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aventure - Page 5

  • Angélique

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    Son père en a décidé ainsi, Angélique (Nora Arnezeder) devra épouser le Comte Joffrey de Peyrac (Gérard Lanvin). Une décision que la jeune femme est loin d’accepter et elle cherchera par tous les moyens à y échapper sans succès. Toutefois, l’homme qu’elle va épouser n’est pas celui qu’elle imaginait et avec le temps c’est bien l’amour qui les unira. Il est vrai que Joffrey ne manque pas de caractère et que sa richesse lui donne aussi de grands pouvoirs que certains commencent à craindre. C’est d’ailleurs ce qui va convaincre le roi Louis XIV  (David Kross) de le mettre aux arrêts et de l’emprisonner à la Bastille. Angélique va alors se battre pour libérer son mari.

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    Héroïne crée par Anne & Serge Golon, Angélique a eu droit à toute une série d’aventures aussi bien en romans qu’au cinéma à travers les 5 films de Bernard Borderie. Ariel Zeitoun entend donc lui redonner une seconde jeunesse à travers le visage de Nora Arnezeder, charmante certes mais qui ne trouve pas toujours le ton juste. Il y a également quelques passages dans la mise en scène qui ont de quoi nous laisser dubitatifs et parfois on croirait avoir devant nous un film des années 1980. Il semblerait que le retour d’Angélique se fasse sur la durée mais encore faut-il que ce reboot trouve le succès auprès du public et c’est pas gagné ! Peut-être avec un autre reboot ?

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à fabriquer de l’or !

  • All is lost

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    Lorsqu’il (Robert Redford) se réveille, il découvre l’étendue des dégâts. Alors qu’il était en pleine mer, à bord de son voilier le Virginia Jean, celui-ci a violemment heurté un container qui dérivait ce qui n’a pas manqué d’occasionner une brèche. Dans un premier temps, il va tenter de réparer les dommages avec ce qu’il a sous la main mais la malchance s’acharne sur lui puisqu’une terrible tempête approche. Il ne pouvait en être autrement, il a fini par mettre à l’eau le canot de survie et tentera de récupérer tout ce qui pourrait lui être utile avant de voir le bateau couler au fond des mers. Le voilà désormais seul face à lui-même à 700 milles au large du Sumatra.

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    Décidément en cette fin d’année 2013, les marins ont le vent en poupe puisqu’après François Cluzet qui se la jouait En solitaire c’est maintenant Robert Redford d’affronter les mers. Avec All is lost, on assiste donc au combat d’un homme perdu en plein milieu des eaux, un combat pour la survie. Evidemment étant le seul et unique protagoniste ajouté à des lignes de dialogues quasi inexistantes, il fallait un acteur qui ait les épaules suffisamment larges pour tenir le film et Redford répond présent de manière brillante. Grace à lui, le spectateur est tenu en haleine jusqu’au bout même si la conclusion n’est pas loin de tout gâcher !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à faire de l’eau potable, ça peut toujours servir.

  • Le hobbit : La désolation de Smaug

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    La quête continue pour Bilbon Sacquet (Martin Freeman), Thorin Ecu-de-Chêne (Richard Armitage) et leurs compagnons de route. Ils doivent se rendre à Erebor et pour cela ils vont devoir traverser la forêt noire où derrière chaque arbre se cache de terribles dangers. Pas de surprises donc à ce qu’ils soient attaqués par des araignées géantes qui veulent satisfaire leur faim et tous nos potes ne devront leur survie qu’à l’intervention des elfes menés par Legolas (Orlando Bloom). Ce n’est pas pour autant qu’ils seront considérés comme des alliés puisqu’ils se retrouvent aussitôt prisonniers et c’est là qu’entre en jeu Bilbon qui possède un précieux atout dans sa poche. Pendant ce temps, Gandalf (Ian McKellen) cherche à en savoir plus sur le fameux Nécromancien.

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    Et c’est reparti de plus belle avec ce 2nd volet des aventures de Bilbon et bien entendu, on est dans la parfaite continuité du précédent épisode. Il y a quand même un peu plus d’action avec Le hobbit : La désolation de Smaug notamment avec cette impressionnante évasion des nains de la citadelle des elfes. On peut s’attarder sur ces derniers car l’apparition d’Orlando "Legolas" Bloom et dans une moindre mesure d’Evangeline Lilly apportent un bon coup de boost à la saga. La déception du 1er épisode laisse place à du vrai plaisir avec pour conclure un beau remake de David contre Goliath à la sauce Tolkien par contre plus d’un sera frustré de devoir attendre le dernier volet pour l’apothéose.

     

    Il faut le voir pour : Éviter de réveiller les dragons, ça les met en pétard !

     

    En savoir plus sur Le Hobbit : Un voyage inattendu ?

    En savoir plus sur Le Hobbit : La bataille des cinq armées ?

