Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anne heche

  • Arthur Newman

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Son nom est Arthur J. Newman (Colin Firth) du moins c’est comme cela qu’il se fait appeler maintenant. Il n’y a encore pas si longtemps, il était Wallace Avery, joueur de golf talentueux qui n’a jamais su s’imposer dans les grands tournois mais aussi père de famille. Sa passion pour ce sport lui a d’ailleurs couté son mariage mais aussi l’amour de son fils Kevin (Lucas Hedges) qu’il cherche à reconquérir. Et puis du jour au lendemain, il a décidé de s’offrir une autre identité ; Arthur est ainsi né et prend alors la route vers Terre Haute, Indiana. Sur son chemin, il va venir en secours à Michaela (Emily Blunt), une jeune femme totalement désorientée.

    01.jpg

    Changer d’identité c’est s’offrir une nouvelle vie et ainsi le nom d’Arthur Newman tombe sous le sens. On ne s’attend pas spécialement à voir Colin Firth dans ce genre de rôle et il faut bien dire que s’il s’en tire plutôt bien que j’attendais de son personnage une explication plus excitante concernant sa volonté de changer de vie. C’est par une rencontre providentielle (mouais…) qu’il se retrouve ici en belle compagnie avec Emily Blunt qui incarne un personnage attendrissant. Si ce petit road-trip s’avère plutôt amusant lorsque le duo s’immisce dans la vie des autres couples, le film finit rapidement par tourner en rond et l’ennui n’est donc jamais très loin.

     

    Il faut le voir pour : Vérifier les verrous de la maison !

  • Superman : Doomsday

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Plus que jamais déterminé à faire chuter Superman de son piédestal, notre pote Lex Luthor a confié à une équipe de scientifiques une mission importante. Le projet Applecore vise en effet à déterrer un vaisseau spatial d’origine extraterrestre dans lequel était retenu un monstre à la puissance colossale. Il se nomme Doomsday et va provoquer de nombreux dégâts jusqu’à l’intervention de l’homme d’acier. Les coups pleuvent et sont d’une force inouïe, leur combat est en train de ravager Metropolis mais le plus inquiétant c’est que Doomsday semble prendre l’avantage. Dans un dernier sursaut, Superman parvient toutefois à le neutraliser mais à quel prix ? Il s’effondre devant Lois Lane et le monde s’apprête à pleurer la mort de Superman !

    01.jpg

    Pour ceux qui ne sont pas des habitués de l’univers comics, il faut savoir que Doomsday est un adversaire emblématique de Superman, car il fut celui qui l’a tué ! Enfin, la mort d’un héros étant un concept aussi éphémère que les promesses d’un candidat politique, vous devinerez aisément que Clark fera son retour dans l’histoire. Adaptation de l’épisode historique Superman #75, ce Superman : Doomsday ne fera lui pas date en raison d’un dessin assez enfantin et étrange loin de rendre hommage au dessinateur Dan Jurgens. Pourquoi a-t-il fallu affubler Superman d’un menton à la Bogdanoff ? Techniquement loupé, cette adaptation ne tient pas ses promesses et on se rabattra plutôt vers le comic book bien plus séduisant.

  • Toy Boy

    aff.jpg

    Il a un physique à faire tomber toutes les filles et c’est un beau parleur ; notre pote Niki (Ashton Kutcher) le sait parfaitement. Il n’hésite pas à user de ses charmes pour enchainer les conquêtes et par la même occasion de se faire entretenir. Une fois qu’il s’est lassé, il prend son sac et part à la recherche d’une autre demoiselle capable de le satisfaire. Sa dernière conquête se nomme Samantha (Anne Heche) et celle-ci va vite découvrir son manège mais elle accepte finalement cette situation. L’appétit de  Niki n’est pas pour autant rassasié car il a jeté son dévolu sur Heather (Margarita Levieva), une serveuse qui de son coté fait exactement la même chose que lui.

    01.jpg

    Après une demi-heure d’ébats sexuels en tous genres, vous aurez vite compris qu’il n’y a pas de place pour la pudeur dans Toy Boy. L’objet des fantasmes se nomme Ashton Kutcher et si ses tablettes de chocolat ont de quoi faire fondre les femmes, ça ne suffira pas pour sauver un film totalement superficiel. Ashton saute sur tout ce qui bouge puis fait bronzette entre deux séances de shopping et pour finir il tombe amoureux, en matière d’originalité on repassera. Et encore si le film jouait un peu plus sur la dérision on prendrait un peu de plaisir mais là on ne va certainement pas atteindre l’orgasme, cinématographiquement parlant il va sans dire !

     

    Il faut le voir pour : Eteindre votre portable lorsque vous voulez faire semblant d’avoir une conversation importante !