Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

film - Page 341

  • There will be blood

    ac8d27438629ec3d68916801c2aa432a.jpg

    C’est à la fin du 19ème siècle que les premiers gisements de pétrole ont été découverts et pour Daniel Plainview (Daniel Day-Lewis) ; cela allait révolutionner sa vie. Accompagné de son fils H.W. (Dillon Freasier) ; il fonde sa propre société de forage et part à la recherche de nouveaux territoires. C’est en Californie qu’il entend parler d’une énorme source d’or noir et avec l’art de la manipulation qu’on lui connait, Daniel obtient ces terres. Sa quête de richesse devient intarissable et tant que le pétrole continue de couler et de remplir ses poches, il est prêt à tous les sacrifices !

    791e2986892b4af85933a464dccd39f9.jpg

    Encensé par la critique et auréolé de l’Oscar du meilleur acteur pour Daniel Day-Lewis ; There will be blood promettait un grand rendez-vous de cinéma. Pourtant, au risque de paraitre rabat-joie, je n’ai vraiment pas accroché au film de Paul Thomas Anderson lui trouvant quelques passages pour le moins soporifiques. Par contre, la performance de Daniel Day-Lewis est effectivement magistrale notamment dans les dernières minutes du film. Adapté du roman Pétrole de Upton Sinclair, techniquement le film est peut-être très abouti mais je n’ai pas du tout été captivé par le scénario.

     

    Il faut le voir pour : Finir de se convaincre que la richesse fait perdre la tête.

  • Bienvenue chez les Ch’tis

    af1c03bb1960a4819edd55fcafbeb554.jpg

    Ca va faire 11 années que Philippe Abrams (Kad Merad) trime au Bureau de Poste du Salon de Provence, ne comptant plus les heures supplémentaires ; tout cela pour espérer une mutation digne de ce nom. A une poignée de main près, il aurait atteint son but et fait le bonheur de sa femme Julie (Zoé Félix) et de leur fils en s’installant au bord de la mer. Parce qu’il a effectué une fausse déclaration et s’est prétendu invalide ; la direction a décidé de le sanctionner en l’envoyant dans le Nord ! Bergues sera sa destination et tout ce qui vient à ses oreilles ne le rassure pas vraiment. Le froid, la pluie, le vent l’attendent sans oublier tout ce que l’on dit sur les gens du Nord.

    cdfbf4042fb39663162d6e7fd47315ac.jpg

    On tient le succès surprise de 2008 puisque Bienvenue chez les Ch’tis s’offre le luxe de renvoyer Astérix s’entrainer aux Jeux Olympiques. Propulsé par un formidable bouche à oreille, cette seconde réalisation de Dany Boon présente effectivement de beaux arguments pour devenir une nouvelle référence en terme de comédie populaire. En offrant la vedette à sa région natale, le comédien et réalisateur dresse le portrait des gens du nord avec beaucoup de tendresse et sans grossir les caractéristiques pour tomber dans la comédie facile. Certaines scènes sont juste hilarantes et dans l’ensemble, ce film est une excellente comédie qui devrait chasser vos idées noires de la tête.

     

    Il faut le voir pour : Parler le Ch’ti, Biloute !

  • La mort dans la peau

    178f183fe26ca77f4cf027071a5e8277.jpg

    Malgré tous ses efforts, il n’y arrive pas ; sa mémoire lui fait toujours défaut. Au mieux, il n’a que des bribes de souvenirs, des images, des mots et des noms qu’il s’empresse de noter précautionneusement dans un carnet. Jason Bourne (Matt Damon) est toujours en quête de son identité accompagné de sa tendre et chère Marie Kreutz (Franka Potente) ; il a trouvé refuge en Inde dans la cité de Goa mais on a retrouvé sa trace. Quelques jours plus tôt à Berlin en Allemagne, un homme a intercepté une transaction organisée par la CIA dérobant des informations capitales. Pour l’agent Pamela Landy (Joan Allen) aucun doute possible, on a retrouvé les traces de Bourne et le projet Treadstone est déterré.

    b0ba59ef015ed7f2a0f2a386a967b537.jpg

    Parce qu’il a la mémoire courte, notre pote Jason Bourne fait son come-back dans des aventures plus dynamiques et plus excitantes que La mémoire dans la peau. Le film débute tambour battant et apporte encore un peu plus de mystère autour de cet espion nouvelle générations. Paul Greengrass assure le spectacle avec notamment une superbe course-poursuite et prépare le terrain pour le final avec La vengeance dans la peau qu’il réalisera également. La mort dans la peau est un excellent film d’action qui a beaucoup mieux vieillit que son prédécesseur mais on peut néanmoins regretter qu’au point de vue scénaristique il y a un peu du sur-place.

