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Film - Page 213

  • La prima cosa bella

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    Aujourd’hui c’est l’anniversaire de notre pote Bruno (Valério Mastandrea / Francesco Rapalino / Giacomo Bibbiani) mais c’est un évènement qu’il préfère occulter, ce prof d’italien dans une école hôtelière vit actuellement une grande période de dépression. Sa sœur Valeria (Claudia Pandolfi / Giulia Burgalasse / Aurora Frasca) tente de le joindre sans succès et elle va finalement venir jusqu’à lui car leur mère Anna (Micaela Ramazzotti / Stefania Sandrelli) est gravement malade et il ne lui reste malheureusement que peu de temps à vivre. Il a cependant fallu faire des pieds et des mains pour convaincre Bruno de se rendre au chevet de sa mère car leurs rapports ont été mouvementés par le passé. Anna était une femme élégante qui a quitté un mari maladivement colérique et elle s’est toujours débrouillée par elle-même pour offrir le meilleur à ses enfants.

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    La prima cosa bella est le portrait d’une famille italienne plutôt atypique menée par une femme au fort tempérament. Le réalisateur Paolo Virzi prend comme point d’encrage le présent pour ensuite nous dérouler l’histoire à coups de flashbacks revenant ainsi sur les évènements cruciaux de cette famille. Ce qui nous tient en haleine c’est évidemment le rapport qu’entretient Bruno avec sa mère puisque ce héros se montre au départ étonnamment très réticent à l’idée de la voir malgré son état critique. Avec ses personnages attachants, le film manie avec délicatesse la fibre nostalgique pour emporter les spectateurs pour mieux les séduire malgré quelques moments de flottement.

     

    Il faut le voir pour : Penser à célébrer votre mariage dans votre lit !

     

  • Transformers 3 - La face cachée de la lune

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    Le 21 Juillet 1969, Neil Armstrong & Buzz Aldrin créaient l’histoire en étant les premiers hommes à poser le pied sur la lune ; un évènement prodigieux qui cache en fait un lourd secret. 8 ans auparavant, on a détecté l’impact d’un objet sur la lune et c’est ainsi qu’a débuté la course lunaire entre les Etats-Unis et l’URSS. Retour au présent, notre pote Sam Witwicky (Shia LaBeouf) se désespère de ne pas pouvoir trouver un job digne de ce nom, lui qui a sauvé la Terre à 2 reprises. Il va d’ailleurs devoir remettre ça car une nouvelle menace émerge : Optimus Prime et ses alliés ont découvert ce qui s’était passé sur la lune et il s’avère que cet appareil renferme en réalité une arme décisive dans la guerre opposant les Autobots aux Decepticons.

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    Je n’aurais jamais imaginé dire ça de ce 3ème volet mais j’ai été bien déçu !! Alors attention, ne vous y trompez pas le spectacle est bel et bien au rendez-vous, Michael Bay s’impose comme le King de l’entertainment mais avant ce feu d’artifice qui conclut la trilogie, il y a une longue heure et demie de vide. Autant le réalisateur a le don pour nous en mettre plein la vue autant  le coté comédie de Transformers 3 - La face cachée de la lune lui échappe totalement. L’humour est lourd, matraqué, sans inspirations (à l’image de Ken Jeong qui vient faire son show habituel) et même Shia LaBeouf en fait des tonnes jusqu’à la limite du supportable. S’il s’avère être un poids lourd en matière d’effets spéciaux, sur l’ensemble le film déçoit mais ça reste en tout cas la récréation cinématographique par excellence du moment.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir la vérité sur les premiers pas de l’homme sur la lune.

     

    En savoir plus sur Transformers ?

    En savoir plus sur Transformers 2 La revanche  ?

    En savoir plus sur Transformers - L'âge de l'extinction ?

     

    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Nicostratos, le pélican

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    Notre pote Yannis (Thibault Le Guellec) vit sur l’ile de Zora en Grèce dans un petit village où tout se sait rapidement. Un jour, en faisant les livraisons pour son père Demosthene (Emir Kusturica), le garçon tombe sur un oiseau dans un sale état et fait tout pour le recueillir. Il n’hésite pas à échanger la croix dont il avait hérité de sa mère disparue pour obtenir ce qui s’avèrera être un pélican. Il décide de l’appeler Nicostratos et fait tout son possible pour le cacher des yeux de son père mais difficile de garder la discrétion quand on a un pélican qui grandit. Il va apprendre à voler et sa présence va surprendre tous les habitants de Zora allant jusqu’à rendre l’ile célèbre et attirer de nombreux touristes.

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    C’est assez curieux de voir Emir Kusturica ou François-Xavier Demaison dans ce genre de films mais c’est vrai aussi que pour faire plaisir aux enfants, on peut s’autoriser quelques concessions. Oui, vous l’aurez compris, cette jolie histoire entre un jeune garçon et son pote d’enfance le pélican réunit tous les ingrédients indispensables pour un divertissement familial. Pour les spectateurs plus avisés ; Nicostratos, le pélican présente évidemment beaucoup moins d’intérêt que ce soit pour son scénario basique inspiré par le roman d’Eric Boisset que par le jeu parfois hésitant du jeune Thibault Le Guellec.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas vous étonner de voir un pélican réclamer des olives pimentées !

