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  • 108 rois-démons

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    Le XIIème siècle en Chine. Une terrible nouvelle se répand dans tout le Royaume ; l’Empereur est mort au Temple rouge tué par les 108 rois-démons. Son fils Duan devient alors le nouveau souverain mais en raison de son jeune âge, les pouvoirs seront pour le moment confiés au Régent Gao. Personne n’imagine alors que ce dernier est en fait un traitre mis à part peut-être celui que l’on surnomme désormais Tête-de-léopard qui était au Temple rouge lorsque son Empereur a été tué. Il s’est battu pour le protéger mais n’a rien pu faire et se retrouve maintenant prisonnier ; l’heure de son exécution est venue. Alors que la mort lui semblait promise, un certain Tourbillon-noir lui vient en aide et ce sera le point de départ d’une grande aventure.

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    On ne dirait pas comme ça mais on a devant nos yeux une réalisation française que l’on doit à Pascal Morelli. Pour se distinguer de la pléthore de films d’animation auquel on a droit chaque année, il a pris un pari plutôt osé en mixant images de synthèses e motion capture donnant ainsi un réalisme saisissant quand on voit évoluer les personnages. Le souci c’est que le reste ne suit pas avec des scènes qui manquent de dynamisme, des phases d’action trop statiques et n’offrant rien en termes de spectacle, des personnages sous-exploités ou encore un doublage parfois douteux. Le projet de départ des 108 rois-démons était séduisant mais il faut reconnaitre qu’au final on est loin d’être conquis !

     

    Il faut le voir pour : Eviter les gâteaux aux sésames !

  • Hector - Paranormal activity : The marked ones

    Allo, vous êtes Ali (Molly Ephraim) ?

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    01.jpgÉcoutez, je m’appelle Hector (Jorge Diaz) et on ne se connait pas mais j’ai absolument besoin de vous parler. C’est à propos de mon pote d’enfance Jesse (Andrew Jacobs), depuis ces derniers jours, je ne le reconnais plus !

     

    En fait tout a commencé quand sa voisine du dessous a été retrouvée morte, elle était vraiment bizarre et je crois même qu’il s’agissait d’une sorcière. Un matin Jesse s’est réveillé avec une marque sur le bras mais surtout par la suite il a développé des pouvoirs incroyables.

     

    02.jpgJe pourrais vous montrer tout ce dont il est capable ; j’ai tout filmé. Quand nous sommes allé voir Arturo (Richard Cabral) ; on a vu cet article de journal vous concernant et c’est là que j’ai récupéré votre numéro de téléphone. Aidez-nous s’il vous plait, on ne sait vraiment plus quoi faire !

     

     

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  • Loin des hommes

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    1954 en Algérie. Le pays est en guerre ; les rebelles algériens ont pris les armes afin que soit proclamé l’indépendance, un combat qui fera couler beaucoup de sang. C’est dans ce climat délétère que notre pote Daru (Viggo Mortensen) tente de faire son travail : instruire les enfants. Un soir, il rçoit la visite d’un gendarme accompagné d’un prisonnier et on lui confie alors une mission sans lui laisser réellement le choix. Daru devra amener Mohamed (Reda Kateb) jusqu’à la ville voisine où il sera jugé pour le meurtre de son cousin. Le maitre d’école sait par avance que cet homme est destiné à une mort certaine et refuse dans un premier temps de l’accompagner mais les évènements le forceront à changer d’avis.

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    Avec en toile de fonds la guerre d’indépendance de l’Algérie, cette adaptation libre de la nouvelle L’hôte d’Albert Camus met en lumière les destins croisés de deux hommes très différents. Une rencontre qui va se prolonger à travers un voyage initiatique qui va se dérouler au cœur d’un tourbillon de violence. Inutile de cacher que l’atout principal du film reste d’abord le tandem vedette Viggo Mortensen / Reda Kateb. Non seulement tous deux livrent une prestation d’une parfaite justesse mais il faut aussi souligner la réalisation sobre mais tellement efficace de David Oelhoffen. Loin des hommes se montre plutôt discret mais mérite amplement qu’on s’y intéresse.

     

    Il faut le voir pour : Garder sur vous un tube de lait concentré, ça peut être utile !

  • Sharknado 2 : The second one

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    Alors qu’ils sont à bord d’un avion qui les emmène à New York, nos potes April Wexler & Fin Shepard (Tara Reid & Ian Ziering) vont une nouvelle fois de plus échapper à la mort. L’appareil s’apprêtait à atterrir mais une violente tempête faisant voler des dizaines de requins va rendre les choses bien plus difficiles. Fin doit encore jouer les héros en prenant la place du pilote tandis qu’April se retrouve dans un état grave après avoir été attaquée par un requin. A peine le temps de se remettre de leurs émotions qu’il faut déjà se remettre à l’action car un Sharknado va très vite arriver sur New York et Ellen (Kari Wuhrer), la sœur de Fin se trouve en ville avec toute sa famille.

