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comédie - Page 78

  • Ma part du gâteau

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    Dans un geste désespéré, France (Karin Viard) a tenté de mettre fin à ses jours. L’usine où elle était employé depuis plus de 20 ans vient d’être délocalisé en Chine et ayant perdu tout espoir d’entretenir ses 3 filles, elle avait baissé les bras. Fort heureusement, elle a échappé au pire et doit vite se ressaisir ce qui va la conduire à Paris. Grace à ses relations, elle devient femme de ménage et se fait embaucher par Steve (Gilles Lellouche), un trader talentueux venu se réinstaller en France pour quelques mois. A 35 ans, ce célibataire endurci a une belle situation du moins professionnellement car au niveau de sa vie privée, il est loin d’avoir trouvé le bonheur.

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    Alors c’est vrai on pourra reprocher au dernier film de Klapisch une certaine caricature dans les portraits de France (un prénom ô combien symbolique), ouvrière pure souche et Steve, trader et playboy capitaliste. Pourtant, on ne peut pas rester impassible devant certaines scènes simplement géniales comme ce remake de Pretty Woman version populiste et surtout ce final abrupt. Il y a aussi la superbe prestation de Karin Viard dans un de ses tous meilleurs rôles sans mettre de coté Gilles Lellouche, le mec qu’on adore détester. Bref, Ma part du gâteau va diviser les avis en tout cas de mon coté, ce fut un vrai bon moment de plaisir !

     

    Il faut le voir pour : Nourrir les petits canards en priorité !

  • Le marquis

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    Après un coup qui lui a fait malencontreusement perdre 100 000 euros, notre pote Quentin (Richard Berry) n’a plus le droit à l’erreur. Son boss Jo (Jean-Hugues Anglade) lui laisse une dernière chance en prévision d’un formidable casse qui aura lieu à Manille, aux Philippines. C’est ainsi que lui est venu l’idée d’engager le meilleur, le légendaire Marquis qui est actuellement en prison … enfin c’est ce qu’il pense. Le marquis c’est Thomas Mardesse (Franck Dubosc) du moins c’est ce qu’il a fait croire à tout le monde afin de se faire respecter par les autres. Dans la confusion, une évasion est donc organisée et voilà tout ce beau monde réuni pour le hold-up du siècle !

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    Après l’agréable surprise que fut L’amour c’est mieux à deux, Dominique Farrugia nous ressert une comédie avec cette fois à sa-tête un duo taillé pour nous faire rire. Ce sont donc Franck Dubosc & Richard Berry qui mènent un film à l’humour dans l’ensemble assez lourd avec des personnages pas toujours très raffinés mais avec un peu d’indulgence, on pourra trouver Le marquis plutôt divertissant. Une petite comédie sympathique mais pas forcément le rendez-vous incontournable au cinéma, on pourra très bien se contenter d’une VOD ou d’un prochain passage à la télévision.

     

    Il faut le voir pour : Faire attention quand vous mangez des marshmallows !

  • Protéger et servir

    Bonjour mademoiselle !

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    theodore3.JPGJe suis l’inspecteur Kim Houang (Clovis Cornillac) mais appelez-moi Kim ! Ah non, ce n’est pas chinois, je suis vietnamien enfin j’ai été adopté par un couple de restaurateurs vietnamiens avant que ceux-ci disparaissent dans un accident de voiture.

     

    Trêve de bavardages, revenons-en à ce qui nous amène ici ; moi et mon collègue et meilleur pote d’enfance Michel (Kad Merad). Nous enquêtons sur la série d’attentats qui visent les Galeries réunies, c’est Madame Letellier (Carole Bouquet) elle-même qui a demandé à ce que nous prenions cette affaire en main !

     

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    Tenez, je vous laisse ma carte si vous avez la moindre information appelez moi ou si vous préférez vous pouvez passer chez moi, j’habite 7 rue Gambetta à Suresnes car je sais que les commissariats sont assez intimidants. Une dernière chose, je peux utiliser votre téléphone, mon portable n’a plus de batterie ?

     

    En savoir plus sur Protéger et servir ?

  • Une pure affaire

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    Bien qu’ayant réussi à devenir avocat, notre pote David Pelame (François Damiens) n’a pas eu la vie dont il rêvait. Le soir de noël, il sort promener son chien et c’est là qu’il fut violemment bousculé par un homme poursuivi par des policiers. Dans le choc, cet homme laisse un sac que David décide de ramener chez lui ; il y trouve de la cocaïne ainsi qu’un téléphone. C’est ainsi que commence sa nouvelle carrière de dealer, une activité qu’il mène sans grande discrétion puisqu’il va devoir avouer toute la vérité à sa femme Christine (Pascale Arbillot) qui le soupçonnait de la tromper. Le couple étant dans une situation difficile, elle va désormais l’aider à écouler la marchandise comme si de rien n’était.

