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dallas roberts

  • Dallas Buyers Club

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    Le rodéo et les femmes ce sont les 2 péchés mignons de notre pote Ron Woodroof (Matthew McConaughey) mais sa vie va soudainement prendre un autre sens. Après avoir été hospitalisé, on découvre en effet qu’il est atteint du VIH et qu’il ne lui reste tout au plus que 30 jours à vivre. Au même moment, un laboratoire pharmaceutique met sur le marché un produit appelé AZT destiné à aider les malades atteints du sida. Par des manières détournées, Ron réussit à s’en procurer pendant un premier temps mais va devoir par la suite se rendre au Mexique. C’est là qu’il découvre que l’AZT n’est peut-être pas le produit idoine à prescrire puisqu’il provoque notamment de nombreux effets secondaires. On assiste ainsi au début du Dallas Buyers Club.

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    Peu de chances que le nom de Ron Woodroof vous dise quelque chose et ce biopic signé Jean-Marc Vallée vient combler cette lacune. A son échelle, cet homme aura en effet permis une avancée considérable dans la lutte contre le virus du Sida aux Etats-Unis. Devant Dallas Buyers Club, on est d’abord impressionné par la transformation physique de Matthew McConaughey (tel un Christian Bale dans The machinist) alliée à la performance de Jared Leto. Il y a aussi un formidable message de tolérance dans l’évolution de ce personnage qui s’impose au départ comme un rustre homophobe. Voilà donc tout simplement un magnifique biopic prenant par son histoire et par les prestations des 2 principaux comédiens.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de prendre aveuglément vos médicaments !

  • Le territoire des loups

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    Notre pote John Ottway (Liam Neeson) se sent seul depuis qu’il a perdu sa femme et il n’y a pas une seule journée où il ne pense pas à elle. Dès que ses yeux se ferment, son visage revient à sa mémoire mais cette image est brusquement interrompue car l’avion dans lequel il a pris place est en train de s’écraser. L’appareil transportait les employés d’une compagnie pétrolière et seuls 7 survivants se relèvent des décombres, 7 hommes au cœur d’un environnement hostile. Le froid est leur première préoccupation mais une autre menace apparait ; des loups rodent dans le secteur et ils n’épargneront personne sur leur chemin le vieux Hernandez (Ben Bray) n’est d’ailleurs plus de ce monde pour en témoigner.

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    Parce qu’il ne faut pas oublier que l’homme reste un redoutable animal, Liam Neeson et ses potes d’enfance décident de se la jouer Man Vs Wild et affrontent ainsi le grand froid mais surtout des loups affamés et qui sont loin d’être végétariens ! Si au niveau de l’histoire ça ne va guère plus loin, ce n’est pas pour autant qu’on s’ennuie ; Le territoire des loups propose suffisamment d’action pour nous tenir en haleine. Totalement absorbé dans ces immenses paysages blancs, il y a de quoi nous faire frissonner. On est par contre nettement moins sensible par les démons intérieurs qui rongent Ottway, ça passe vraiment au second plan par rapport au reste.

     

    Il faut le voir pour : Prendre soin de votre portefeuille.

  • Tell tale

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    Il y a 5 mois, lorsque notre pote Terry (Josh Lucas) a eu la transplantation de son nouveau cœur, il se disait qu’une autre vie allait commencer pour lui et sa fille Angela (Beatrice Miller). Cette dernière souffre également d’une maladie rare et est suivie avec beaucoup d’attention par le docteur Elizabeth Clemson (Lena Headey). Jusqu’à présent, Terry se sentait bien mais ces derniers temps il est pris de malaises accompagnés de visions qu’il n’explique pas. Il va alors comprendre que tous ces symptômes sont liés à son nouveau cœur, l’organe a été prélevé auprès d’un certain Vieillard qui a été sauvagement assassiné.

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    L’histoire nous rappelle un film comme The eye à la différence qu’ici on a préféré se tourner vers le genre thriller au lieu de l’épouvante. Le résultat n’est pas forcément bien meilleur, Tell tale se laisse voir il n’y aucun doute là-dessus malheureusement, il ne possède aucun atout valable pour tracer sa route au cinéma. Que ce soit au niveau de l’intrigue, de l’interprétation ou bien encore le rythme du film ; rien ne le fait émerger de l’océan de médiocrité. A voir puis à oublier ou alors à oublier tout de suite !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas vous faire implanter n’importe quel cœur !