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    On n’en avait pas forcément rêvé mais ils l’ont quand même fait ; après le buzz provoqué par le précédent opus le studio The Asylum surfe sur la vague avec ce Sharknado 2 : The second one. Notre héros Ian Ziering répond toujours présent, Tara Reid met un peu plus la main à la pâte et les effets spéciaux sont toujours aussi pourris. Après la Californie, c’est donc New York qui se retrouve sous la menace des requins volants ; l’occasion ainsi de faire valdinguer la tête de Lady liberté, de jouer au base-ball avec les prédateurs ou encore de les trancher avec une épée de chevalier. Pas de doute, c’est le nanar que l’on attendait et c’est évidemment un excellent film à offrir à vos pires ennemis !

     

    En savoir plus sur Sharknado ?

  • Heinrich Himmler : A decent one

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    Alors que la Seconde Guerre Mondiale arrive à son terme, des soldats américains occupent la maison où habite la famille de l’officier allemand Heinrich Himmler. De nombreux documents y sont découverts et c’est à travers essentiellement de correspondances mais aussi de vidéos que la cinéaste Vanessa Lapa va reconstituer la trajectoire de cet homme. Dès sa plus grande jeunesse Himmler va faire preuve d’un nationalisme exacerbé qui va rapidement le conduire à prendre le commandement d’une section SS. Il gravira les échelons au fil des années en développant cette milice mais aussi en s’imposant comme l’un des hommes les plus fidèles d’Adolf Hitler.

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    Il a été le bras droit d’Adolf Hitler et donc l’un des grands responsables des exterminations perpétrés dans les camps de concentration. Avec Heinrich Himmler : A decent one, nous avons un documentaire qui a la spécificité de se construire à partir de documents personnels et plus particulièrement des correspondances de l’officier avec ses proches. Plongés dans cette intimité, l’intérêt se porte donc sur les différents propos échangés à partir desquels le spectateur aura la charge de faire le tri. Quant aux images, elles s’avèrent beaucoup moins riches en termes d’informations mais illustrent l’abomination qu’a provoquée celui qui s’estime comme un homme "décent".

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’une bonne famille doit avoir au moins 4 enfants pour le salut de la nation !

  • La nuit au musée : Le secret des Pharaons

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    C’est une soirée spéciale au Musée d’Histoire Naturelle de New York et le spectacle organisé par notre pote Larry Daley (Ben Stiller) se déroulait parfaitement … du moins au début. Soudainement, toutes les pièces du musée qui avaient pris vie ont perdu la tête transformant la soirée en cauchemar. Larry comprendra plus tard que ceci est du à la tablette d’Ahkmenrah qui semble se désagréger sans que l’on sache pourquoi. Afin d’en savoir plus à ce sujet, notre veilleur de nuit va devoir se rendre an Angleterre où sont conservés les parents d’Ahkmenrah (Rami Malek) qui pourront lui dévoiler les secrets renfermés par cette tablette.

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    On quitte cette fois les États-Unis pour l’Angleterre où un nouveau musée va prendre vie sous nos yeux et sous l’égide de notre fidèle Ben Stiller. S’il n’y a pas de grosses révolutions en vue, La nuit au musée : Le secret des Pharaons remplit aisément sa mission de divertir le spectateur. L’action et l’humour sont au rendez-vous et il est à noter également un excellent caméo de la part de notre pote Hugh Jackman. C’est la fin d’une saga (à moins qu’un spin-off ne soit lancé avec Rebel Wilson) et celle-ci est d’autant plus chargée d’émotions qu’on y découvre Robin Williams dans un de ces derniers rôles. La magie est répétitive mais opère encore un peu pour faire plaisir aux spectateurs de tout âge.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à neutraliser des lions avec une simple lampe-torche !

  • Souvenirs de Marnie

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    Anna vient d’avoir une nouvelle crise d’asthme ce qui inquiète au plus haut point sa mère adoptive Yoriko. Pour la remettre d’aplomb, on a décidé de lui faire quitter Sapporo pendant quelques temps et Anna ira ainsi rejoindre son oncle Kiyomasa Oiwa et sa tante Setsu. L’air pur devrait lui faire le plus grand bien mais cette jeune fille de 12 ans éprouve également un profond mal-être. Au cours d’une promenade, elle va se retrouver face à une somptueuse villa qui lui donne une étrange impression ; comme si cette maison lui était familière. C’est aussi là qu’habite une jeune fille du nom de Marnie qui va rapidement devenir sa nouvelle pote d’enfance jusqu’à s’immiscer dans ses rêves.