  • Sortilège

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    Riche, beau et (presque) célèbre, notre pote Kyle (Alex Pettyfer) en ferait rêver plus d’un mais son égoïsme et son arrogance attirent les foudres de quelques personnes comme Kendra (Mary-Kate Olsen). On la surnomme la Sorcière à cause de son accoutrement mais personne ne s’imagine qu’elle en est réellement une ! Kyle va l’apprendre à ses dépens puisqu’après l’avoir humilié devant ses camarades, elle va lui jeter un sort. Le jeune homme si fier de son apparence arbore désormais un visage déformé et il a 1 an pour trouver quelqu’un qui lui dise sincèrement qu’il l’aime. Renfermé sur lui-même, il comprend désormais toutes les erreurs qu’il a commises dans le passé et découvre l’amour en la personne de Lindy (Vanessa Hudgens) mais est-ce réciproque ?

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    Alex Pettyfer, Vanessa Hudgens & Mary-Kate Olsen ; un casting qui nous laisse déjà dans l’expectative et malheureusement la prédiction s’avère juste ! Version modernisée de La belle et la bête, Sortilège vient nous asséner son message hautement moralisateur selon lequel l’amour véritable va au-delà des apparences, ouais ok parle à ma main ! On a donc droit à un ramassis de romance à l’eau de rose avec, attention au spoiler, un dénouement où tout se termine bien. A moins d’avoir été frappé à votre tour par un sort qui vous oblige à ne voir que des navets, vous pouvez oublier ce film.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’il y a des femmes capables de refuser des cadeaux de luxe, oui monsieur !!

     

  • S.W.A.T. unité d’élite

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    Il y a encore 6 mois, notre pote Jim Street (Colin Farrell) faisait partie du S.W.A.T. de Los Angeles où il était considéré comme l’un des meilleurs éléments. Hélas pour lui, lors d’une intervention pour un braquage de banque, son équipier Brian Gamble (Jeremy Renner) a désobéi aux ordres de leur supérieur et s’il est parvenu à sauver les otages, une femme a reçu une balle. Tous deux ont ainsi été virés du S.W.A.T. mais restent présent dans les forces de Police sauf que Brian préfère tout plaquer. Retour au présent, Jim a été affecté à la cage mais il va sa voir offrir une seconde chance avec l’arrivée d’Hondo (Samuel L. Jackson). Ce dernier a pour mission de former une équipe du S.W.A.T. et pour cela il va avoir besoin des meilleurs !

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    En France, on a le G.I.G.N. et aux States ils ont le S.W.A.T. une unité de police surentrainée qui intervient dans les moments les plus délicats. Bien qu’il ne date pas d’hier (2003), S.W.A.T. unité d’élite tient encore bien la route et n’a franchement pas à rougir face à certaines productions actuelles. Il faut dire qu’on a pas lésiné sur les moyens avec un impressionnant casting (Colin Farrell, Samuel L. Jackson, Michelle Rodriguez, LL Cool J et même un certain Jeremy Renner) et de très bonnes scènes d’action comme l’atterrissage de cet avion sur le pont. Un reproche à faire néanmoins, Olivier Martinez pas du tout charismatique dans la peau du bad-guy de service. Une suite officieuse est sortie en DVD en 2010, S.W.A.T. Firefight mais très en-deçà de l’original.

  • Les Tuche

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    Chez les Tuche, le chômage est une tradition familiale qui se transmet depuis des générations.  Jeff (Jean-Paul Rouve) fut donc très malheureux lorsqu’il fut obligé de travailler mais ce temps-là est terminé, après 18 années d’effort il est enfin devenu chômeur ! Une fierté qui mérite bien une double ration de frites et de gratin à partager avec toute sa famille qui va également fêter une chose incroyable : ils viennent de gagner 100 millions d’euros à la loterie. Fini la vie à Bouzolles, fini la pomme de terre … euh non bref, ils partent à Monaco car Jeff veut faire plaisir à sa femme Cathy (Isabelle Nanty) ; elle qui considère la princesse Stéphanie comme une sœur.

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    C’est une comédie qui peut parfois vous rester en travers de la gorge car l’humour n’y est pas très fin, c’est le moins que l’on puisse dire. Déjà il faut avoir un faible pour la patate et surtout pour l’état d’esprit insufflé par Olivier Baroux (le compère de Kad) à savoir du bon 2ème voire 3ème degré ce qui est loin de tucher tout le monde. Rajoutez à cela des personnages très caricaturés qui en font souvent trop, un dénouement écrite d’avance avec son message moralisateur selon lequel l’argent ne fait pas le bonheur mais il n’empêche qu’il y a des passages marrants. C’est n’est pas la grande folie du moment non plus, Les Tuche ne nous laisseront pas un grand souvenir et risque d’être laissé sur la tuche par quelques spectateurs !

