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comédie - Page 53

  • RRRrrrr !!!

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    Il y a bien longtemps à l’âge de Pierre où nos ancêtres ont fait leurs premiers pas. Il existe différentes tribus parmi lesquelles se trouvent les Cheveux sales qui cherchent par tous les moyens de s’emparer d’un produit miraculeux : le shampooing ! Afin d’obtenir ce trésor, le chef (Gérard Depardieu) décide d’envoyer sa fille Guy (Marina Foïs) chez les Cheveux propres qui possèdent le shampooing et où un évènement exceptionnel vient d’avoir lieu. Un homme aurait assassiné un autre homme qui serait en fait une femme et dont les orifices ont été cousus. Les indices laissés sur place tendent à prouver que le crimier serait muni d’un gourdin et qu’il a suivi des cours de couture ; à Pierre & Le blond (Pierre-François Martin-Laval & Jean-Paul Rouve) de démasquer le coupable.

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    RRRrrrr !!! fera date dans l’histoire de la comédie française … mais comme le plus grand flop du réalisateur Alain Chabat ! Pourtant l’association entre l’ex-Nul et toute la troupe des Robins des bois promettait de nous offrir de bonnes tranches de rigolades. Avec son humour très primitif basé sur des jeux de mots quand même bien pourris (donc parfaits pour moi) et des situations lorgnant sur le ridicule (Ah cette partie de biche-volley !), le film réussit bien à nous faire sourire mais l’ensemble parait bien désuni. Les idées jaillissent de tous les cotés mais il n’y a rien de véritablement construit si bien qu’on a plutôt l’impression d’avoir devant nous une succession de scénettes. C’est sur ce n’est pas le meilleur travail du réalisateur mais on se marre quand même bien.

  • Dans la peau d’une blonde

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    Trois jolies roses pour trois belles femmes, notre pote Steve Brooks (Perry King) pensait passer une belle soirée en compagnie de ses trois ex que sont Margo, Felicia & Liz (JoBeth Williams, Victoria Mahoney & Lysette Anthony). C’est sur qu’il était loin de s’imaginer qu’elles allaient l’assassiner mais il est encore plus surpris lorsqu’il arrive au purgatoire et qu’on lui apprend que sa place au paradis est compromise. Grand macho, Steve n’a jamais respecté aucune femme aussi est-il ressuscité avec comme mission d’en trouver une qui l’ait réellement apprécié et ce n’est qu’à cette condition qu’il trouvera le repos éternel. Déjà que cela n’était pas évident mais en plus de cela pour lui donner une bonne leçon, il va se réveiller dans la peau d’une blonde !

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    Ce n’est pas une perspective qui enchanterait tout le monde de se glisser Dans la peau d’une blonde et c’est pourquoi ça donne un résultat plutôt sympathique en dépit d’un scénario qui vous sera familier. Avant-dernier film de la carrière du célèbre réalisateur Blake Edwards, le charme opère encore grâce à la prestation d’Ellen Barkin à la fois séduisante et tellement masculin ! C’est un régal de la voir incarner ce macho occasionnant des situations plutôt cocasses où hommes et femmes en prennent pour leur grade. Si cette comédie de vous réserve pas de grandes crises de rires et malgré une conclusion qui tarde à venir ; ça reste toutefois un bon divertissement que l’on soit blond ou non.

  • Gangs of Wasseypur Part 1

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    La vie de notre pote Sardar Khan (Manoj Bajpai) n’est désormais consacrée qu’à une chose : la vengeance ! A Wasseypur en Inde, le pouvoir s’obtient par la force et le Ministre Ramadhir Singh (Tigmanshu Dhulia) l’a bien compris ; lui qui n’a pas hésité à éliminer toux ceux qui ont constitué un obstacle. Parmi eux se trouve justement le père de Sardar et c’est le point de départ d’une guerre des gangs qui va se poursuivre de génération en génération. Au milieu de toute cette violence, il y a également de l’amour et bien que déjà père de 2 garçons avec sa 1ère femme Nagma Khatun (Richa Chadda), Sardar  ne peut résister aux charmes de Durga (Reema Sen).

