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  • Aladdin - Karine Costa & Paolo Domingo / Ce rêve bleu

    C’est en 1993 que débarque ce 40ème long métrage des studios de Walt Disney, inspiré par les contes des milles et une nuits. Aujourd’hui encore Aladdin reste pour moi un des plus beaux films d’animation et le tube interprété par Karine Costa & Paolo Domingo y est pour beaucoup. A noter d’ailleurs que la version originale est même parvenue à décrocher l’Oscar de la meilleure bande originale en 1993. Pour vous dire j’avais même acheté le CD single qui a tourné en boucle et malgré le poids des années, j’ai toujours l’espoir de vivre un jour Ce rêve bleu !

     


  • Chico & Rita

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    La Havane en 1948. Chico et son pote d’enfance Miguelito étaient venus pour boire un verre en charmante compagnie et c’est à cette occasion qu’il l’a vue. Elle chantait ce soir-là et Chico a été comme hypnotisé, le hasard les réunira plus tard dans la nuit et c’est une longue histoire qui commence. Ils ont pour passion commune la musique ; lui est un pianiste au grand potentiel et avec la voix mélodieuse de Rita, ils vont remporter le concours organisé par la station de radio RHC Cadena Azul. A partir de là, le couple aurait pu vivre une formidable aventure malheureusement les quiproquos et jalousies rythmeront leur relation poussant la jeune femme à réaliser son rêve : partir aux États-Unis. Aujourd’hui lorsque Chico entend leur chanson à la radio, il se remémore avec une profonde mélancolie les souvenirs de celle qu’il a toujours aimée.

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    Parce que les films d’animation ne sont pas l’apanage de nos chérubins, Chico & Rita vient mettre un peu de jazz dans nos existences. Bien entendu, le film est grand public mais les enfants ne seront certainement pas aussi réceptifs que nous vis-à-vis de l’ambiance incroyable qui se dégage. De La Havane à New York en passant rapidement par Paris, c’est un festival de musique qui nous est proposé. On y fait même la rencontre de musiciens prestigieux tels que Charlie Parker, Nat King Cole ou encore Chano Pozo. Techniquement, les dessins sont très épurés et l’animation parait parfois saccadé mais dans l’ensemble on oublie ces détails pour se plonger complètement dans un univers haut en couleurs et en musique.

     

    Il faut le voir pour : Voyager en musique à Cuba !

  • Il n’est jamais trop tard

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    Il s’attendait à être nommé une fois encore employé du mois au lieu de quoi notre pote Larry Crowne (Tom Hanks) vient d’apprendre qu’il a été licencié. Tout cela parce que sa hiérarchie a appris qu’il n’avait jamais suivi d’études supérieures et que cela empêchait toute évolution au sein du groupe U-Mart. La nouvelle est difficile à encaisser pour cet homme divorcé mais il va vite reprendre le dessus et décide alors de se remettre aux études. On le dirige notamment vers le cours de l’art du discours informel donné par Mercedes Tainot (Julia Roberts), une professeur qui semble t-il a perdu tout plaisir d’enseigner.

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    C’est le retour de notre pote Tom Hanks aussi bien devant que derrière la caméra et pour l’accompagner il a droit à 2 partenaires de charme : Julia Roberts et surtout Gugu Mbatha-Raw qui volerait presque la vedette à la première. Il n’est jamais trop tard a tout de la comédie romantique de base ; une rencontre providentielle entre 2 personnes radicalement opposées et le début d’une belle histoire. Si l’aspect comédie opère de façon plutôt efficace, on est moins accroché par le couple Roberts / Hanks ; on ne ressent aucune magie dans leur relation. Reste toutefois que l’on passe un agréable moment devant ce film.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus jamais rentrer votre polo dans votre pantalon !

  • Hop

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    Cela fait 1 an que notre pote Fred (James Marsden) est au chômage, une situation qui ne semble pas vraiment le déranger ce qui n’est pas le cas de ses parents chez qui il vit encore. Pour lui donner un coup de main, sa sœur Samantha (Kaley Cuoco) lui dégotte un entretien et lui prête même les clés de la résidence de son patron afin qu’il aille nourrir les chiens et éviter qu’il ne dorme dans sa voiture. Sur le chemin, Fred heurte involontairement Robbie, un lapin qui non seulement parle mais prétend également être le célèbre lapin de Pâques. La vérité n’est pas tout à fait celle-là : il s’est enfui de son ile avant d’être intronisé par son père comme le prochain lapin de Pâques car lui aspire plutôt à devenir un batteur renommé à travers le monde entier.

