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film - Page 334

  • Les seigneurs de Dogtown

    Nous sommes en 1975 sur les cotes californiennes où nous retrouvons 3 jeunes garçons dont les noms resteront dans les mémoires : Jay Adams, Tony Alva & Stacy (Emile Hirsch, Victor Rasuk & John Robinson). Leur passion c’est le skate-board et à force de faire chauffer la gomme, ils sont devenus de véritables petits champions dans cette bonne vieille ville de Dogtown. Quand ils ne roulent pas, ils se réunissent dans le magasin Zephyr géré par Skip Engblom (Heath Ledger) qui se rend bien compte qu’il a en sa présence des talents à l’état pur. Skip va donc les inscrire à un concours défendant ainsi les couleurs de Zéphyr ce qui va lui permettre de lancer un véritable business.

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    Bien loin d’un simple film sur des champions de skate-board, Les seigneurs de Dogtown c’est avant tout le portrait de 3 grands champions mais dont les destins ont divergé. Ceux que l’on appelait les Z-boys ont apporté une véritable révolution à leur passion en important certaines figures issues du surf à leurs simples skates. A la réalisation on retrouvé Catherine Hardwicke, un nom qui ne vous dit certainement rien mais à qui l’on doit déjà l’excellent Thirteen. Pour les amateurs de skate-board, voilà donc un film très intéressant sur la vie de ces champions qui avaient également fait l’objet du documentaire Dogtown & Z-Boys.

     

     Découvre le film Dans la peau du héros !

  • Grace is gone

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    Quand elle est partie défendre les couleurs de son pays en Irak, Stanley Philipps (John Cusack) était très fier de sa femme. Il aurait lui aussi voulu prêter main forte à son armée mais sa vue déficiente a condamné sa carrière militaire et le voilà aujourd’hui gérant de magasin. Avec l’absence de sa femme, il doit également prendre soin de ses 2 adorables filles que sont Dawn & Heidi (Gracie Bednarczyck & Shélan O’Keefe). Un jour, 2 officiers viennent frapper à sa porte venant lui apprendre une nouvelle qu’il redoutait. Encore abasourdi par ce drame, il n’arrive pas à l’annoncer à ses enfants et sur un coup de tête va les conduire au Jardin enchanté, une fuite qui ne pourra pas durer éternellement. Il faudra se résoudre à admettre que Grace est partie.

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    On le sait l’implication militaire américaine en Irak a divisé l’opinion publique avec d’un coté les défenseurs d’une paix mondiale utopique et des patriotes fiers de voir leur armée combattre pour un semblant de justice. Malgré un Stanley plutôt favorable à cette intervention, Grace is gone nous ramène sur terre en s’intéressant avant tout au sort de cette famille abandonnée au désespoir. Retardant une échéance que l’on sait inéluctable et point culminant en terme d’émotion ; ce road-movie traine un peu en longueur mais en même temps ne prend pas cause à un parti quel qu’il soit. Devant la disparition d’un proche, il n’y a plus vraiment grand-chose à comprendre ; que l’on soit partisan ou opposant à ce conflit ; la souffrance reste immense.

     

    Il faut le voir pour : Partager avec votre enfant sa première clope (et savoir jouer un peu de la comédie).

  • Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal

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    Démis de ses fonctions de professeur, Indiana Jones (Harrison Ford) s’apprêtait à rejoindre l’Angleterre pour recommencer une nouvelle vie mais il est rattrapé in-extremis par le jeune Mutt Williams (Shia LaBeouf). Un de ses anciens collègues, le professeur Oxley (John Hurt) aurait mis la main sur un trésor inestimable ; un crane de cristal dont on ignore la réelle origine. Une découverte de grande importance qui suscite vite l’intérêt du KGB avec à sa tête l’impitoyable Irina Spalko (Cate Blanchett). Revoilà donc le plus grand aventurier de tous les temps qui reprend du service et part pour le Pérou où l’attend l’un des plus grands mystères de l’humanité.

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    S’il y a un plaisir indéniable à retrouver le héros de notre enfance, Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal se révèle décevant après une si longue absence. Cet ultime volet reste fidèle à la saga, Spielberg n’encombre pas l’écran avec les derniers effets spéciaux à la monde à tel point qu’on se dit que le film aurait pu être tourné il y a 20 ans. Par contre, je fais parti des spectateurs un peu circonspects au niveau du scénario qui, sans trahir la trame du film, se lance dans un univers de science-fiction totalement décalé par rapport à l’esprit du personnage. Sans oublier quelques scènes vraiment poussives, on se demande finalement si c’était une bonne idée de le faire revenir !

     

    Il faut le voir pour : Fêter les retrouvailles avec Indy !

     

    En savoir plus sur Les aventuriers de l'arche perdue ?

    En savoir plus sur Indiana Jones et le temple maudit ?

