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cinéma - Page 157

  • Lady Vegas - Les mémoires d’une joueuse

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    Ce n’est vraiment plus possible ! Notre pote Beth (Rebecca Hall) a pris la décision de tirer un trait sur son job de strip-teaseuse et va profiter de l’occasion pour se rendre à Las Vegas. Sur place, elle part à la recherche d’un boulot et va être recommandée auprès de Dink (Bruce Willis), un parieur sportif. Basket universitaire ou professionnel, football américain ou courses de chevaux ; s’il y a possibilité de miser de l’argent il ne dira pas non. C’est une expérience extrêmement enrichissante pour Beth d’autant plus que son patron ne la laisse pas indifférente et l’histoire aurait pu être belle s’il n’y avait pas eu Tulip (Catherine Zeta-Jones), la femme de Dink !

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    Ouvrons les paris, ce film de Stephen Frears ne va pas bénéficier d’une très grosse cote dans les salles obscures. On se disait pourtant qu’en réunissant Rebecca Hall, Catherine Zeta-Jones, Bruce Willis & Joshua Jackson ; le réalisateur de Tamara Drewe allait nous concocter un truc sympa mais les promesses s’envolent vite en fumée. Le thème du pari sportif aurait pu nous emballer mais c’est incompréhensible pour les néophytes et ça ne cherche même pas à faciliter les choses aux spectateurs aussi ne faut-il pas s’étonner qu’on lâche l’affaire rapidement. Le scénario d’une vaine platitude n’aidera pas non plus Lady Vegas - Les mémoires d’une joueuse à rafler la mise.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de jouer au Pousse pièces.

  • Belles, blondes et bronzées

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    Un programme alléchant attendait nos 2 potes d’enfance Marc & Alain (Xavier Deluc & Philippe Klébert) qui devaient retrouver leurs copines pour un week-end à la campagne mais il va y avoir un léger imprévu. Alors qu’ils chargeaient leurs affaires dans la voiture, au même moment un braquage a lieu au Crédit Mexicain et par mégarde les sacs sont confondus. Tandis que les braqueurs s’enfuient avec des vêtements, les deux garçons ignorent encore qu’ils ont en leur possession plus de 500 millions de francs. Quand ils s’en aperçoivent enfin, ils comprennent mieux pourquoi ils sont poursuivis de la sorte et vont devoir se réfugier au sein d’un groupe de jolies femmes. Ils se font passer pour des accompagnateurs et s’envolent ainsi pour le Maroc à Agadir !

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    Il suffira d’apercevoir nos 2 héros affublés avec leurs patins à roulettes et leurs walkmans autour du cou pour ressentir un terrible coup de vieux. Les années n’ont donc pas épargné Belles, blondes et bronzées ; une comédie typique de Max Pécas pleine de frivolité et reposant sur un scénario construit sur une succession de malentendus. Loin d’être inoubliable, vous vous surprendrez peut-être à sourire face à son humour absurde (j’avoue l’arrêt d’urgence de l’avion m’a fait cet effet) du moins si vous ne le zappez pas avant ! C’est donc une comédie très légère à l’image de la tenue vestimentaire du casting féminin dont on ne retiendra peut-être qu’une chose : un Ticky Holgado comme on l’a rarement vu.

  • A cœur ouvert

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    Nos potes Mila & Javier (Juliette Binoche & Edgar Ramírez) sont 2 chirurgiens talentueux et qui ont la particularité d’être en couple dans la vie privée. Tout allait plutôt bien pour eux jusqu’au jour où Javier apprend qu’il ne pourra plus opérer, une décision grave motivée par les problèmes d’alcool que rencontre ce médecin. Durant cette épreuve difficile, sa femme sera d’un soutien indéfectible et même s’ils traversent des moments de doute, leur amour est lui sincère. Quoi de mieux que la naissance d’un enfant pour prouver cela et pourtant lorsque Mila apprend qu’elle est enceinte, elle hésite à garder ce bébé.

