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cinéma - Page 235

  • Thérèse & Pierre - Le père noël est une ordure

    03.jpg02.jpgPierre : Ohhh une serpillière, comme c'est original !


    Thérèse : Euh, nan, Pierre, c'est un gilet...


    Pierre : Ah oui, il y a des trous encore plus grands pour passer les bras ! Je me disais justement ce matin : je n'ai rien pour descendre les poubelles !

  • Incendies

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    Nawal Marwan (Lubna Azabal) est morte en laissant derrière elle ses 2 enfants Jeanne & Simon (Mélissa Désormeaux-Poulin & Maxim Gaudette) nés jumeaux. Lorsque ceux-ci découvrent le testament de leur mère ; ils découvrent qu’ils ont un frère et chacun reçoit une lettre qu’ils vont devoir remettre à leur père qu’ils pensaient disparu et à ce nouveau frère. Si Simon n’a pas l’intention de réaliser les dernières volontés d’une mère totalement absente, Jeanne elle se rend dans le Moyen-Orient. Malgré les années, elle parvient à retrouver les traces laissées par Nawal et apprend que celle-ci s’est retrouvée emprisonnée à la suite d’un assassinat ; une expérience particulièrement traumatisante.

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    Tout commence avec la mort. Incendies peut paraitre un peu perturbant dans un premier temps car on assiste parallèlement aux recherches de la fille et au parcours enduré par la mère. Passé et présent se mêlent donc et nous laisse parfois sur le bord de la touche mais le dénouement en vaut la chandelle ! Adapté de la pièce de théâtre de Wajdi Mouawad, le film de Denis Villeneuve parvient à nous surprendre plus d’une fois par ses révélations et par la juste interprétation de ses comédiens avant l’électrochoc final. S’il n’y avait pas eu une certaine confusion qui entache une partie du film, cela aurait été assurément du très grand cinéma en attendant ce sera encore un Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Découvrir comment 1 + 1 = 1.

  • The green hornet

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    C’est par l’intermédiaire des médias que notre pote Britt Reid (Seth Rogen) a appris la mort brutale de son père. Il devient ainsi l’héritier d’un énorme empire médiatique comprenant notamment le journal le Daily Sentinel. Britt est totalement perdu, ses relations avec son père étaient pour le moins tumultueuses et il va trouver un soutien inattendu auprès de Kato (Jay Chou), un employé qui s’occupait de l’entretien des voitures et … du café ! Après une virée nocturne où Britt & Kato mettent une belle raclée à des voyous, ils décident de devenir les nouveaux justiciers de la ville ; le Green Hornet débarque.

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    Moi-même j’ai assez peu de souvenirs du Frelon vert si ce n’est qu’il y avait le légendaire Bruce Lee qui distribuait les coups dans la série télévisée. Un héros  au parcours atypique puisqu’il est né d’une émission de radio avant d’être décliné au cinéma et dans les comics. Ce remake était donc le bienvenu d’autant plus qu’il est signé d’un réalisateur français hors-norme ; notre cher Michel Gondry. The green hornet est une petite merveille de fun et d’action qu’il faut toutefois savoir prendre au 2nd degré pour réellement l’apprécier. Le film du moment à ne pas manquer et mon premier Coup de cœur Ciné2909 de l’année 2011 !

     

    Il faut le voir pour : Oublier votre machine Nespresso, fabriquer la votre pour vous faire un café avec une feuille.

  • Women are heroes

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    Louis Aragon disait que l’avenir de l’homme est la femme. Quel avenir nous attend lorsque l’on voit les injustices, les violences dont sont encore victimes des milliers de femmes à travers le monde ? Leur quotidien est fait de combats permanents ; au Brésil pour survivre aux guerres menés entre gangs et policiers, en Inde pour faire respecter leurs droits ou encore en Afrique pour simplement exister aux yeux des autres. Malgré toutes les épreuves qu’elles ont traversé au cours de leur existence, ces femmes dont vous allez faire connaissance n’ont jamais perdu leur courage et la force de vivre.

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    Je suis sur que le titre de ce documentaire fera sourire certains de mes potes de la gente masculine mais attention au retour de bâton ! Le réalisateur JR ne dresse pas tant un portrait sur la femme du 21ème siècle mais se focalise avant tout sur la condition féminine au sein de certaines sociétés. L’intention est certes louable mais on ressent davantage la vision du photographe que celui du cinéaste au point que cela pourrait passer pour un simple making-of. A l’exception de quelques témoignages (la femme indienne enjouée et la petite brésilienne), on se lasse rapidement de Women are heroes.