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    C’est à partir d’une nouvelle de Matthew Kneale qu’est née cette comédie réunissant Pascale Arbillot & François Damiens, un film agréable mais trop peu surprenant. Il est certain que le sujet du film - un couple de parents confrontés à une situation financière délicate s’adonne au trafic de drogues - était le moteur principal pour distiller quelques notes d’humour. On s’aperçoit cependant que très vite le produit qu’on nous propose est loin d’être Une pure affaire mais qu’il est coupé par cette intrigue menée de façon simpliste. Pour une première réalisation, Alexandre Coffre fait le minimum mais signe tout de même un bon divertissement avec un duo attachant.

     

    Il faut le voir pour : Penser à renouveler votre abonnement pour le métro !


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Le carton

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    Il est 9H17 quand Antoine (Vincent Desagnat) est réveillé par son téléphone. Au bout du fil, c’est son propriétaire qui l’informe que l’appartement qu’il lui loue devra être débarrassé à 13H sauf qu’Antoine s’est trompé de jour et pensait qu’il lui restait une journée pour déménager. Fissa, il contacte tous ses potes d’enfance afin qu’ils viennent lui donner un coup de main mais il est loin de s’imaginer la galère qui l’attend. Entre David (Fred Testot), comédien qui ne fait que répéter son rôle, Vincent (Bruno Salomone) prêt à sauter sur tout ce qui bouge malgré le fait qu’il ait une petite-amie et Lorenzo (Omar Sy) qui cherche à récupérer l’appartement pour faire des photos ; la journée s’annonce longue.

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    Adapté de la pièce de théâtre de Clément Michel, Le carton misait à l’époque sur la jeune génération de comédiens incarnée par Vincent Desagnat, Bruno Salomone ou encore le duo Omar & Fred. L’histoire est simple ; un déménagement organisé à la hâte et qui va évidemment tourner au désastre avec une succession de quiproquos pour essayer de nous faire marrer. De ce coté-là, c’est sur que ce n’est pas la comédie du siècle car il n’y a pas de gros fous rires à l’horizon mais c’est assez fun dans l’ensemble. L’alchimie entre les différents personnages fonctionne également plutôt bien faisant de cette petite comédie un bon moment de détente bien moins fatigant que d’aller porter des cartons !

  • Paul

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    Nos 2 potes d’enfance Graeme Willy &Clive Gollings (Simon Pegg & Nick Frost) réalisent un de leurs plus grands rêves; voyager aux Etats-Unis et participer au Comic-con, la Mecque de tout bon nerd qui se respecte! Leur séjour se poursuit ensuite à travers un road-trip mémorable où ils comptent visiter tous les lieux où ont été signalé une activité extraterrestre. Ils ne s’attendaient pas cependant à croiser sur leur route Paul, un véritable alien. Le temps de réaliser ce qui leur arrive, ce joyeux trio va reprendre la route car leur nouvel hôte est en fuite poursuivi notamment par l’agent Zoil (Jason Bateman) qui va bénéficier de l’appui de 2 autres agents.

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    Non, tous les aliens ne viennent pas sur Terre pour nous massacrer et nous asservir, la preuve avec Paul, une comédie bien sympa. S’il n’y a pas besoin d’être soi-même un nerd pour apprécier le film, on s’amusera à déceler les nombreuses références aux classiques du cinéma fantastique sans oublier une guest-star qui ne se dévoilera que dans les ultimes minutes. Au vu de la richesse de cet univers, on peut regretter que cela n’ait pas été exploité davantage peut-être pour ne pas léser le grand public. On n’est pas devant une comédie à l’humour très raffiné sans pour autant cela ne devienne lourd, le truc vraiment pas prise de tête à voir en ce moment si vous aimez rire.

     

    Il faut le voir pour : Imaginer une femme à trois seins … cool !

  • Les voyages de Gulliver

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    Cela fait maintenant 10 ans que notre pote Lemuel Gulliver (Jack Black) travaille au service courrier du journal New York Tribune et tout se passait bien jusqu’à l’arrivée d’un assistant. En un rien de temps et avec un certain aplomb, ce dernier réussit à être nommé responsable du courrier et Gulliver voit sa fierté en prendre un sacré coup ! Décidé à aller de l’avant, il tente d’avouer enfin ses sentiments à Darcy Silverman (Amanda Peet), une collègue de bureau dont il est tombé amoureux depuis 5 ans. Hélas, une fois encore le courage lui manque et lui fait faire n’importe comme se faire passer pour un voyageur au talent journalistique caché. Voilà comment, il se retrouve en plein cœur des Triangles des Bermudes, un voyage qu’il n’est pas prêt d’oublier.