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    Et dire que ce n’est que la première partie de ce long film qui comptera 2 volets ! Beaucoup de choses à dire sur Gangs of Wasseypur Part 1, c’est un mélange détonant où l’on retrouve des règlements de compte, un peu de danse à la Bollywood bien sur et un humour second degré qui se manifeste parfois quand on s’y attend le moins. L’ensemble est tellement bouillonnant qu’il ne faudra pas être étonné de se sentir parfois largué avec l’introduction d’une pléthore de personnages pas toujours déterminants dans la suite de l’histoire (du moins dans cette partie). Bien qu’un peu diffus c’est une très bonne surprise dont on n’a plus qu’à attendre la suite !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas utiliser de pistolets fabriqués, ils ne sont pas fiables !

  • Téléphone arabe

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    C’est un véritable sacrilège, notre pote Salem (Bassem Loulou) ne décolère pas de voir qu’une antenne téléphonique a été installée juste à coté de ses précieux oliviers. A coup sur, les radiations vont empoisonner sa récolte sans compter les dommages qui vont se propager à l’ensemble de ce village israélien. Son fils Jawdat (Razi Shawahdeh) lui est au contraire plutôt ravi de voir cette antenne qui améliore nettement le réseau, un détail important pour quelqu’un qui passe autant de temps au téléphone ! C’est que c’est devenu un outil primordial pour le jeune homme et notamment pour se trouver une petite-amie mais il va apprendre bien malgré lui que ça a aussi son lot d’inconvénients.

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    Tout le monde connait le principe du Téléphone arabe ? Très bien parce que ça n’a pas de rapport avec ce film où des villageois vont se mobiliser afin de contester l’installation d’une antenne sur leurs terres convaincus d’un règlement de comptes entre juifs et arabes. Notre héros s’appelle Jawdat et avec son air débonnaire, il réussit bien à capter notre attention dans la première demi-heure mais la suite est beaucoup plus saccadée. Des mésaventures sentimentales du jeune homme, on revient presque brusquement sur le combat de son père créant une vraie rupture que l’humour diffusé sur un trop faible réseau ne parvient pas à nous faire oublier. Il y a des films légers qu’on apprécie mais celui-ci l’est un peu trop !

     

    Il faut le voir pour : Toujours demander à vos futures copines si elles ont un grand frère !

  • Jackie Chan à Hong-Kong

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    Comme beaucoup de jeunes femmes, notre pote Bu (Shu Qi) croit encore aux contes de fée et lorsqu’elle tombe sur une bouteille à la mer dans lequel se trouve un message, elle se dit que c’est le destin qui l’appelle. Elle quitte ainsi sans réfléchir Taiwan pour retrouver celui qui a jeté cette bouteille qui se trouve au cœur de Hong-Kong. Lorsqu’elle parvient à retrouver sa trace, elle tombe sur un beau jeune homme, quel dommage qu’Albert (Tony Leung) soit gay ! Tant pis pour la belle histoire cependant cette grande métropole lui réserve encore d’autres surprises. Au cours d’une sortie en mer, elle va ainsi croiser la route de Chan (Jackie Chan) ; un riche homme d’affaires qu’elle va tenter de séduire.

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    On n’a pas eu à cogiter bien longtemps pour pondre le titre français qui résume plutôt bien le contenu du film. Jackie Chan nous fait admirer sa légendaire habilité en mer comme sur terre à travers des chorégraphies visuellement toujours impressionnantes et aussi bien assisté par l’australien Bradley James Allan. Il faudra se contenter de ça car le reste de Jackie Chan à Hong-Kong n’est composé que de passages humoristiques pas toujours très subtils et d’un scénario artificiel. Quant à la présence de Tony Leung, on retiendra davantage son masque de beauté au concombre que sa petite performance au combat. Loin d’être une œuvre indispensable dans la carrière de l’acteur, c’est tout juste un bon divertissement pour qui n’est pas trop exigeant.

