All is lost
Lorsqu’il (Robert Redford) se réveille, il découvre l’étendue des dégâts. Alors qu’il était en pleine mer, à bord de son voilier le Virginia Jean, celui-ci a violemment heurté un container qui dérivait ce qui n’a pas manqué d’occasionner une brèche. Dans un premier temps, il va tenter de réparer les dommages avec ce qu’il a sous la main mais la malchance s’acharne sur lui puisqu’une terrible tempête approche. Il ne pouvait en être autrement, il a fini par mettre à l’eau le canot de survie et tentera de récupérer tout ce qui pourrait lui être utile avant de voir le bateau couler au fond des mers. Le voilà désormais seul face à lui-même à 700 milles au large du Sumatra.
Décidément en cette fin d’année 2013, les marins ont le vent en poupe puisqu’après François Cluzet qui se la jouait En solitaire c’est maintenant Robert Redford d’affronter les mers. Avec All is lost, on assiste donc au combat d’un homme perdu en plein milieu des eaux, un combat pour la survie. Evidemment étant le seul et unique protagoniste ajouté à des lignes de dialogues quasi inexistantes, il fallait un acteur qui ait les épaules suffisamment larges pour tenir le film et Redford répond présent de manière brillante. Grace à lui, le spectateur est tenu en haleine jusqu’au bout même si la conclusion n’est pas loin de tout gâcher !
Il faut le voir pour : Apprendre à faire de l’eau potable, ça peut toujours servir.