Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

doomsday

  • Superman : Doomsday

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Plus que jamais déterminé à faire chuter Superman de son piédestal, notre pote Lex Luthor a confié à une équipe de scientifiques une mission importante. Le projet Applecore vise en effet à déterrer un vaisseau spatial d’origine extraterrestre dans lequel était retenu un monstre à la puissance colossale. Il se nomme Doomsday et va provoquer de nombreux dégâts jusqu’à l’intervention de l’homme d’acier. Les coups pleuvent et sont d’une force inouïe, leur combat est en train de ravager Metropolis mais le plus inquiétant c’est que Doomsday semble prendre l’avantage. Dans un dernier sursaut, Superman parvient toutefois à le neutraliser mais à quel prix ? Il s’effondre devant Lois Lane et le monde s’apprête à pleurer la mort de Superman !

    01.jpg

    Pour ceux qui ne sont pas des habitués de l’univers comics, il faut savoir que Doomsday est un adversaire emblématique de Superman, car il fut celui qui l’a tué ! Enfin, la mort d’un héros étant un concept aussi éphémère que les promesses d’un candidat politique, vous devinerez aisément que Clark fera son retour dans l’histoire. Adaptation de l’épisode historique Superman #75, ce Superman : Doomsday ne fera lui pas date en raison d’un dessin assez enfantin et étrange loin de rendre hommage au dessinateur Dan Jurgens. Pourquoi a-t-il fallu affubler Superman d’un menton à la Bogdanoff ? Techniquement loupé, cette adaptation ne tient pas ses promesses et on se rabattra plutôt vers le comic book bien plus séduisant.

  • Doomsday

    aff02.jpg

    Imprévisible et dévastateur, le virus du faucheur a frappé de plein fouet et le nombre de victimes ne cessait d’augmenter. La catastrophe prit une telle ampleur que l’Angleterre, terre d’asile des rescapés, a du construire un mur laissant l’Ecosse à son propre destin. Malgré toutes les précautions, le virus continue sa propagation et ce n’est qu’une question de temps avant qu’il ne ravage le cœur de l’Angleterre. Un infime espoir existe ; de l’autre coté du mur des images montrent qu’il existerait un remède et pour en avoir le cœur net, une opération spéciale est mise en place avec à sa tête Eden Sinclair (Rhona Mitra).

    02.jpg

    Un virus qui transforme et décime la population ; à première vue on se dit que Doomsday promet d’être un énième film de zombies. Pourtant, très vite on se rend compte que c’est encore pire que ça puisque le réalisateur Neil Marshall (The descent) a voulu jouer sur tous les tableaux. Jeux de guerre entre militaires suréquipés et punks cannibales, combat à mort à la sauce médiévale et enfin une course poursuite façon Mad Max. Le mélange est vraiment étrange sans compter une extrême violence (même les lapins ne sont pas épargnés) et vous voilà devant un beau navet. A ne voir que si le monde est effectivement sur le point d’être anéanti