Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Cinéma - Page 66

  • Albert à l'Ouest

    Vous avez envie d'un Western ? Alors Albert à l'Ouest est fait pour vous enfin ... ce n'est pas tout à fait un Western classique lorsque Seth MacFarlane, le réalisateur du cultissime Ted s'en mêle ! Voilà qui nous promet un sacré délire en compagnie de Charlize Theron, Amanda Seyfried ou encore Liam Neeson !

    Date de sortie : 02 Juillet 2014.


  • Edge of tomorrow

    star 03.5.jpg

    aff.jpg

    Cela fait maintenant 5 ans que les Mimics, des extraterrestres ont atterri sur notre planète et sont sur le point d’envahir totalement l’Europe. Pour les combattre, une armure a été mise au point et c’est dotée de celle-ci que notre pote Rita Vrataski (Emily Blunt) est devenue une véritable légende. Demain sera un jour important dans cette guerre et c’est pourquoi le Major Bill Cage (Tom Cruise) a été appelé à rejoindre les troupes sur le terrain. Jusque-là il s’était toujours débrouillé pour se tenir éloigné des champs de bataille mais il va devoir cette fois participer à l’effort de guerre. Ça ne fait pas un pli, à peine lancé dans la bataille Bill trouve la mort mais va ressusciter de manière inexpliquée.

    01.jpg

    Si l’idée de l’invasion extraterrestre n’a rien de très novateur, Edge of tomorrow introduit tout de même un concept intéressant façon Un jour sans fin. Le don de notre pote Tom Cruise aurait ainsi pu déclencher une certaine lassitude chez le spectateur mais cela est fait de manière assez maligne et surtout s’ajoute à ça une bonne dose d’humour. Quelques réserves toutefois sur des personnages peu charismatiques (en dehors de Bill Cage) et on visera en particulier la "Full Metal Bitch" Rita Vrataski censée être l’incarnation de l’héroïsme mais qui se montre trop discrète. C’est qu’on aurait aimé la voir davantage en action avec cette énorme épée mais on se consolera avec de belles scènes d’action renforcées par les effets spéciaux qui font qu’on passe un bon moment devant ce blockbuster.

     

    Il faut le voir pour : Ne surtout pas accepter les transfusions de sang !

     

    Découvre le film Dans la peau du Major Bill Cage !!

  • Xenia

    Xena la guerrière ?? Mais non rien à voir, Xenia c'est l'histoire de notre pote Kostas Nikouli au look assez extravagant qui débarque à Athènes pour d'abord revoir son frère Nikos Gelia. Surtout les deux frères vont se lancer à la recherche de leur père biologique.

    Date de sortie : 18 Juin 2014.


  • Je te survivrai

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Agent immobilier, notre pote Joe (Jonathan Zaccaï) est un vendeur hors-pair et qui fait les beaux jours d’Immo V. Vendre des maisons c’est une chose mais lui est sur un projet de plus grande envergure avec la construction d’un terrain de golf sur sa propriété seulement il y a un obstacle de taille. Il s’agit de sa voisine Blanche (Ben Riga), une vieille femme avec laquelle il n’est pas vraiment en bons termes et qu’il cherche à faire partir depuis presque (j’ai bien dit presque) 5 ans. Lui vient alors l’idée de la priver d’eau et c’est ainsi qu’il entreprend de descendre dans un puits qui se trouve sur son terrain mais Joe aurait du prendre plus de précautions avant de se lancer là-dedans.

    01.jpg

    Dans les premiers instants, il est franchement difficile de prendre Je te survivrai au sérieux avec les personnages hyper-stéréotypés que sont Joe et ses collègues. Par la suite, le film tourne davantage sur la confrontation entre les 2 voisins laissant moins de place à la fantaisie malgré le fait que Jonathan Zaccaï nous gratifie d’une interprétation personnelle de Star Wars assez amusante. Bien qu’au fond du trou, le comédien se trouve même à son avantage renforçant encore un peu plus le double visage de ce premier long-métrage de Sylvestre Sbille. Divertissant à condition de savoir faire preuve de second degré.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus manger de fromages grecs !

  • Le conte de la princesse Kaguya

    Si je vous dis Studios Ghibli & Isao Takahata (Mes voisins les Yamada, Le tombeau des lucioles ...), je pense que beaucoup d'entre vous attendront impatiemment Le conte de la princesse Kaguya. Adaptation d'un conte japonais datant du 10ème siècle, on aura le plaisir de retrouver des dessins traditionnels de toute beauté !

    Date de sortie : 25 Juin 2014.


  • L’île de Giovanni

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Notre pote Junpei et son petit frère Kanta ont grandi sur l’ile de Shikotan et cet été 1945 sera un tournant pour le Japon. Leur empereur vient en effet de l’annoncer ; la guerre s’est soldée sur une défaite et les habitants craignent déjà les conséquences qui pourraient en résulter. En Septembre, l’ile est envahie par les soldats de l’URSS qui en prennent possession poussant certaines familles à prendre la fuite ; des tentatives qui se terminent parfois en drames. De leur coté, Junpei, Kanta et leur famille se sont adaptés à cette nouvelle vie et se sont même lié d’amitié avec Tanya, la fille d’un soldat russe qui s’est installé dans leur ancienne maison.

    01.jpg

    A la manière d’un Tombeau des lucioles, ce film d’animation japonais revient sur le traumatisme causé par la Seconde Guerre Mondiale en s’intéressant sur le sort des habitants de l’ile de Shikotan. Si dans les premiers instants, ce dessin animé semble visuellement plutôt séduisant par la suite ça se révèle bien moins réussi. Sur certains plans on voit que les dessins sont allés vers une très grande simplicité et ce n’est pas forcément très agréable à l’œil ; on est allé jusqu’à doter les personnages d’oreilles sans pavillon ce qui m’a assez perturbé. On retiendra donc d’abord de L’île de Giovanni son histoire forte qui offre quelques moments d’émotion sans pour autant réussir à nous emporter.