  • Taken

    6200067cc63637792be53be5f425aed5.jpg

    Pour le bonheur de sa petite fille, Bryan (Liam Neeson) est prêt à tous les sacrifices. Il n’y a pas si longtemps, il était une sorte d’agent secret au service des Etats-Unis mais du jour au lendemain il a tout plaqué pour se rapprocher de Kim (Maggie Grace) qu’il ne voyait plus qu’occasionnellement depuis son divorce. Quand cette dernière lui demande l’autorisation de se rendre à Paris avec sa pote d’enfance ; il a quelques réticences mais finit par céder pour la plus grande joie de sa fille. Lui connait bien les dangers qui parcourent le monde et son intuition va s’avérer exact puisque Kim est victime d’un enlèvement au centre d’un réseau de prostitution.

    1a9046cbe832da797fb8831763a06a13.jpg

    Touche pas à ma fille ! Sous le protectorat de Luc Besson, on voit fleurir de plus en plus de films d’action dirigés par de jeunes réalisateurs français, un genre qui a longtemps été l’apanage de nos potes yankees. Derrière la caméra, on retrouve Pierre Morel qui s’est notamment illustré grâce à Banlieue 13 et nous gratifie d’un petit film sympathique avec un Liam Neeson qu’on a rarement vu dans ce genre de rôle. Si vous êtes venus chercher de l’action divertissante, vous avez frappé à la bonne porte en revanche en matière d’idées on ne peut pas dire que Taken sorte vraiment du lot. Après ce film en tout cas, on arrêtera de nous bassiner avec Paris, la ville la plus romantique au monde.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais partager un taxi.


    En savoir plus sur Taken 2 ?

  • Saw

    aff.jpg

    La vie d’Adam (Leigh Whannel) n’a rien d’extraordinaire, photographe de bas étage qui réussit tant bien que mal à vivre de son métier, il habite un petit appartement où il vit en bon célibataire. Sa vie bascule, quand il se réveille brusquement et émerge d’une baignoire remplie d’eau, il ignore où il se trouve et surtout comment il a bien pu atterrir là. ? Des lumières s’allument et une vision d’horreur commence à laisser place à l’obscurité, Adam est enchaîné à des canalisations, dans une pièce d’eau au milieu duquel gît le cadavre d’un homme à moitié dévêtu.

    dc22dfac448d43c5a0dc3f42681dec44.jpg

    On ne lui prédisait pas un grand avenir et pourtant ce film va lancer une saga marquante dans l’histoire du cinéma. Saw devient une véritable référence pour des milliers de spectateurs avides d’hémoglobine alors qu’on pourrait le considèrer comme un simple pot pourri d’autres grands films comme Seven ou Cube. La violence des scènes sont pour beaucoup dans le succès de cette saga qui semble inépuisable puisque les épisodes s’enchainent et les victimes s’accumulent ; tant que le public suivra il y aura toujours un Saw à sortir. Culte par sa prodigieuse exploitation commerciale, ce film suscite souvent la polémique et c’est plus qu’il n’en faut pour attirer les spectateurs.

     

    Découvre le film Dans la peau du héros !

     

    En savoir plus sur Saw II ?

    En savoir plus sur Saw III ?

    En savoir plus sur Saw IV ?

    En savoir plus sur Saw V ?

  • Sans plus attendre

    72f543a3daeba8fb689f41381d4701f4.jpg

    S’ils s’étaient rencontrés dans d’autres circonstances, Edward Cole & Carter Chambers (Jack Nicholson & Morgan Freeman) ne seraient peut-être jamais devenus des potes d’enfance. Seulement en raison de leur santé défaillante, tous deux viennent d’apprendre qu’il ne leur reste maintenant que peu de temps à vivre, ils sont aujourd’hui inséparables. Plutôt que de se morfondre à attendre la faucheuse, ils décident de profiter une dernière fois de tout ce que la vie peut leur offrir à travers une liste de choses qu’ils souhaitent accomplir. Grâce à la fortune d’Edward, toutes les portes leur sont ouvertes ; que ce soit le saut en parachute ou encore une course sur un circuit, il faut en profiter sans plus attendre.

    142b8ba1b11dfd8ccc2c72e35581f277.jpg

    Comme l’un des héros le dit dans le film, souhaitez-vous connaitre la date de votre mort ? Cette fatalité qui n’échappera à personne sert ici d’échéance à court-terme au duo Jack Nicholson/Morgan Freeman dont les carrières respectives mériteraient un roman en plusieurs tomes. Sans plus attendre se révèle fidèle à ce que l’on attendait, un film où nos héros découvrent que la vie est bien trop courte, qu’on ne prend jamais le temps de faire ce dont on rêve. Des bons sentiments en pagaille avec quelques moments sympas mais certainement pas le chef d’œuvre qui vous convaincra de le mettre sur la liste des films à voir avant votre mort !

     

    Il faut le voir pour : Laissez tomber le Nescafé pour le Kopi Luwac.