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    Si vous n’avez plus l’âge d’aller à la chasse aux œufs en chocolat durant le célèbre Lundi de Pâques alors vous ne l’avez pas non plus pour apprécier comme il se doit Hop. L’aventure de ce lapin pourra à peine divertir les enfants car une fois encore l’histoire totalement prévisible est assortie de son humour au ras des pâquerettes. Ce n’est pas parce qu’on fait des films destinés aux plus jeunes qu’il faut croire que ce sont des abrutis finis mais Hollywood a encore du mal à comprendre ça ! La seule chose qui m’aura consolé c’est de voir notre vieux pote David Hasselhoff en guest-star mais ça ne suffit pas pour sauver cette comédie à réserver à ceux qui croient au lapin de Pâques !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de manger des bonbons, vous ignorez d’où ils sortent.

  • Derrière les murs

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    Son arrivée n’est pas passée inaperçu dans ce village d’Auvergne ; Suzanne (Laetitia Casta) est une romancière parisienne qui a décidé de quitter la ville pour se ressourcer. Dans la maison qu’elle occupe, elle va découvrir une sorte de grotte dans sa cave qui était dissimulée derrière un mur de briques. C’est dans cette pièce qu’elle va installer son bureau pour écrire son prochain roman mais la jeune femme est hantée par un douloureux souvenir ; celui de sa fille disparue. Est-ce pour combler ce manque qu’elle s’est spontanément proposer des cours particuliers à une jeune fille de la région ? Toujours est-il que lorsque celle-ci disparait soudainement, tous les regards se portent immédiatement sur Suzanne.

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    Bon déjà, une précision qui a son importance ; le film est sorti en version 3D dont vous pouvez largement vous en dispenser car dormir avec les lunettes sur le nez n’est pas très pratique. Oui, vous l’aurez deviné, Derrière les murs a toutes les chances de vous assoupir car il ne s’y passe strictement rien à part quelques apparitions de jeunes en robe et une invasion de rats, bouh qu’est ce que ça fout les jetons ! La prestation de Casta est dans l’ensemble anodine ce qui ne sert pas l’intérêt général de ce film. Ce n’est pas avec ce genre de productions qu’on sera tenté de franchir le mur, surtout au prix actuel du billet de cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Penser à aller acheter un piège à rats !

  • Case départ

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    Nos potes Joël & Régis (Thomas Ngijol & Fabrice Eboué) n’ont que peu de choses en commun ; le premier galère après avoir passé 3 mois en prison tandis que le second est un conseiller municipal prêt à tout pour se faire bien voir. Le seul lien qui les unit leur vient de leur père qui n’a jamais été très présent pour eux et dont les jours sont comptés. C’est en se rendant aux Antilles que leurs chemins se croisent et à cette occasion, ils se voient léguer une chose incroyable : l’acte d’affranchissement qui a libéré leurs ancêtres. Un héritage qui semble laisser de glace nos 2 compères qui détruisent le document ce qui a le don d’énerver leur vieille tante (Isabel del Carmen Solar Montalvo) qui leur jette alors un sort. Lorsqu’ils reprennent connaissance, ils se retrouvent en 1790, époque où les noirs sont encore considérés comme des esclaves.

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    Rendus célèbres grâce à leurs apparitions dans le Jamel Comedy Club, le duo Thomas Ngijol & Fabrice Eboué se lancent maintenant dans le cinéma avec évidemment une comédie à la clé. A noter que les 2 comédiens ne se sont pas juste contentés de faire les clowns devant la caméra mais ils se sont également impliqués dans l’écriture du scénario et dans la réalisation. Si leur humour ne vous a jamais séduit, il risque d’en être de même ici d’autant plus qu’ils n’y vont pas avec le dos de la cuillère lorsqu’il s’agit de déballer leur lot de préjugés. L’objectif étant bien sur de sensibiliser les spectateurs sur le thème du racisme tout en ne perdant pas de vue qu’on est là pour se marrer. Résultat final réussi et donc Case départ est le film idéal pour se changer les idées.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus voir votre mamie de la même façon !

  • La traque

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    Tout a débuté dans la propriété privée de la famille Lemans : des cerfs se sont encastrés dans leurs clôtures et en voulant dégager les carcasses de ces animaux, David (Joseph Malerba) a fait une importante découverte. Il retrouve une dent provenant qu’un sanglier qui semble énorme et pour éviter que ce genre de problèmes se renouvelle, il décide de partir à la chasse. Accompagné de son père Eric (Fred Ulysse), de son frère Nicolas (François Levantal) et de Nathan (Grégoire Colin), le médecin de la région mais aussi le petit-ami de sa nièce Claire (Bérénice Béjo) ; ils se rendent dans la foret mais sont loin d’imaginer ce qui les attend. Ils découvrent en effet que les animaux ne sont pas dans leurs états normaux ; quelque chose les a métamorphosés et cela est lié aux activités familiales.