    En savoir plus sur Indiana Jones et la dernière croisade ?

  • Enfances

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    On dit souvent que la vie passe trop vite, que les années défilent sans que l’on s’en rende vraiment compte. Il vous arrive certainement parfois de faire preuve de nostalgie et de repenser à ces années d’innocence où chaque journée contribuait à la découverte du monde. Un évènement, des personnes, des gestes ou parfois même une odeur suffisent pour que l’on se replonge dans nos souvenirs et se remémorer les bons comme les moins bons cotés de notre enfance. Ils s’appelaient Orson (Brandon Darai), Jean (Elliot Margue) ou encore Alfred (Grégoire Azouvy) et ont tous vécu de grands moments qui ont marqué leurs jeunes années mais surtout leur existence en devenant des artistes reconnus.

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    En voilà une belle idée que de s’intéresser à l’enfance de ces illustres artistes ! Un peu dans le style de Paris, Je t’aime ; le thème de l’enfance est décliné à travers différentes personnalités dont la description nous est proposée par l'intermédiaire de 6 petits portraits. Comme souvent dans ce genre d’initiatives, les séquences sont de qualité inégale variant selon la sensibilité du spectateur. Chaque court-métrage se termine par une citation de la personne concernée et on finit par se prendre au jeu du Qui est cet enfant ? Si Enfances n’est pas le film de l’année, l’originalité est pour une fois au rendez-vous et c’est pourquoi je vous conseille d’y jeter un petit œil !!

     

    Il faut le voir pour : Se remémorer votre enfance !

  • Et puis les touristes

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    En Allemagne, lorsque vous êtes appelés pour effectuer votre service militaire, vous avez la possibilité d’effectuer à la place un Service Civil. C’est le choix de notre pote Sven Lehnert (Alexander Fehling) qui souhaitait partir à Amsterdam mais qui va finalement se retrouver dans un musée chargé d’histoire situé à Auschwitz. Homme à tout faire, il doit également veiller sur M.Krzeminski (Ryszard Ronczewski), un des rescapés de cet holocauste qui habite à proximité du musée mais l’entente est difficile. Heureusement, il retrouve vite le sourire quand il croise la belle Ania (Barbara Wysocka), une jeune guide de la région.

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    A travers le regard d’un jeune berlinois, Et puis les touristes nous invite à découvrir une région dévastée par les atrocités commises il y a près d’un demi-siècle. Un lien avec le passé à jamais inéluctable symbolisé en premier lieu par les camps de concentration qui cristallisent toute la haine et l’inhumanité de l’époque. Si l’objectif du réalisateur est clairement de proposer une réflexion sur le devoir de mémoire, le film se retrouve vite étouffé par l’énorme charge historique qui l’entoure. Un peu brouillon par moments, on ne comprend pas toujours où l’on veut nous mener ce qui atténue considérablement la portée du film.

     

    Il faut le voir pour : Stimuler votre mémoire historique.
  • Elsa Schneider & Indiana Jones - Indiana Jones et la dernière croisade

    c646a25b84b45dc5e06ac70c28da8200.jpgElsa Schneider : Dr Jones ?

    Indiana Jones : Oui, c'est moi.

    Elsa Schneider : Je savais bien que c'était vous, vous avez les yeux de votre père.

    Indiana Jones : Et les oreilles de ma mère, mais le reste vous appartient.

    Elsa Schneider : Je crois que nous avons évoqué les meilleures parties de votre anatomie...

  • Le journal d’une Baby-sitter

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    Notre pote Annie Braddock (Scarlett Johansson) est passionnée par l’Anthropologie , l’étude du comportement des hommes la fascine. Difficile alors de croire que du jour au lendemain, cette jeune femme ait décidée de devenir baby-sitter après un malentendu à la suite de sa rencontre avec Madame X (Laura Linney). En réalité, elle avait besoin de prendre du recul quant à son avenir et c’est pour cela qu’elle a accepté de devenir la nounou de Grayer (Nicholas Reese Art). Très vite, elle se rend compte que ce dernier souffre du manque d’affection de sa mère et de la quasi-absence d’un père frivole.

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    Il y a plus d’un homme qui aurait rêvé d’avoir la charmante Scarlett Johansson comme nounou mais on s’égare un peu du sujet ! Le journal d’une Baby-sitter n’a rien de bien excitant sur le papier et je vous rassure, à l’écran c’est exactement la même chose puisqu’on trouve le temps bien long Si on s’amuse légèrement de la petite récréation offerte par Scarlett Johansson et le jeune Nicholas Reese Art, le reste du film est d’un prévisible assez alarmant. L’épisode de la nounou qui vient réveiller la conscience d’une mère aveuglée par l’illusion d’une vie parfaite fait clairement dans le déjà vu. Pas un super film même pas de quoi occuper les enfants pendant 1H40 !