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    Ce n’est pas pour son scénario qu’on se précipitera sur A cœur ouvert car cette adaptation du roman de Mathias Enard se résume à la déliquescence de la vie d’un couple. Il y a d’abord ce combat presque vain d’un homme contre son addiction à l’alcool ce qui conduit inévitablement à de multiples altercations entre ce mari et sa femme. Alors si on ne peut pas retirer que Juliette Binoche et son partenaire à l’écran Edgar Ramírez font preuve d’une présence incroyable dans le film, il faut aussi reconnaitre que ça finit par tourner en rond. L’histoire n’est donc pas des plus passionnantes et serait même susceptible de faire décrocher quelques spectateurs en cours de route !

     

    Il faut le voir pour : Faire passer un alcootest au chirurgien qui s’occupe de vous.

  • Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare

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    C’est désormais une réalité ; dans 3 semaines l’astéroïde Matilda frappera la Terre et signera la fin du monde. Quelques secondes après cette annonce officielle, notre pote Dodge (Steve Carell) voit sa femme le quitter et commence alors pour lui une lente dépression. Alors que tout son entourage l’invite à profiter de ses derniers moments et de vite retrouver une compagne, lui n’y voit aucun intérêt. Ceci était vrai jusqu’à ce qu’il croise Penny (Keira Knightley), une voisine qui vient de rompre avec son petit-ami. Celle-ci cherche n’a désormais qu’un but ; revoir sa famille mais elle a manqué le dernier avion qui pouvait l’amener jusqu’à eux et ça la désespère. Pendant ce temps, Dodge découvre une lettre qu’il n’espérait plus et qui pourrait bien changer le peu de vie qu’il lui reste !

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    A priori, l’extinction de la race humaine serait une perspective peu réjouissante mais c’est aussi et surtout l’occasion de se lâcher. De la folie, on aurait bien aimé que la réalisatrice Lorene Scafaria en donne davantage à son film tellement l’ensemble est plat. Ça n’aurait pas été du luxe de voir un trait d’humour plus prononcé car le peu de scènes qui vont dans ce sens sont rapidement gommées par la mélancolie générale de Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare. Il est vrai que ce n’est pas un défaut en soi mais en l’occurrence, ça plonge le spectateur dans une ambiance plutôt soporifique jusqu’à ce que la fin du film nous réveille ! On pourra à peine se consoler en croisant des têtes bien connues du petit écran comme Connie Britton, William Petersen ou encore Gillian Jacobs.

     

    Il faut le voir pour : Penser à redonner le courrier à votre voisin !

  • Mega Shark Vs Crocosaurus

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    Et si le Megalodon était encore en vie ? C’est la folle théorie de notre pote le Lieutenant Terry McCormick (Jaleel White) car après tout on n’a pas retrouvé sa carcasse. Personne n’y croyait vraiment à bord de l’USS Gibson et pourtant lorsque ce requin géant vient les attaquer, ils vont vite réaliser leur erreur. Alors que le navire de guerre s’enfonce dans les eaux profondes, seul Terry parvient à s’en sortir mais il pleure la disparition de sa fiancée Corrine (Nicola Lambo) qui était à bord. Pendant ce temps au Congo, un monstre sème la terreur ; un crocodile géant a émergé d’une mine de charbon et Nigel Putnam (Gary Stretch) se voit engager pour le chasser. Il parvient à le neutraliser temporairement mais lors d’un voyage en mer, la rencontre avec le requin va tout bouleverser.

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    Vous ne l’aviez pas vu venir ce retour du Mega Shark, en même temps il est fort probable que vous n’ayez pas vu tout court ses premières aventures. Plus de calmar ou de pieuvre géante à lui opposer ici mais un énorme crocodile ! Au départ, ce Mega Shark Vs Crocosaurus s’avère un peu (mais vraiment un tout petit peu) plus fun que son prédécesseur ; les monstres apparaissent rapidement et les scènes d’action sont dignes d’un bon nanar comme en témoigne le combat mené contre cet aileron géant. Par la suite, ça devient bien plus monotone puisqu’on se contente d’une chasse aux œufs menée soit à bord d’un hélico soit à l’intérieur d’un sous-marin. Pour l’anecdote, on retrouve Jaleel White qu’on a connu dans la peau du célèbre Steve Urkel.

