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  • Blitz

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    Tous les journaux ne parlent que de lui ; Brant (Jason Statham) est un flic aux méthodes musclées et pour vous en convaincre il suffit de demander aux 3 jeunes qu’il a neutralisé à coups de crosse de hockey. Bien entendu, ses supérieurs tentent de calmer ses ardeurs mais il semble imperméable à ces remarques d’autant plus qu’une affaire va retenir tout son attention. Plusieurs officiers de police sont assassinés sans raison apparente et le tueur prend un malin plaisir à se vanter de ses exploits. Il rentre en contact avec Harold Dunlop (David Morissey), un journaliste de bas-étage pour lui annoncer que sa liste de victimes va s’allonger et dit s’appeler Blitz !

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    Ce n’est pas encore cette fois qu’on verra Jason Statham dans une comédie romantique et on ne va pas s’en plaindre. Le scénario n’a rien de bien extraordinaire, un serial-killer de flics fait du grabuge et notre pote Statham est là pour distribuer quelques pains au nom de la justice. Si le duo qu’il forme avec Paddy Considine est plutôt bien pensé, on est moins convaincu par le personnage de Falls incarné par la belle Zawe Ashton mais qui n’apporte rien de plus à l’intrigue de Blitz. A défaut d’avoir un film fantastique, on pourra toujours se satisfaire d’un thriller mené tambour battant et ce n’est déjà pas si mal !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’un whisky se déguste sans glaçons !

  • Nowhere boy

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    La mort de son oncle Georges (David Threlfall) a été un vrai choc pour notre pote John Lennon (Aaron Johnson) mais c’est aussi à cette occasion qu’il reprend contact avec sa mère Julia (Anne-Marie Duff). Depuis l’âge de 5 ans, ils vivaient avec son oncle et sa tante Mimi (Kristin Scott Thomas) mais John veut désormais gouter à l’amour d’une mère qu’il n’a jamais eu. En compagnie de Julia, il s’amuse comme un fou et découvre un artiste qui aura une grande influence sur sa vie ; le mythique Elvis Presley. Sa période Rock’n’roll ne s’arrête pas simplement à sa coupe de cheveux, il veut également monter un groupe. La musique devient alors une vraie passion, passion qu’il partage avec un certain Paul McCartney (Thomas Sangster).

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    Non il ne s’agit pas du tout d’un biopic sur les légendaires Beatles même si apparaissent Paul McCartney & Georges Harrison. C’est John Lennon qui est la star de Nowhere boy qui nous éclaire sur une période méconnue de l’artiste, une période précédant le succès qu’on lui sait aujourd’hui. Portrait très intimiste du chanteur, on découvre ainsi son enfance douloureuse privée de la présence de ses véritables parents et cette blessure profonde de n’avoir jamais pu réellement connaitre sa mère. Indispensable pour tout fan du quatuor anglais, ce sera également un vrai plaisir pour les amateurs de Rock’n’roll. Drôle (belle prestation d’Aaron Jonhson) et vraiment intéressant, le film manque néanmoins d’une touche de magie pour devenir une référence.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus oublier de mettre vos lunettes !

  • Le dragon des mers - La dernière légende

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    En 1942, sur les terres d’Ecosse la Seconde Guerre Mondiale bat son plein et Angus MacMorrow (Alex Etel) a dû se résoudre à grandir sans son père qui a été appelé à rejoindre l’armée britannique. Alors que les troupes du Capitaine Hamilton (David Morrissey) sont venus s’installer dans la propriété de sa mère, le jeune garçon fait une découverte des plus étranges : un œuf. La surprise est encore plus grande quand il aperçoit la créature qui en est sortie, une sorte de lézard. Baptisé Crusoé, il grandit à vue d’œil au fur et à mesure qu’on le nourrit et bientôt il faut s’en séparer et le livrer dans les profondes eaux du Loch Ness.

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    Ça sent les vacances avec Le dragon des mers qui est une jolie fable reprenant la mondialement connue légende du Loch Ness. Mythe ou réalité, on vous invite à découvrir les origines de ce monstre qui a fait la réputation de cette fameuse région écossaise avec un gentil film familial. Du point de vue scénario, pas de grosses surprises avec un jeune héros marginal qui va devenir le pote d’enfance de ce gentil monstre. Et puis il y a les méchants de l’armée qui ne pensent qu’à utiliser leurs munitions dont il faudra se méfier. En gros, du classique pour cette adaptation du roman de Dick King-Smith déjà auteur de Babe, Le dragon des mers est à réservé aux plus jeunes.

     

    Il faut le voir pour : Vous convaincre de l’existence du monstre du Loch Ness.