     

    Il faut le voir pour : Prendre garde aux peluches dans les chambres des enfants.

  • La maison de cire


     

    C’est à Bâton Rouge en Louisiane que va avoir lieu le plus grand match de football américain de la saison et ils tiennent à être de la fête ! Oui, Carly Jones (Elisha Cuthbert) et ses potes d’enfance vont pouvoir s’éclater et abuser de l’alcool comme il le faut mais la route est longue et ils décident de faire une halte. Après une bonne nuit de sommeil alors qu’ils étaient prêts à repartir, un malencontreux incident va les conduire dans une ville proche de cette foret : Ambrose. Un coin paumé comme un autre sans âme qui vive mais avec un certain musée de cire mais qui sera leur tombeau.

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    Avant d’en dire plus, précisons qu’il s’agit là d’un remake de L’homme au masque de cire d’André de Toth qui date tout de même de 1953 ! Ce petit point de culture passé, on a donc droit à un Slash-movie dans la plus pure tradition américaine avec des stars en devenir ( ?) comme Elisha Cuthbert débarquée de la série 24, Chad Michael Murray des Frères Scott ou encore la people Paris Hilton. Cette dernière démontrant tout son talent de comédienne à travers une belle scène de strip-tease. Si vous appréciez le genre ″C’est qui qui c’est qui va mourir et qui qui va survivre″ ou ″Attends moi ici, je reviens″ ; La maison de cire en est un excellent représentant avec son lot de clichés !

     

    Découvre le film Dans la peau du héros

     

     

  • Ken 1 – L’ère de Raoh

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    Après une succession de guerres, la Terre n’est plus que désolation et seuls les plus puissants survivent. Le seigneur Souther a établi son règne de terreur et ceux qui osent se dresser contre lui connaitront la mort ! Notre pote Ken est l’héritier de l’école du Hokuto et il est le premier à venir en aide à tous ceux qui sont persécutés par les hommes du tyran, il est destiné à sauver l’humanité. Pendant ce temps, son frère Raoh a également soif de pouvoir ; la puissance de son armée grandit jour après jour et celui qui se fait appeler Ken’oh sait que pour vaincre Souther il doit encore découvrir son secret.

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    ˝Ken, survivant de l’enfer ; Ken souvent croise le fer˝. Les fans du dessin animé connaissent ce refrain par cœur et ils seront les premiers à se précipiter dans les salles pour revoir les héros de leur enfance. A l’époque Ken, le survivant était surtout connu pour la profusion de scènes violentes qui ont contribué à donner mauvaise presse à l’animation japonaise. Soyez rassurés, à ce niveau là Ken 1 – L’ère de Raoh n’a rien perdu de sa superbe avec sa dose d’hémoglobine et de bastons surréalistes. Pour les connaisseurs, on regrettera des dessins pas toujours soignés malgré un design assuré par Shingo Araki (Saint Seiya) et des aspects de l’histoire originale qui ont disparus. Un défaut qui devrait être corrigé avec la sortie de 2 prochains épisodes dans les 2 années qui suivent.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir que sans le savoir, vous êtes déjà mort !

  • Semi-pro

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    Qui ne connait pas Jackie Moon (Will Ferrell), l’auteur du sulfureux tube Love me sexy ? Grace à cette chanson, il est devenu un homme riche et a pu accomplir un rêve de gosse en s’offrant une équipe de Basket ; les Flint Tropics. Avec ses équipiers, et en première ligne l’inarrêtable Clarence (Andre Benjamin), ils assurent le show mais au niveau des résultats c’est un vrai désastre. Cela n’était pas vraiment une de ses préoccupations jusqu’au jour où ils apprennent que leur ligue l’American Basketball Association (ABA) allait fusionner avec la prestigieuse National Basketball Association (NBA) et que seulement 4 équipes seraient conservés. Il va donc falloir se retrousser les manches et tout faire pour gagner les matches qui restent et espérer voir le club survivre.

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    L’humour de Will Ferrell est pour le moins particulier et si vous avez déjà eu l’occasion de voir Les rois du patin ou encore Ricky Bobby : roi du circuit ; vous saurez à quoi vous attendre. Le comédien s’immisce cette fois dans le milieu du basket-ball américain des années 1970 avant la prédominance de la NBA. Comme à son habitude, Will Ferrell incarne un personnage totalement déjanté et assure la majeure partie du show. On retrouvera également à ses cotés, Woody Harrelson qui nous avait montré que Les blancs ne savent pas sauter mais qu’ils font de bons coachs. Si vous adhérez à l’humour particulier de Semi-pro, nul doute que vous passerez un excellent moment à découvrir les premiers alley-oops de l’histoire du basket.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais jouer avec un flingue même s’il n’est pas supposé être chargé !