     

    En savoir plus sur Mega Shark Vs Giant Octopus ?

  • My best men

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    David (Xavier Samuel) est de retour à Londres après avoir passé 6 mois à vadrouiller et retrouve ses potes d’enfance Tom, Graham & Luke (Kris Marshall, Kevin Bishop & Tim Draxl). C’est l’occasion pour lui de leur annoncer cette merveilleuse nouvelle : il a rencontré l’amour de sa vie et s’apprête à se marier. Elle s’appelle Mia (Laura Brent), fille d’un sénateur australien et la cérémonie aura lieu dans leur somptueuse propriété mais il risque d’y avoir quelques imprévus. Alors que David fait tout son possible pour se faire bien voir auprès de sa belle-famille, ses 3 amis provoquent catastrophe sur catastrophe. Ils ont dérobé par mégarde un sac rempli d’héroïne, kidnapper un mouton ou bien encore relever la fontaine de chocolat ; c’est sur il va y avoir de l’animation !

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    Les similitudes avec un certain Very bad trip ne sont certainement pas un hasard à la différence qu’ici on zappe le traditionnel enterrement de vie de garçon pour s’intéresser directement à la cérémonie de mariage. Ça n’empêche pas pour autant un défilé de conneries monumentales que nos 4 potes d’enfance tentent de rattraper avec plus mais plutôt moins de succès. S’il y a quelques gags que l’on voit arriver comme le nez au milieu de la figure et que les personnages ont un terrible air de déjà vu ; My best men reste une comédie assez sympa. L’occasion également de revoir une Olivia-Newton John en mode déjantée ; on passe un bon moment même si on aurait apprécié un peu plus de folie et de nouveauté pour nous emballer totalement !

     

    Il faut le voir pour : Jeter un oeil sur le discours de votre témoin avant qu'il ne fasse son show !

  • Sexy Dance 4 - Miami heat

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    Ils ont encore frappé et vous pouvez d’ailleurs admirer leurs exploits sur Youtube : The mob crée le buzz après leur nouveau coup d’éclat qui a paralysé temporairement Ocean drive. Ce groupe de danseurs et d’artistes de Miami espère pouvoir atteindre les 10 millions de vues et remporter ainsi le concours organisé par le site Internet et ils sont plutôt bien parti ! A la tête de ce crew, il y a Sean & Eddy (Ryan Guzman & Misha Gabriel) et ils s’apprêtent à accueillir un nouveau membre en la personne d’Emily (Kathryn McCormick). Si tout semble bien se passer au départ, les choses deviennent un peu plus compliqué lorsque le groupe apprend que le père de la jeune danseuse n’est autre que Bill Anderson (Peter Gallagher), un promoteur qui menace de raser leur quartier.

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    Heureux soient les scénaristes de ce Sexy Dance 4 - Miami heat qui pour une fous nous évite le traditionnel concours de danse … mais on n’échappe pas à un scénario torché en 29 secondes ! Ici, un riche homme d’affaires vient jouer les méchants et embête les habitants des quartiers populaires de Miami ; il n’y a donc rien de mieux pour protester que de danser. Coté spectacle, il y a de belles choses à voir rythmé sur une bande originale assez marquée électro associé à des cascades en trampolines. C’était assez pertinent d’utiliser le phénomène du Flasmob mais le film ne réussit pas vraiment à exploiter l’idée en dehors de la scène du musée. Les critiques sont toujours les mêmes mais ici au moins c’est plutôt divertissant pours nos yeux !

     

    Il faut le voir pour : Oublier les règles !

     

    En savoir plus sur Sexy Dance ?

    En savoir plus sur Sexy Dance 2 ?

    En savoir plus sur Sexy Dance 3 - The battle ?