  • Le secret de l’étoile du Nord

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    Il était une fois une petite princesse appelée Boucle d’or (Vilde Zeiner) qui était fascinée par l’étoile du Nord et qui souhaitait plus que tout l’accrocher en haut de son sapin. Le Comte (Stig Werner Moe) qui convoite le trône profite de la naïveté de la petite fille pour lui tendre un odieux piège avec la complicité de la Sorcière (Agnes Kittelsen). Boucle d’or disparut alors dans la foret. Sans nouvelles de celle-ci, sa mère la Reine finit par mourir de chagrin tandis que le Roi (Anders Baasmo Christiansen) maudit l’étoile du Nord plongeant ainsi le royaume dans l’obscurité. 10 ans ont passé et selon la prophétie, il y a une dernière chance pour retrouver la princesse et dans le même temps la précieuse étoile.

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    A l’occasion des fêtes de fin d’année, il faut faire plaisir aux enfants et c’est bien à eux qu’est destiné Le secret de l’étoile du Nord. Il s’agit d’un petit conte sans prétentions qui nous vient tout droit de Norvège et qui ne brille ni par son scénario simpliste ni par une réalisation tout aussi sommaire. Reste que les aventures de la petite Sonia sont faites de rencontres avec des lutins, d’un ours un peu grognon et surtout de la star : le Père Noel en personne ! La petite héroïne finit même par se prendre pour Superman. Vous comprendrez donc que ce film est là pour préserver l’esprit de Noel avec des dialogues sirupeux à souhait et c’est dingue tout ce qu’on peut trouver dans notre cœur.

     

    Il faut le voir pour : Préparer une assiette de Porridge pour les lutins.

  • Thor : Le monde des ténèbres

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    Les Avengers ont triomphé de la folie de Loki (Tom Hiddleston) et celui-ci est condamné par Odin (Anthony Hopkins) à être enfermé dans les cachots d’Asgard. Pendant ce temps, notre pote Thor (Chris Hemsworth) s’échine à ramener la paix sur les 9 royaumes mais découvre qu’il se passe quelque chose d’étrange en rapport avec Jane Foster (Natalie Portman). Pendant quelques heures, celle-ci a en effet disparu de la Terre et est entrée en contact avec l’Ether réveillant au même moment le terrible Malekith (Christopher Eccleston). Autrefois, avec son armée d’elfes noirs il voulait plonger nos mondes dans les ténèbres mais il fut arrêté par les asgardiens mais cette fois il est déterminé à atteindre son but.

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    C’est donc au tour du Dieu du tonnerre de faire son retour et le premier changement à noter se situe au niveau de la réalisation. Kenneth Branagh laisse en effet place à Alan Taylor débutant au cinéma mais habitué aux plateaux de séries télévisées (dont le succès Game of thrones). On n’y perd pas au change car ce Thor : Le monde des ténèbres est une suite de grande qualité même plus sympa que son prédécesseur. On y retrouve une atmosphère Heroïc fantasy qui sied à merveille assorti de bonnes scènes d’action et d’une petite dose d’humour ; le succès devrait une nouvelle fois être au rendez-vous pour ce Coup de cœur Ciné2909. Un regret toutefois, un scénario peu excitant et des personnages secondaires comme Sif, Volstagg ou Fandral qui mériteraient plus de présences à l’écran.

     

    Il faut le voir pour : Soulever des voitures à la main pour votre vidange, ce n’est pas si lourd !



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  • The mortal instruments : La cité des ténèbres

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    Alors qu’elle vient de fêter ses 15 ans, Clary (Lily Collins) est victime de drôles d’hallucinations ces derniers temps. Il y a d’abord cet étrange symbole qu’elle voit partout et puis lorsqu’elle était dans cette boite de nuit avec son pote d’enfance Simon (Robert Sheehan) ; elle est persuadée d’avoir assisté à un meurtre. Tout porte à croire qu’elle est devenue folle mais la vérité est qu’elle n’est pas humaine puisque sa mère Jocelyn (Lena Headey) est ce qu’on appelle une chasseuse d’ombres. D’ailleurs, cette dernière disparait après avoir été attaquée par les hommes d’un certain Valentin (Jonathan Rhys Meyers) à la recherche d’une précieuse coupe. Avec l’aide de Jace (Jamie Campbell Bower) lui aussi chasseur d’ombres, Clary va tenter de la retrouver.

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    Toujours en quête d’une saga qui pourrait succéder à Twilight, se présente cette fois devant nous The mortal instruments : La cité des ténèbres adapté du roman de Cassandra Clare. Ici, il y aura également vampires et loups-garous mais ils joueront un rôle plus secondaire face aux chasseurs d’ombres et les démons pouvant prendre n’importe quelle apparence. Là aussi se forme un triangle amoureux sauf qu’une sacrée révélation va tout chambouler, il y a un peu plus d’action qu’à l’accoutumée mais la réalisation est assez confuse et le tout finit par être insipide. Et puis quelle déception de voir Robert Sheehan (le Nathan de Misfits) dans ce rôle de seconde zone ! A réserver aux lecteurs du roman et encore …

     

    Il faut le voir pour : Ecouter plus souvent du Jean-Sébastien Bach, on ne sait jamais !

