univers énigmatique au lieu de quoi il le délaisse au profit d’une intrigue tortueuse. Ça reste toutefois un film intéressant dans son approche avec une surprise finale pour ce cluedo version maths !

     

    Il faut le voir pour : Réviser vos mathématiques.

  • Chasseurs de dragons

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    Même les meilleurs chevaliers de son oncle le Seigneur Arnold n’ont réussi à venir à bout de la créature que l’on nomme le bouffe-monde mais Zoé sait que quelqu’un viendra les sauver. Dans les histoires qu’elle lit, il y a toujours ce chevalier qui se dresse devant le danger et triomphant du mal. C’est alors qu’elle décide de partir à la recherche de ce héros et voilà qu’elle tombe nez à nez avec Lian-Shu et ses compagnons Gwizdo & Hector. Ces derniers ne sont pas vraiment les héros que l’on attendait mais ils vont toutefois se rendre dans l’antre du terrible bouffe-monde car il y a une belle récompense à la clé !

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    Difficile pour un film d’animation en images de synthèse de se faire une place au vue des grandes productions, Chasseurs de dragons s’aventurent donc sur des terres hostiles. Le design simplifié des personnages contraste avec la richesse de l’environnement avec un univers et des décors qui font penser au jeu vidéo Mario Galaxy de chez Nintendo. L’histoire est captivante et ne manque pas d’humour, le tout est mené par une joyeuse troupe avec une petite once de moralité; tout est là pour que les enfants en redemandent encore et encore. A vous de leur faire plaisir et prendre aussi du bon temps.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de penser que le tricotage est réservé aux femmes.