    En savoir plus sur Sexy Dance 5 - All in Vegas ?

  • Superman : Doomsday

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    Plus que jamais déterminé à faire chuter Superman de son piédestal, notre pote Lex Luthor a confié à une équipe de scientifiques une mission importante. Le projet Applecore vise en effet à déterrer un vaisseau spatial d’origine extraterrestre dans lequel était retenu un monstre à la puissance colossale. Il se nomme Doomsday et va provoquer de nombreux dégâts jusqu’à l’intervention de l’homme d’acier. Les coups pleuvent et sont d’une force inouïe, leur combat est en train de ravager Metropolis mais le plus inquiétant c’est que Doomsday semble prendre l’avantage. Dans un dernier sursaut, Superman parvient toutefois à le neutraliser mais à quel prix ? Il s’effondre devant Lois Lane et le monde s’apprête à pleurer la mort de Superman !

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    Pour ceux qui ne sont pas des habitués de l’univers comics, il faut savoir que Doomsday est un adversaire emblématique de Superman, car il fut celui qui l’a tué ! Enfin, la mort d’un héros étant un concept aussi éphémère que les promesses d’un candidat politique, vous devinerez aisément que Clark fera son retour dans l’histoire. Adaptation de l’épisode historique Superman #75, ce Superman : Doomsday ne fera lui pas date en raison d’un dessin assez enfantin et étrange loin de rendre hommage au dessinateur Dan Jurgens. Pourquoi a-t-il fallu affubler Superman d’un menton à la Bogdanoff ? Techniquement loupé, cette adaptation ne tient pas ses promesses et on se rabattra plutôt vers le comic book bien plus séduisant.

  • Les sorties du 15 Aout

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    Est-ce le fait qu’il s’agit d’un jour férié, toujours est-il que l’actualité cinématographique est plutôt calme cette semaine. Le show sera cependant assuré par Magic Mike signé Steven Soderbergh avec le beau Channing Tattum et c’est bien normal puisque c’est le passé de l’acteur qui a inspiré le film. Avant de devenir star à Hollywood, le beau-gosse se dévoilait aux femmes et il est prêt à remettre le couvert !

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  • Abraham Lincoln : Chasseur de vampires

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    En 1818, notre pote Abraham Lincoln (Lux Harney-Jardine/Benjamin Walker) n’est encore qu’un enfant lorsqu’il perd sa mère dans d’étranges circonstances. Témoin direct de cette nuit d’horreur, il sait que le responsable de sa mort n’est autre que Jack Barts (Marton Csokas) mais à ce moment là il ignorait encore qu’il s’agissait d’un vampire ! Ce n’est que 9 ans plus tard qu’il découvrira la vérité révélée par Henry Sturgess (Dominic Cooper) qui a dédié sa vie à exterminer ces créatures. Abraham veut lui aussi participer à leur destruction e si pour cela il doit oublier toute notion de vengeance, il sait qu’un jour ou l’autre il aura la peau de Barts. L’homme s’illustre aussi à travers un autre combat ; celui contre l’esclavagisme et qui va le conduire à devenir le 16ème président des Etats-Unis !

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    Voilà comment rendre l’histoire intéressante ; il suffit d’y parsemer des vampires et c’est tout de suite plus captivant n’est ce pas ? Bien entendu, on repassera pour découvrir un biopic sur Lincoln et on appréciera à sa juste valeur ce divertissement qui n’est là que pour vous vider l’esprit. Adaptation d’un roman de Seth Grahame-Smith, on délaissera tout ce qui est autour des scènes d’action pour se contenter d’un spectacle constitué de décapitations et de bastons en slow-motion agréable mais peu impressionnant sans compter que le héros Benjamin Walker manque cruellement de charisme. J’aurais bien aimé que Timur Bekmambetov assume ce Abraham Lincoln : Chasseur de vampires jusqu’au bout et nous propose un film d’action un peu plus excitant ; on se contentera d’une légère récréation.

     

    Il faut le voir pour : Toujours avoir un plan de secours !