  • Le magicien d’oz

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    Dans une ferme au Kansas, notre pote Dorothée (Judy Garland) est dans tous ses états après que Mme Gulch (Margaret Hamilton) ait tenté de s’en prendre à son chien Toto. Ce dernier est même capturé sur ordre du shérif mais parvient à s’enfuir pour retrouver aussitôt sa maitresse qui décide alors de quitter la ferme. Elle reviendra vite sur sa décision afin de ne pas causer trop de peine à sa Tante Olympe (Clara Blandick) mais Dorothée va être coincée dans une terrible tornade qui emporte la maison. A son réveil, elle se rend compte qu’elle n’est plus au Kansas mais dans un drôle de pays appelé Oz ; elle est chaleureusement accueillie par les Microsiens et la Fée Glinda (Billie Burke) jusqu’à l’apparition d’une méchante sorcière.

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    Retour en 1939 avec cette adaptation du célèbre roman de L. Frank Baum devenu depuis un petit classique du 7ème art. Il est évident que les effets spéciaux de l’époque feront naitre quelques sourires comme ce tourbillon qui emporte tout et n’importe quoi ou les costumes bien kitsch de certains personnages. Malgré cela, le charme opère encore avec cette fable qui prend par moments la forme d’une comédie musicale et bien entendu comment ne pas évoquer cette célèbre chanson qu’est Over the rainbow ! Ceux qui connaissaient déjà Le magicien d’oz continueront de se délecter des aventures de Dorothée qui ne manqueront pas de le faire découvrir aux nouvelles générations.

     

    Il faut le voir pour : Continuer à suivre le chemin de briques jaunes !

  • L'Extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet

    Derrière L'Extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet se cache un film français oui madame ! C'est Jean-Pierre Jeunet qui tient la caméra et quand on sait ça on a vraiment hâte de découvrir ce qu'il va faire avec ce petit garçon qui devra traverser les Etats-Unis pour aller chercher une récompense et mon petit doigt me dit qu'il va y avoir de l'aventure !

    Date de sortie : 16 Octobre 2013


  • The way, la route ensemble

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    Tom Avery (Martin Sheen) est ophtalmologue en Californie et lorsqu’il n’est pas dans son cabinet, vous le trouverez certainement avec ses potes d’enfance sur les terrains de golf. C’est là qu’il a appris cette terrible nouvelle : son fils Daniel (Emilio Estevez) est mort alors qu’il venait de commencer le pèlerinage vers Saint-Jacques de Compostelle. Tom prend le premier avion pour la France et se rend à Saint-Jean-Pied-de-port où le corps de Daniel est conservé avec toutes ses affaires. Le soir même, il prend une grande décision ; son fils sera incinéré et va l’accompagner pour le pèlerinage, bien que le médecin ne s’y est pas préparé il doit effectuer ce voyage pour son fils.

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    Emilio Estevez présent aussi bien à l’écran que derrière la caméra a choisi un drôle de sujet pour son film à savoir le pèlerinage vers Saint-Jacques de Compostelle qui est une tradition ancestrale. L’histoire de Martin Sheen accomplissant cette quête spirituelle en hommage à son fils est dont plutôt touchante mais on n’aurait pas été contre de le voir prendre quelques raccourcis. Si la bande qu’il se constitue en chemin est plutôt sympathique, les différents personnages n’enrichissent pas vraiment l’histoire. The way, la route ensemble c'est un petit retour à la nature plutôt agréable en dépit de ses longueurs et qui donnerait presque envie de préparer son sac à dos, Buen camino !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas croire aveuglément vos guides touristiques (surtout si c’est un guide américain).

  • Percy Jackson : La mer des monstres

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    Il y a des années de cela, la jeune Thalia (Katelyn Mager) s’est sacrifiée pour permettre à ses potes d’atteindre le camp des sang-mêlés. La mort de la fille de Zeus n’a pas été sans conséquences, son corps a donné vie à un arbre et à l’instauration d’une précieuse barrière protectrice. Aujourd’hui cette barrière vient de voler en éclat car l’arbre a été empoisonné et pour le sauver il faut absolument mettre la main sur la Toison d’or. Même si le sang-mêlé Percy Jackson (Logan Lerman) n’a pas été désigné pour cette quête, il part malgré tout à l’aventure accompagné d’Annabeth & de Grover (Alexandra Daddario & Brandon T. Jackson) sans oublier Tyson (Douglas Smith), un frère qu’il vient de découvrir et qu’il faudra tenir à l’œil !

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    On  avait fait connaissance avec Percy Jackson : Le voleur de foudre en 2010 à travers des aventures plutôt réussis, le héros du romancier Rick Riordan revient au cinéma avec cette fois la quête de la Toison d’or. Créatures et pouvoirs extraordinaires, combats, amitié et même fraternité, un zest d’humour tout cela sur fond de mythologie grecque ; la recette est immuable et reste efficace. On peut toutefois regretter que le point d’orgue à savoir la résurrection de Cronos n’ait pas donné lieu à une scène plus spectaculaire (ATTENTION SUPER SPOILER) au lieu de ce combat remporté en 2 coups d’épée. Percy Jackson : La mer des monstres n’apporte ni plus ni moins que ce qu’il nous promettait sans être un divertissement divin.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de fixer les gens dans l’œil … enfin dans les yeux !


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