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    Pour son premier film, on ne peut pas dire que notre pote Antoine Blossier ait pris beaucoup de risques et cela risque malheureusement de s’en ressentir au niveau des entrées. C’est un énième thriller qu’on essaie de nous refourguer ici si ce n’est que le fameux tueur est en fait une horde de sangliers sauvages dopés. Bref, on ne peut pas dire que La traque fasse dans l’originalité que ce soit au niveau de l’histoire ou dans la réalisation ; les personnages étant eux aussi assez transparents. Il faut bien comprendre que ce film n’a pas les atouts nécessaires pour attirer les spectateurs, c’est plutôt honnête mais cela a juste 15 ans de retard donc à vous de voir si vous avez envie de voyager dans le temps.

     

    Il faut le voir pour : Prévoir un rôti de sanglier pour la prochaine réunion familiale.

  • S.W.A.T. Firefight

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    Notre pote Paul Cutler (Gabriel Macht) fait partie du groupe d’intervention du S.W.A.T. de Los Angeles et il est l’un de leurs meilleurs éléments. C’est pour cette raison que la ville de Detroit a fait appel à lui afin de prendre en main la formation d’un groupe de policiers et de leur apprendre à gérer les situations de prise d’otages. Il peut en effet se targuer de ne compter aucune victime parmi toutes ses interventions jusqu’à aujourd’hui où la situation a dérapé. Une femme s’est tirée une balle à bout portant et son mari, un certain Walter Hatch (Robert Patrick) tient Paul et son équipe pour responsables. Avec la ferme intention de se venger, il va mettre au point un plan pour tous les éliminer.

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    On avait déjà eu droit à un film sur le S.W.A.T. avec entre autres Samuel L. Jackson, Colin Farrell & Michelle Rodriguez. Pour alléger le budget, cette suite qui n’en est pas vraiment une puisqu’elle offre une toute autre histoire en braquant les projecteurs sur une autre unité du S.W.A.T. Sans surprise, l’objectif est de nous pondre un pur film d’action efficace mais on perçoit rapidement les limites d’une œuvre destinée au marché du DVD. Ça se résume à un jeu de chat et de la souris entre un psychopathe et des flics avec quelques explosions et échanges de tirs. Loin d’être indispensable, ceux qui ont du temps à perdre en accorderont peut-être à S.W.A.T. Firefight mais mieux vaut s’intéresser au premier épisode.

     

    En savoir plus sur S.W.A.T. Unité d'élité ?

  • Tout se termine ici !!

    Yo les Moldus !

     

    C'est désormais plus qu'une question de jours, à partir du Mercredi 13 Juillet vous pourrez enfin découvrir la conclusion des aventures du célèbre sorcier Harry Potter. Avant de vous jeter sur cet épisode, Ciné2909 vous propose ainsi une rétrospective des 7 premiers volets à (re)-découvrir sans modération !

     

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  • J’ai rencontré le diable

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    Tout a commencé lorsqu’un enfant a découvert une oreille coupée dans un sac plastique. Très vite, la zone a été ratissée de fond en comble et on a alors trouvé la tête coupée de Ju-yeon (Oh San-ha) qui gisait dans l’eau ; la victime est une jeune femme qui a été littéralement dépecée par un psychopathe. Cette découverte atroce a anéanti le père mais aussi son fiancé Soo-hyun (Lee Byung-Hun) qui a bien l’intention de retrouver le responsable de ce massacre et de lui faire payer ses actes. Une liste de 4 suspects lui parvient ; des hommes au lourd passif auxquels il compte rendre visite mais c’est un certain Kyung-Chul (Choi Min-sik) qui va s’avérer être sa véritable cible.

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    Si la vengeance est un plat qui se mange froid, elle va également finir par devenir une vraie spécialité coréenne puisqu’après la trilogie de Park Chan-Wook, le talentueux Kim Jee-won (A bittersweet life ; Le bon, la brute et le cinglé) vient marquer à son tour les esprits des spectateurs. Pour l’occasion on retrouve avec grand plaisir Lee Byung-Hun mais aussi Choi Min-sik qui justement était apparu dans Old boy. J’ai rencontré le diable est un film extra maitrisé de bout en bout qui nous jette au cœur d’une implacable vengeance (une interdiction aux moins de 16 ans justifiée) et qui va se transformer en une terrible chasse à l’homme. Sans aucun doute le thriller de cet été à ne surtout pas manquer et donc un Coup de cœur ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à votre femme à changer une roue crevée !