  • Redacted

    cdbcab27c626478e46ddb5a65dc8d5f8.jpg

    Le rêve d’Angel Salazar (Izzy Diaz) est de devenir un grand cinéaste. En attendant son heure de gloire, il a été appelé à défendre les couleurs du drapeau américain en Irak dans la ville de Samara où il ne se passe pas grand-chose. Affecté à la surveillance d’un barrage, lui et ses potes d’enfance ne font que scruter les allées et venues des irakiens. Pour combler les heures perdues, il s’est lancé dans la réalisation d’un petit film sur son unité, ce sera son passeport pour Hollywood espère t-il. Prêt à créer la sensation, il va être témoin d’un acte dramatique mais ne semble pas vraiment réaliser ce qu’il vient de vivre.

    1af453c33fa93550e192324006b34a08.jpg

    Quelques semaines après Battle for Haditha, le réalisateur Brian De Palma prend la relève sur le thème irakien. A l’instar de ce dernier, on part d’un fait divers pour construire le film mais ici on veut pointer du doigt la manipulation des images effectuée par les médias et leur diffusion quai-instantanée à l’échelle mondiale. Redacted montre comment une seule et même histoire va être déclinée et surtout vécue par les différents protagonistes occultant toujours une part de vérité. Un peu troublées au début du film, les intentions du réalisateur deviennent ensuite plus claires illustrées par des images parfois choquantes. Un film à voir pour remettre en question l’objectivité des médias.

     

    Il faut le voir pour : Croire mon pote Fox Mulder qui prônait que La vérité est ailleurs !
  • Paris

    a8df90eb655631bf62065429604db8d6.jpg

    Pierre (Romain Duris) est effondré. Son médecin vient de détecter une anomalie au niveau de son cœur et ses jours sont peut-être comptés. Il doit suivre un lourd traitement dans l’attente d’une transplantation dont les chances de réussite sont loin d’être rassurantes. Pour le réconforter, sa grande sœur Elise (Juliette Binoche) va venir lui tenir compagnie et l’aider à franchir ce moment délicat. Les journées sont longues pour Pierre qui s’occupent en jardinant mais surtout en observant certains parisiens de sa fenêtre. Quelle est leur histoire ? Que vivent-ils au quotidien ? Se rendent-ils compte de la chance qu’ils ont de pouvoir vivre avec insouciance dans cette belle ville ?

    2cf74d068ce5cbb2531563591b1f0c01.jpg

    Le duo Cédric Klapisch/Romain Duris c’est un peu le pendant français de Tim Burton/Johnny Depp ; c’est un gage de qualité. Après avoir vanté la diversité culturelle internationale, le réalisateur s’attarde sur la capitale française, centre névralgique du pays. Film choral à la distribution impressionnante, Paris se nourrit de la richesse des personnages mais il manque une âme à tout cela. Les histoires de chacun se succèdent sans véritable liant et finissent par devenir terriblement insignifiantes d’autant plus que le destin de Pierre est vite relégué au second plan. Ce n’est pas du grand Klapisch mais ça reste tout de même un film de qualité.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de draguer les filles par SMS.

  • Jumper

    3f60ca5bd007c5a2a706ebce80fa909f.jpg

    C’est à 15 ans qu’il a pris conscience qu’il avait ce don incroyable. Notre pote David Rice (Hayden Christensen) pouvait en effet se téléporter où il le souhaitait partout sur la Terre. Evidemment avec l’insouciance due à son jeune âge, il en a profité pour braquer quelques banques histoire de se constituer de l’argent de poche et 8 ans plus tard, il prend toujours son pied. Prendre le petit déjeuner à Londres avant de déguster un sandwich sur la tête des pharaons d’Egypte n’est qu’un simple amusement pour lui. Seulement, il n’est pas le seul à posséder ces pouvoirs et surtout il est pourchassé par un certain Roland (Samuel L. Jackson) qui veut le mettre hors d’état de nuire.

    3b5c45be50db1c9eee64236915c5b936.jpg

    Prêt à faire le tour du monde en 80 secondes ? Doté d’un pouvoir qui en ferait fantasmer plus d’un, revoilà notre pote Hayden Christensen qu’on avait un peu oublié depuis sa métamorphose en Dark Vador. Film d’action efficace qui ne se perd pas en dialogues inutiles qui en ferait presque oublié la légèreté du scénario qui a du sauter lui aussi vers un autre film. En gros, notre héros se découvre des pouvoirs et se fait poursuivre par des bad-guys qui veulent sa mort, voilà qui mériterait l’Oscar de l’histoire la moins originale. Jumper c’est sympa mais ce n’est pas non plus le film sur lequel je vous conseillerais de sauter dessus.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de se téléporter hors de la salle de cinéma.

     

  • Seita - Le tombeau des lucioles

    0abb34f614f3b4d08d2fb3977ca7c491.jpg

     

     

    Seita : Le 21 septembre 1945, je suis mort.