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hal yamanouchi

  • Wolverine - Le combat de l’immortel

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    Depuis la mort de Jean (Famke Janssen), notre pote Logan (Hugh Jackman) erre tel un animal sauvage jusqu’au jour où Yukio (Rila Fukushima) se présente face à lui. Cela fait un an qu’elle est à sa recherche ; une mission que lui a confié M. Yashida (Hal Yamanouchi), un vieux pote d’enfance que Logan a connu lors de la Seconde Guerre Mondiale à Nagasaki. Cet homme se meurt et tient absolument à revoir une dernière fois celui qui, à l’époque, lui a sauvé la vie mais en arrivant au Japon, celui qu’on appelle Wolverine découvre le véritable but de son voyage. Si Yashida l’a fait venir ce n’est pas pour d’émouvants adieux mais pour lui demander rien moins que son immortalité ! Le mutant a-t-il encore l’envie de vivre ou ne serait-il pas mieux aux cotés de Jean ?

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    Après des premières aventures solos qui furent clairement un échec, on attendait beaucoup de ce nouveau volet censé repartir sur de nouvelles bases. C’est donc au pays du soleil levant que Wolverine - Le combat de l’immortel nous emmène mais les motifs de satisfaction vont se compter sur les griffes d’une main. Si Jackman est toujours aussi impeccable dans la peau du célèbre mutant griffu, il est hélas toujours aussi peu mis en valeur par une réalisation qui manque clairement de panache pour satisfaire les fans. Personnages insignifiants, des scènes d’action loin d’être éblouissantes ; James Mangold fait à peine mieux que son prédécesseur mais la déception est réelle et on attend toujours le véritable film qui fera honneur au héros de Marvel.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais planter vos baguettes !

  • Un tigre parmi les singes

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    Gorbaciof (Tony Servillo) travaille en tant que comptable dans une prison, il est en outre chargé du coffre contentant l’argent versé par les familles des détenus. Avec plus ou moins de précautions, il lui arrive de piocher quelques billets car notre pote est également un joueur compulsif ; machines à sou, paris et surtout parties de poker engloutissent toutes ses économies. C’est dans l’arrière-salle d’un restaurant asiatique que les cartes s’échangent et c’est en ce même lieu que Gorbaciof va tomber sous le charme de Lila (Mi Yang), serveuse mais aussi fille d’un patron tout aussi accro au jeu. Cette rencontre va changer sa vie et il envisage désormais de tout plaquer et de s’enfuir avec elle mais pour rendre cela possible, il va lui falloir trouver suffisamment d’argent.

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    Si vous ne connaissez pas l’acteur Tony Servillo, vous allez apprendre à le connaitre car il est le pilier d’Un tigre parmi les singes. Sa présence dans ce film est d’autant plus remarquable que le réalisateur Stefano Incerti a choisit le parti-pris d’épurer au maximum les échanges. Tout au plus le personnage de Gorbaciof doit avoir 20 lignes de dialogues mais ce n’est pas pour autant qu’on ne plonge pas avec enthousiasme dans ce polar. Par contre, le gros reproche qu’on pourra lui faire c’est ce dénouement qu’on qualifiera de stupide pour ne pas dire ridicule. Ça gâche tout ce qui a été fait précédemment mais cela reste tout de même un bon moment de cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Avoir la confirmation que pour vivre avec une femme, il faut beaucoup d’argent !