  • Friends with kids

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    Après avoir rendu visite à leurs amis, Julie & Jason (Jennifer Westfeldt & Adam Scott) sont désormais convaincus que la vie de famille n’est décidément pas faite pour eux ! Pourtant, ils ont tous les deux envie d’avoir un enfant mais les contraintes du couple leur font peur et c’est ainsi que nait une drôle d’idée. Pourquoi ces 2 potes d’enfance qui se connaissent par cœur n’auraient pas ensemble un bébé tout en restant célibataires. 9 mois plus tard, leur fils Joe (Theo Mitchell / Brody Frederick) voit ainsi le jour et tout se passe merveilleusement à la grande surprise de leur entourage. Les choses risquent toutefois de se compliquer lorsque Jason fait la connaissance de la belle Mary Jane (Megan Fox) ce qui ne semble pas laisser Julie indifférente.

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    Est-ce que vous vous souvenez de Sex friends ou encore de Sexe entre amis sortis l’année dernière ? Si oui alors il vous suffit d’y ajouter la naissance d’un enfant et vous aurez globalement Friends with kids ! Les 20 premières minutes nous laissaient espérer que le film donnerait un bon coup de pied dans le schéma familial traditionnel et puis ça s’embourbe dans un profond ennui. Les 2 couples qui entourent nos héros n’ont pas non plus l’occasion de se faire voir ce qui est d’autant plus dommage quand on compte dans le casting Maya Rudolph & Kristen Wiig. Pour sa première copie en tant que réalisatrice, Jennifer Westfeldt n’a pas su dépasser le stade du simple brouillon

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de croire que vous pouvez tout demander à vos amis !

  • Une blonde en cavale

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    La nouvelle a fait l’effet d’une bombe. Notre pote Joe (Billy Connolly) vient d’apprendre qu’il a une tumeur au cerveau et que ses jours sont peut-être comptés et c’est pourquoi ce fleuriste d’origine irlandaise a décidé de voyager (surtout après avoir surpris sa femme au lit avec un autre homme. Il a bien l’intention de vivre des aventures et va croiser sur son chemin la belle Hush (Sharon Stone) qui elle s’intéresse surtout à son portefeuille. Cette femme a en effet une ardoise de 8000 dollars à régler auprès de son ex Elton (Gil Bellows) et c’est presque avec regret qu’elle dérobe les économies de Joe. Ce dernier s’en rend vite compte mais n’en veut pas pour autant à Hush ; il va même passer la nuit chez elle et faire la connaissance de ses 2 enfants Vivien & Lee (Jurnee Smollett & Dillon Moen).

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    L’histoire d’Une blonde en cavale n’a rien de particulier ; on retrouve un mec dont la gentillesse n’a d’égal que sa naïveté parvenant même à se faire passer pour un tueur à gages et qui va se retrouver avec des méchants à ses trousses. Bien qu’il ait tout pour plaire, Joe est malheureusement un personnage creux dont la maladie ne devient qu’un simple détail scénaristique pour propulser une histoire dont on connait déjà l’issue loin des aventures promises. Il n’y a donc que la présence de Sharon Stone qui pourra nous faire courir un peu et donner un peu de visibilité à cette petite comédie car pour le reste c’est bien trop léger pour nous intéresser.

  • Paris-Manhattan

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    Célibataire bien malgré elle, notre pote Alice (Alice Taglioni) est encore à la recherche du grand amour mais les désillusions sont nombreuses. Lorsqu’il faut se consoler, elle a un remède miracle : se plonger dans une des grandes œuvres de son mentor Woody Allen. Parfois même, ils conversent ensemble lorsqu’elle se retrouve seule dans sa chambre et ses conseils éclairés vont finir par payer. Au cours d’une soirée, Alice va faire la connaissance de Victor (Patrick Bruel), un homme charmant et pourtant c’est avec Vincent (Yannick Soulier) qu’elle débute une relation. Celui-ci semble parfait pour elle mais est-il réellement le mouton qu’elle attendait ?