     

    Il faut le voir : Penser à organiser une purée-party !

  • Yuri Orlov - Lord of war

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    Yuri Orlov : Dans le monde 1 personne sur 12 possède une arme, c'est un problème ; la question est ... comment en vendre aux 11 autres ?

     

     

     

    En savoir plus sur Lord of war ?

  • Pater

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    Qu’il est difficile de gouverner la France. Le Président de la république (Alain Cavalier) et son Premier ministre (Vincent Lindon) en savent quelque chose, eux qui font tout pour répondre aux attentes des français. Régulièrement ces 2 hommes politiques se réunissent et ne se refusent pas un bon repas pour discuter des orientations à donner, des décisions à prendre pour le bien de leur pays. Le temps passe et le Premier ministre devient désormais le principal candidat pour les prochaines présidentielles ce qui déclenche évidemment quelques hostilités entre les 2 anciens potes d’enfance. Un nouveau Premier ministre ne tarde pas à être désigné, le paysage politique est chamboulé mais il n’est pas celui que vous vous imaginez !

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    Pater est sans aucun doute l’ovni du mois ! La scène d’introduction nous met réellement en appétit avant que prenne place un scénario rocambolesque où Vincent Lindon et ses compères se mettent à jouer aux hommes politiques avec un certain aplomb. C’est le genre de films qui se repose essentiellement sur le talent des comédiens et en l’occurrence, on est vraiment subjugué par leurs échanges (le monologue de Lindon sur sa discussion avec son propriétaire m’a scier !). Si l’originalité est bien au rendez-vous, je dois tout de même dire que certains passages apparaissent assez anodins provoquant ainsi quelques longueurs. A découvrir toutefois pour son principe novateur mais certains spectateurs risquent de le trouver sans intérêt.

     

    Il faut le voir pour : Vous plaindre parce que vous payez pour votre ascenseur et qu’il n’est jamais à votre étage quand vous l’appelez !

  • Balada triste

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    Notre pote Javier (Sasha Di Benedetto/ Jorge Clemente / Carlos Areces) s’est vu volé son enfance ; il n’a jamais connu sa mère et son père Auguste (Santiago Segura) fut enrôlé par l’armée républicaine en 1937 afin de servir son pays. Il fut ensuite assigné aux travaux sous l’ère du dictateur Franco et son fils a bien tenté de le libérer mais il provoqua accidentellement sa mort. 1973, Javier perpétue la tradition familiale en devenant clown à son tour et il vient de rejoindre une nouvelle troupe au milieu de laquelle il rencontre la belle Natalia (Carolina Bang). Hélas, cette dernière est en couple avec Sergio (Antonio de la Torre), un autre clown mais surtout un homme exécrable qui, sous l’emprise de l’alcool, n’hésite pas à frapper sa compagne à la vue de tous.

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    Un nouveau venu dans une troupe de cirque qui tombe amoureux de la belle femme du patron, jusque-là le scénario vous rappelle peut-être De l’eau pour les éléphants ; maintenant oubliez l’ambiance romantique et ajoutez un zest de La maison des 1000 morts pour obtenir Balada triste. Après le premier quart d’heure, on se dit que le film part sur de bonnes bases pour soudainement se figer sur cette histoire sentimentale qui sera le déclic de la transformation de Javier. Un passage primordial mais qui s’étend trop en longueur ce qui a de fortes chances de faire décrocher les spectateurs. Le reste est plutôt fun mais il manque tout de même un grain de folie supplémentaire qui aurait transformé le dernier film d’Álex de la Iglesia en une somptueuse récréation.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus emmener vos enfants voir les clowns !

  • Blitz

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    Tous les journaux ne parlent que de lui ; Brant (Jason Statham) est un flic aux méthodes musclées et pour vous en convaincre il suffit de demander aux 3 jeunes qu’il a neutralisé à coups de crosse de hockey. Bien entendu, ses supérieurs tentent de calmer ses ardeurs mais il semble imperméable à ces remarques d’autant plus qu’une affaire va retenir tout son attention. Plusieurs officiers de police sont assassinés sans raison apparente et le tueur prend un malin plaisir à se vanter de ses exploits. Il rentre en contact avec Harold Dunlop (David Morissey), un journaliste de bas-étage pour lui annoncer que sa liste de victimes va s’allonger et dit s’appeler Blitz !

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    Ce n’est pas encore cette fois qu’on verra Jason Statham dans une comédie romantique et on ne va pas s’en plaindre. Le scénario n’a rien de bien extraordinaire, un serial-killer de flics fait du grabuge et notre pote Statham est là pour distribuer quelques pains au nom de la justice. Si le duo qu’il forme avec Paddy Considine est plutôt bien pensé, on est moins convaincu par le personnage de Falls incarné par la belle Zawe Ashton mais qui n’apporte rien de plus à l’intrigue de Blitz. A défaut d’avoir un film fantastique, on pourra toujours se satisfaire d’un thriller mené tambour battant et ce n’est déjà pas si mal !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’un whisky se déguste sans glaçons !