     

    Il faut le voir pour : Offrir un train électrique à vos enfants !

  • The two faces of January

    Dans The two faces of January, Kirsten Dunst & Viggo Mortensen apparaissent comme un couple de touristes ordinaires en tout cas aux yeux de notre pote Oscar Isaac. Guide et beau parleur, ce dernier va vite tomber sous le charme de la jeune femme mais va aussi découvrir que derrière ce couple banal se cache tout autre chose.

    Date de sortie : 18 Juin 2014.


  • Les drôles de poissons-chats

    star 03.jpg

    aff.jpg

    C’est en rentrant de son travail que notre pote Claudia (Ximena Ayala) a commencé à ressentir des douleurs au ventre. Cela s’est confirmé dans la nuit ; elle a été conduite à l’hôpital car on lui a diagnostiqué une appendicite et d’est dans le lit voisin qu’elle a fait la connaissance de Martha (Lisa Owen). Cette dernière est hélas une patiente régulière mais elle est chaleureusement entourée par ses 4 enfants Alejandra, Wendy, Mariana & Armando (Sonia Franco, Wendy Guillén, Andrea Baeza & Alejandro Ramírez-Muñez). Alors que Claudia s’est habituée à vivre dans la plus grande des solitudes, elle va découvrir la chaleur et l’amour d’une famille grâce à Martha.

    01.jpg

    Ce qu’on apprécie tout particulièrement dans Les drôles de poissons-chats, ce sont ses personnages hautement authentiques. Qu’il s’agisse du lien Mère / Fille qui se tisse entre Ximena Ayala & Lisa Owen ou encore de la solidarité et du courage dont font preuve les enfants ; on s’attache véritablement à eux. Surtout la réalisatrice Claudia Sainte-Luce a le bon gout de ne pas transformer son film en un mélodrame cherchant absolument à tirer à tout prix les larmes du spectateur. Il faut dire que l’histoire qui est présentée ici lui tient à cœur puisqu’il s’agit tout simplement de la sienne. On tient là un film mexicain assez discret mais qui constitue une jolie découverte en nous réservant quelques beaux moments d’émotion.

     

    Il faut le voir pour : Apporter des chips la prochaine fois que vous rendez visite à quelqu’un à l’hôpital.

  • Un amour sans fin

    star 01.5.jpg

    aff.jpg

    Cela fait 4 ans qu’il n’a d’yeux que pour la belle Jade (Gabriella Wilde), une jeune fille qui s’est renfermée sur elle-même depuis la disparition tragique de son frère. Notre pote David (Alex Pettyfer) va avoir l’occasion de lui avouer ses sentiments puisqu’elle l’a invité à une fête afin de célébrer l’obtention de leur diplôme. C’est un couple qui est en train de se former mais cela n’est pas du gout de Hugh Butterfield (Bruce Greenwood), le père de la jeune fille qui va le tenir à l’œil. Pourtant à ses cotés, Jade retrouve le sourire comme si elle vivait l’adolescence qu’elle n’a finalement pas eu au point qu’elle décide de repousser son stage de médecine ce qui est loin de ravir Hugh.

    01.jpg

    Gabriella Wilde & Alex Pettyfer sont jeunes, sont beaux, ils s’aiment et vont pouvoir avoir beaucoup d’enfants ; tout ça risquait de constituer un scénario un peu mince alors on va pimenter les choses. Il n’y a qu’à mettre un père récalcitrant et manipulateur mais qui a aussi souffert de son coté pour ne pas trop le diaboliser et voilà comment s’est monté Un amour sans fin. Pourtant au départ, j’avais envie d’y croire à cette romance mais très vite on s’aperçoit que ce film de la réalisatrice Shana Feste (qui nous avait offert le pas si mal Country strong) vogue sur des flots de niaiserie. En fait, on se croirait dans un téléfilm pour adolescent et cette candeur se montre, à notre grand malheur, elle aussi sans fin !

     

    Il faut le voir pour : Toujours garder de bons rapports avec votre beau-père !

  • Welcome to New York

    star 0.jpg

    aff.jpg

    M. Devereaux (Gérard Depardieu) est un homme puissant à la tête d’une importante institution financière et beaucoup lui prédisait un grand rôle à jouer à l’avenir. Il pourrait ainsi prochainement devenir le nouveau Président de la République Française mais sa carrière va soudainement basculer. Alors qu’il s’apprêtait à rejoindre la France, il est arrêté par les policiers de New York et est accusé du viol d’une employée de l’hôtel où il a séjourné. Un scandale retentissant qui ne tarde pas à faire le tour du monde et ce d’autant plus que cet homme politique a déjà derrière lui une réputation sulfureuse.

    01.jpg

    Aux dires d’Abel Ferrara, sa volonté était de retracer l’affaire DSK telle qu’elle a été perçue aux yeux des américains. Au bout de 10 minutes devant Welcome to New York, on comprend vite que soit le réalisateur espagnol nous prend pour des imbéciles soit il considère les américains comme de vrais abrutis. Jeu d’acteur d’un film érotique, dialogues d’une pauvreté affligeante, des scènes totalement inutiles et qui s’étirent en longueur ; ce film est une vraie calamité qui ne fait que surfer sur le scandale et le buzz provoqué par l’annonce du projet.  Parfois, on regrette d’avoir gâché son temps devant un film et celui-ci fait indéniablement partie de la liste.