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    Parce qu’une page s’est tournée depuis le départ du légendaire Hayao Miyazaki ; on attendait non sans impatience ce nouveau (et dernier ?) film des Studios Ghibli. C’est Hiromasa Yonebayashi qui s’est déjà illustré avec Arrietty le petit monde des chapardeurs qui se charge d’adapter le roman de Joan G. Robinson. Il n’y a pas de surprises coté graphismes et animation, ça reste toujours aussi beau, coloré et extrêmement fluide. L’histoire de Souvenirs de Marnie risque par contre de perturber pas mal de spectateurs ; pendant longtemps on s’interroge sur ce lien qui unit Marnie à Anna apportant une certaine confusion. Il faut attendre les derniers moments pour avoir l’éclairage qui amène soudain une profonde tristesse jusqu’à nous prendre aux tripes. Un Coup de cœur Ciné2909 pour saluer ce film magnifique mais aussi un studio qui restera gravé dans nos mémoires !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à ramer, ça peut toujours servir !

  • Bébé tigre

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    Originaire du Pendjab, notre pote Many (Harmandeep Palminder) est arrivé en France à l’âge de 15 ans pour travailler et pouvoir ainsi envoyer de l’argent à ses parents. Les choses ne se déroulent pas comme prévu et il sera confié à une famille d’accueil et avant de pouvoir travailler, il devra obtenir un diplôme. Deux ans plus tard, le jeune garçon est scolarisé avec des résultats encourageants mais il tient aussi plus que tout à subvenir aux besoins de sa famille restée en Inde. En dépit des conseils que lui prodigue son entourage, Many travaille régulièrement au noir et cherche d’ailleurs un job pour les prochaines vacances. C’est ainsi qu’il entre en contact avec Kamal (Vikram Sharma).

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    Bébé tigre s’intéresse ainsi au parcours d’un jeune immigré indien dans notre pays et sur lequel pèsent de lourdes responsabilités familiales. L’histoire nous est plus que familière ; notre héros devant à tout prix aider les siens, cherche à se faire du fric quitte à côtoyer les mauvaises personnes. Si ce scénario n’arrive en aucun cas à se démarquer, on apprécie par contre l’interprétation de l’ensemble d’un casting rafraichissant à commencer par un Harmandeep Palminder qui réussit une belle prestation pour son tout premier rôle. Un premier long-métrage engagé et plutôt réussi pour notre pote Cyprien Vial toutefois sans se montrer exceptionnel.

     

    Il faut le voir pour : Préparer une chanson si vous voulez vous réconcilier avec votre copine !

  • Wild

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    Le Pacific Crest Trail, une randonnée pédestre de plus de 1600 km reliant le Mexique au Canada ; c’est le défi que va relever notre pote Cheryl Strayed (Bobbi Strayed Lindstrom / Reese Whiterspoon). Un parcours extrêmement difficile qui nécessite une grande préparation et de l’entrainement car il s’étend sur plusieurs mois. Cette jeune femme n’a pourtant jamais été une grande sportive mais elle avait besoin de faire un point sur ce qu’est devenue sa vie. Cheryl a traversé de nombreuses épreuves au cours de son existence et un nouvel évènement dramatique va la conduire à emprunter de mauvais chemins et de se laisser aller à de nombreux excès.

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    Après avoir adapté à l’écran le biopic de Ron Woodroof dans Dallas Buyers Club, Jean-Marc Vallée s’intéresse cette fois à la véritable expérience de Cheryl Strayed. On entre vite de plein pied dans cette randonnée qui a d’abord des allures de retour à la nature pour se transformer progressivement en quête spirituelle. Les souvenirs du personnage affluent tout au long de son périple pour nous faire découvrir les motivations qui l’ont conduite à s’engager dans une telle épreuve. Une aventure en grande partie solitaire et qui fait ainsi briller Reese Whiterspoon délivrant une performance prodigieuse avec ce rôle touchant. Un portrait magnifique et poignant à découvrir.

     

    Il faut le voir pour : Planifier une randonnée pour vos prochains congés !

  • Coyote girls

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    Afin de poursuivre son rêve de devenir artiste, notre pote Violette Sanford (Piper Perabo) est partie s’installer à New York laissant ainsi derrière elle son père William (John Goodman). Les premiers temps sont durs et puis la jeune compositrice va finir par se faire engager au Coyote Ugly, un bar tenu par Lil (Maria Bello). Violette s’apercevra vite que son nouveau job ne consiste pas simplement à étancher la soif des clients ; les Coyotes sont surtout là pour faire le show ! De nature plutôt timide, celle que l’on appelle désormais Jersey va faire étalage de tous ses talents et notamment faire entendre sa voix.

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    Une jeune provinciale débarque en ville avec des rêves plein la tête, cette histoire on la connait par cœur et s’y ajoute ici un coté sexy. Non seulement les Coyote girls vous servent à boire (et pas de l’eau s’il vous plait !) mais en plus de ça elles égayent les soirées en faisant de belles danses sur le bar. Histoire de ne pas rendre le film trop misogyne, on a le personnage de Rachel qui se fait remarquer par son caractère violent. Quant à notre héroïne ; elle fait une belle rencontre amoureuse, réussit à s’imposer par ses dons de chanteuse, passe par des moments de doute tout ça secouer au shaker et cela donne un cocktail assorti d’un Happy end sans réel intérêt. A consommer avec modération !