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    Ne tirez pas de conclusions trop hâtives en découvrant le nom de la réalisatrice Sophie Lellouche qui n’a aucun lien de parenté avec le dénommé Claude. L’ombre de Woody Allen plane sur ce film et plutôt deux fois qu’une puisque notre héroïne en est une fan inconditionnelle et que Paris-Manhattan arbore la même légèreté. Des personnages incongrus aux situations les plus cocasses, le parcours de cette célibataire coaché par Allen est amusant à défaut d’afficher une quelconque originalité. Après un documentaire qui lui était consacré, cette petite comédie divertissante orchestre à sa façon un nouvel hommage au réalisateur de Brooklyn.

     

    Il faut le voir pour : Demander conseil à votre pharmacien pour vos prochaines locations vidéo.

  • Mega Python Vs Gatoroid

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    En tant que défenseur des animaux, notre pote Nikki Riley (Deborah Gibson) ne supporte pas de voir les serpents enfermés pour des expérimentations ; elle n’a donc aucun scrupule à leur rendre leur liberté. Le problème c’est que désormais les pythons prolifèrent dans le Bayou et que les alligators ne sont pas assez nombreux pour rétablir l’équilibre naturel. Terry O’hara (Tiffany) n’a pas l’intention de rester les bras croisés d’autant plus qu’elle a déjà perdu son fiancé Justin (Carey Van Dyke), elle va donc rendre les alligators plus puissants en leur donnant des stéroïdes. Se faisant, elle va totalement perturber l’écosystème et créer de véritables monstres qui vont faire d’innombrables victimes.

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    Ce qu’on retiendra de ce film c’est … ba rien du tout en fait puisque Mega Python Vs Gatoroid est un bon condensé ce qui peut se faire de plus mauvais dans le genre. Un scénario bien moisi, des effets spéciaux aussi sophistiqués que ma vieille Super Nintendo et puis évidemment des acteurs en carton-pâte. Il n’y a qu’à ce niveau qu’on ouvrira un peu plus l’œil puisque si on compte la présence de la regrettée Kathryn Joosten, c’est aussi l’occasion de revoir un certain A. Martinez. Oui les fans de la série Santa Barbara auront reconnu l’interprète de Cruz qui vient enrichir sa filmographie d’un navet bien consistant. Ba ouais, on se console comme on peut !!

  • Bowling

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    Un hôpital situé à Carhaix en Bretagne, c’est là que Catherine (Catherine Frot) vient d’être nommée DRH. Elle est venue pour dresser un bilan et le directeur de l’établissement souhaiterait notamment se débarrasser du service Maternité qui est largement déficitaire. Il y a le travail d’un coté et le loisir de l’autre et c’est ainsi qu’elle va rejoindre le club de bowling de la ville où l’accueillent ses nouvelles potes d’enfance Mathilde, Firmine & Louise (Mathilde Seignier, Firmine Richard & Laurence Arné). Une amitié qui sera mis à mal puisque Mathilde & Firmine travaillent justement à la maternité de Carhaix et elles sont effondrées à l’annonce de sa fermeture. Loin de baisser les bras, elles vont tout faire pour sauver leur emploi.

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    Drame social, film de bonnes copines ou encore comédie franchouillarde ; Bowling c’est un peu un mélange de toute cela à la fois. L’histoire inspirée de faits réels est belle et la réalisatrice Marie-Castille Mention-Schaar qui signe sa première expérience sur le grand écran ne fait que l’enjoliver. Pas beaucoup d’enthousiasme non plus à travers notre quatuor d’héroïnes, elles peuvent heureusement compter sur la gouaille de la bretantillaise Firmine Richard pour nous amuser un peu. Il y avait ensuite ce "sport" ; le bowling qui n’a pas su être mis en valeur et qui se résume en un quelconque championnat sans engouement. En résumé on est loin du Strike !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier d’avertir les autres automobilistes lorsque vous vous garez.