     

    Il faut le voir pour : Faire prendre conscience à votre femme de la belle vie qu’elle mène grâce à vous !

  • Arrietty le petit monde des chapardeurs

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    Sho est un jeune garçon venu passer quelques jours dans la maison de sa grand-mère afin de prendre du repos. Il va bientôt subir une opération importante où on lui greffera un nouveau cœur et jusqu’à cette date, il a besoin du plus de calme possible. Un soir, alors qu’il n’arrivait pas à fermer l’œil, il fait la connaissance d’Arrietty, une personne minuscule qui vit avec ses parents dans les fondations de la maison. Au début, elle se montre très méfiante suite aux nombreuses recommandations qu’elle a reçues mais elle va vite découvrir que Sho est quelqu’un de confiance. Hélas, ce n’est pas le cas de la servante Haru qui tient à tout prix à trouver le refuge de ces petites personnes et de les chasser de la maison.

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    Inspiré du célèbre roman The borrowers de Mary Norton, Arrietty le petit monde des chapardeurs éveillera peut-être chez certains d’entre vous le lointain (!) souvenir des Minipouss ! Fermons cette parenthèse purement nostalgique pour découvrir un peu plus la nouvelle production des studios Ghibli. Techniquement, c’est toujours aussi magnifique ; dessins soignés, animation maitrisée et couleurs chatoyantes sont là pour nous régaler quand au scénario il s’avère plus que jamais intergénérationnel. On pourrait juste souligner un scénario un peu simple mais cela n’empêche pas que l’on tombe facilement sous le charme de l’univers des chapardeurs.

     

    Il faut le voir pour : Aller déposer un morceau de sucre dans votre jardin.

  • Le dernier des Templiers

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    Pendant des années Behmen (Nicolas Cage) et son pote d’enfance Felson (Ron Perlman) se sont battus au nom de Dieu ; beaucoup de sang a coulé sous la lame de leurs épées de templiers. Seulement, la mort d’innocents leur a ouvert les yeux et ils se sont alors enfuis passant pour des déserteurs. Quelques temps après, ils sont arrêtés mais le Cardinal d’Ambroise (Christopher Lee) leur laisse le choix : être emprisonnés ou servir l’Eglise en accompagnant une fille (Claire Foy) qu’on accuse de sorcellerie. En effet, l’arrivée de celle-ci dans le village coïncide avec une vague de peste qui a touché de nombreuses victimes.

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    La première grande scène de baston nous laisse espérer qu’on va avoir droit à des combats épiques, que Le dernier des Templiers saura nous en mettre plein la vue mais c’est un beau mirage ! Après cette ouverture vite torchée qui a du engloutir une partie du budget, le film de Dominique Sena nous embarque pour un voyage jusqu’au bout de l’ennui. On se réveille légèrement lorsqu’ils doivent traverser un pont en piteux état ou quand des loups super énervés viennent les mordiller à part ça rien à signaler. Le genre de film pour lequel vous devriez être payé pour aller le voir plutôt que l’inverse !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de faire n’importe quoi au nom de Dieu !

  • Rien à déclarer

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    La construction de L’Europe ne fait pas que des heureux, la preuve avec Ruben Vandevoorde (Benoit Poelvoorde), fervent défenseur de sa magnifique Belgique. Ce douanier n’en revient toujours pas que les frontières vont prochainement disparaitre, ça va être la porte ouverte aux voleurs, aux trafiquants en tous genres bref aux français ! D’ailleurs, ses relations avec ses collègues français sont pour le moins tendues et ce n’est pas notre pote Mathias Ducatel (Dany Boon) qui vous dira le contraire. Ce dernier est dans une situation embarrassante ; il est fou amoureux de Louise (Julie Bernard) qui n’est autre que la sœur de Ruben.

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    Contre toute attente, Bienvenue chez les Ch’tis avait battu tous les records détenant désormais le plus grand nombre d’entrées pour un film français. A priori, Dany Boon ne rééditera pas l’exploit ; Rien à déclarer est une comédie proche de sa dernière réalisation, un film à l’humour assez potache n’hésitant pas à s’appuyer sur les préjugés touchant aussi bien les français que les belges. Quant à l’inspiration de son scénario, il n’est pas allé la chercher bien loin ; l’antagonisme Nord / Sud est transposé à l’Europe avec bien évidemment ce cher message de fraternité en guise de conclusion. Tout le monde ne sera pas sensible à cette comédie populaire mais la présence de Benoit Poelvoorde est un bel argument pour vous laisser tenter.