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    Sans vouloir faire de jeu de mots navrant (c’est pas le genre de la maison), il n’y a aucun doute à dire que ce film est surtout réservé aux plus petits ! Il n’y vraiment que les enfants qui pourront s’amuser devant les tribulations de Jack Black et ne pas tenir rigueur d’un scénario de la taille d’un lilliputien. Les voyages de Gulliver aurait pu être une bonne distraction familiale notamment en développant un peu plus le "Gulliverse" que se crée le personnage au lieu de quoi, on a préféré s’en tenir à des vannes vues et revues. A réserver à ceux qui veulent découvrir l’univers du personnage crée par Jonathan Swift, mais cette adaptation contemporaine est loin d’être extraordinaire.

     

    Il faut le voir pour : Savoir se servir d’une envie pressante pour sauver des vies.

  • Halal police d’état

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    Une série de meurtres frappe actuellement Paris visant des épiceries arabes dans le quartier de Barbès (… Rochechouart !) et parmi les victimes, on compte la femme d’un diplomate algérien. Pour prêter main forte à la police française, l’Algérie a donc décidé d’envoyer 2 agents malheureusement, le hasard a désigné Nerh-Nerh (Ramzy Bedia) et son pote d’enfance le Kabyle (Eric Judor) ; 2 flics disons … décalés. Leur arrivée ne passe pas inaperçue notamment auprès de leurs collègues français, avec leurs méthodes made in Bled ils ont bien l’intention de démasquer ce tueur. Très vite, Nerh-Nerh fait preuve d’un sens de déduction hors-norme en rapprochant les meurtres au tableau de la cène … vraiment ?

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    Lorsque le duo Eric & Ramzy se réunit au cinéma, c’est forcément pour nous faire rire et c’est vrai qu’Halal police d’état aurait pu être une bonne comédie. Les idées ne manquent pas mais exploitées de manière trop désordonnées pour avoir leurs effets. Le film de Rachid Dhibou s’embourbe dans son 2ND degré jusqu’à donner un humour vraiment pataud comme cette scène chez le tatoueur qui nous met plus mal à l’aise qu’il ne fait rire. Le réalisateur s’est laissé dépasser pour son premier long métrage, le duo lui s’est contenté de faire ce qu’il savait faire de mieux à savoir assurer le show. Grosse déception, on ne s’amuse même pas devant une comédie qui rejoint les abimes du genre.

     

    Il faut le voir pour : Vous méfier de vos potes asiatiques … surtout après 17 heures.

  • Sex friends

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    Entre Emma & Adam (Natalie Portman & Ashton Kutcher) tout a commencé il y a 15 ans lorsqu’ils étaient en colonie de vacances et que le jeune homme a romantiquement proposé de lui mettre un d…. Bref, des années plus tard, le hasard a fait qu’ils se sont rencontrés de nouveau et quelques jours plus tard, notre pote Adam s’est réveillé totalement nu à l’appartement d’Emma qu’elle partage avec plusieurs colocataires. De fil en aiguille, ils finissent par coucher ensemble mais se mettent d’accord dès le départ ; leur relation sera exclusivement sexuelle et il n’y aura jamais de sentiments entre eux. Plus facile à dire qu’à faire !

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    Quelqu’un aurait-il oublié d’annoncer au réalisateur Ivan Reitman que nous étions désormais en 2011 ? On peut se poser la question devant Sex friends, une comédie éculée avec son scénario prévisible à la simple vue de son affiche. Ashton Kutcher reste abonné au rôle de playboy de service et creuse progressivement sa tombe à Hollywood quant à la charmante Natalie Portman, on préférera amplement sa prestation en danseuse étoile dans Black swan. Le genre de film qui n’invente rien et qui ne mérite vraiment pas qu’on se déplace dans les salles obscures pour le voir !

     

    Il faut le voir pour : Eviter de présenter votre copine à votre père.

  • Sars War

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    Le virus Sars est en train de décimer des populations entières en Afrique mais que l’on se rassure ; il n’y a aucune chance qu’il arrive en Thaïlande ! Tel est le discours officiel des autorités mais en réalité, c’est un simple moustique qui va propager le virus et transformer ses victimes en des espèces de zombies. Pendant ce temps, une jeune femme du nom de Liu (Phintusuda Tunphairao) a été kidnappée er ne sera rendue qu’en échange d’une énorme rançon. Refusant de se soumettre à cet odieux chantage, son père décide d’engager le formidable Khun Krabii (Suppakom Kitsuwan) pour la libérer.

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    Une véritable perle de nanar ! Si le titre est trompeur puisqu’il ne s’agit pas d’une parodie de la célèbre saga de George Lucas, Sars War tient en revanche ses promesses en matière de film complètement déjanté. On a parfois l’impression d’être devant un délire japonais et pourtant voici bel et bien un produit du cinéma thaïlandais qui nous avait plutôt habitué à des films d’action. Un long métrage qui ne se prend jamais au sérieux et si certains pourraient le fuir devant un produit aussi consternant, d’un autre coté on se régale tant qu’on en redemanderait presque.