     

    Il faut le voir pour : Sortir votre 4L du garage et lui faire un bon lifting !  

  • Tekken

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    Une armée de Jacks a fait irruption dévastant sa maison et lorsque notre pote Jin Kazama (Jon Foo) s’est rendu sur les lieux, il n’a pu que constater la mort de sa mère Jun (Tamlyn Tomita). Pour le jeune homme, le responsable de sa mort est tout trouvé, ce n’est nul autre que Heihachi Mishima (Cary-Hiroyuki Tagawa) et il va tout faire pour assouvir sa vengeance. Il décide ainsi de participer au tournoi Iron Fist afin d’affronter les combattants Tekken ce qui le mènera directement auprès d’Heihachi. Avant cela, il va devoir se défaire de Marshall Law (Cung Le) mais pendant ce temps, quelqu’un d’autre cherche à faire chuter Heihachi. Il s’agit de son propre fils Kazuya (Ian Anthony Dale) qui souhaite s’emparer du pouvoir de son père.

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    Les amateurs de jeux vidéo auront bien entendu reconnu l’adaptation du célèbre hit de Namco dont les débuts remontent quand même à 1994 ! Généralement, passer de la console à l’écran est rarement salutaire, il y a eu des résultats désastreux et d’autres plus convenables. Tekken se situe entre les 2 ; on échappe au ridicule d’un Street fighter mais on est encore loin de l’adaptation idéale. Le casting des personnages est déjà un point négatif ; les femmes brillent par leur plastique tandis que les hommes manquent de charisme. Ajoutez à cela des combats chorégraphiés par Cyril Raffaelli mais qui manquent vraiment de panache et vous obtenez une nouvelle fois une belle déception. Allez, on va plutôt retourner jouer à la console !

  • Poupoupidou

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    Qui aurait cru que notre pote David Rousseau (Jean-Paul Rouve) trouverait son inspiration à Mouthe, bourgade de 921 habitants. Il s’y était rendu à la suite du décès de son oncle qui lui a légué un objet inestimable et puis cet écrivain atteint du syndrome de la page blanche a trouvé l’idée de son prochain livre ! C’est dans les médias qu’il apprend la mort de Candice Lecoeur (Sophie Quinton), la star locale qui fut notamment l’égérie du fromage La belle du Jura. Sa disparition intrigue puisqu’on a retrouvé son corps abandonné en pleine nature entre les frontières françaises et suisses et tout laisse à penser qu’il s’agit d’un suicide. Mais quand David commence son enquête ; il relève certaines incohérences et découvre des mimétismes troublants entre cette jeune femme et … Marilyn Monroe.

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    L’action nous conduit dans un village reculé envahi par la neige d’où émerge la blondeur de la délicieuse Sophie Quinton, une héroïne aux allures de victime. Poupoupidou doit énormément à son couple d’acteurs bien qu’ils ne soient jamais réellement en duo ; Jean-Paul Rouve incarne avec le flegme son personnage tandis que Sophie Quinton nous rappelle pourquoi elle avait été nominée au César du Meilleur espoir féminin 2004. Surtout on retiendra la réalisation de Gérald Hustache-Mathieu puisant son inspiration aussi bien dans les romans de James Ellroy que dans des œuvres comme Twin Peaks ou encore le cinéma des frère Cohen. Ambiance particulière pour un film tout aussi particulier, on ne voit pas le temps passer et ceux qui tenteront leur chance feront une belle découverte !

     

    Il faut le voir pour : Découvrir la réincarnation de Marilyn Monroe !

  • L’arnacœur

    Bonjour,

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    theodore3.JPGJe m’appelle Alex Lippi (Romain Duris) et je suis un briseur de couples. Enfin je n’aime pas trop ce terme car j’agis avant tout pour libérer les femmes qui souffrent sans le savoir dans leur couple, je les aide à ouvrir les yeux.

     

    Comment je m’y prends ? D’abord avec l’aide inestimable de ma sœur Mélanie (Julie Ferrier) et de son mari Marc (François Damiens). Ils s’occupent de collecter les informations essentielles de mes cibles, ce qu’ils aiment, détestent, brefs tous leurs secrets inavouables.

     

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    Après c’est à moi d’entrer en scène. Je deviens un ami, un confident puis enfin un amant. Et pour que tout ça fonctionne, j’ai une technique infaillible les larmes et l’affaire est dans le sac ! Enfin, il y a des cas plus difficiles comme par exemple cette Juliette (Vanessa Paradis) pour qui je suis en train d’apprendre la chorégraphie de Dirty Dancing !

     

     

     

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