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  • La grande boucle

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    Passionné de vélo depuis toujours, notre pote Francçois Nouel (Clovis Cornillac) se voit proposer une offre qu’il ne peut pas refuser : conduire la voiture de Sport 2000 durant le Tour de France. Le seul problème c’est qu’il avait prévu des vacances avec sa femme Sylvie (Elodie Bouchez) et son fils Thomas (Paul Granier) ce qui va provoquer une violente dispute. Non seulement il est viré de Sport 2000 mais Sylvie & Paul n’ont pas l’intention de sacrifier leurs vacances et décident de partir sans lui. Totalement désorienté, François noie son chagrin jusqu’à ce qu’une idée folle germe dans son esprit : faire le Tour de France avec un jour d’avance sur la véritable compétition.

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    Sachant que le Tour de France déchaine toujours autant les passions, une petite comédie autour du cyclisme paraissait être un bon moyen pour se détendre mais attention la pente descendante est très raide ! Personnages sans saveur, humour grotesque (le dopage à ce niveau aurait été apprécie) ; La grande boucle accumule les handicaps (et accessoirement aussi les placements de produits) surtout si, comme moi, vous n’êtes pas du tout client de ce sport. Une maigre consolation sera de voir la présence de quelques guests comme Nelson Montfort ou les champions français que sont Laurent Jalabert & Bernard Hinault sinon, c’est un film que vous risquez de voir à l’insu de votre plein gré !

     

    Il faut le voir pour : Profiter d’un Tour de France sans dopage !

  • L’écume des jours

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    Notre pote Colin (Romain Duris) a la chance de vivre confortablement sans avoir besoin de travailler menant ainsi une belle vie. Seule ombre au tableau, ce terrible sentiment de solitude depuis qu’il a appris que ses potes d’enfance Chick & Nicolas (Gad Elmaleh & Omar Sy) ont rencontré l’amour. Lui aussi aimerait être heureux et son souhait ne tardera pas à être exaucé avec sa rencontre avec la belle Chloé (Audrey Tautou). 6 mois plus tard, le couple est plus heureux que jamais et s’est même marié mais leur bonheur est soudainement bouleversé lorsqu’ils apprennent que la jeune femme a un nénuphar qui grandit au niveau du poumon.

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    A la lecture du roman de Boris Vian, il est indéniable que Michel Gondry était le candidat idéal pour mettre en scène cette histoire extravagante (N’oublions pas quand même qu’il y a eu une première adaptation cinématographique dans les années 1960). Une fois encore le réalisateur nous surprend par le foisonnement de ses idées qui se traduisent aussi bien par des délires visuels que de jeux de mots bien sentis. Pour ne pas gâcher cette magnifique fête, il a convié un incroyable casting dont l’excellent couple Tautou / Duris mais si cet univers enchanteur fait son effet pendant la première moitié du film, par la suite on est moins absorbé. L’écume des jours appelle forcément à la curiosité mais risque de provoquer pas mal de désenchantement.

     

    Il faut le voir pour : Servir des petits fours originaux.

  • Le mentor

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    Alors qu’il vient de se faire saisir tous ses biens, notre pote Ludovic (Jean-Pierre Mocky) se retrouve à la rue mais ça n’a pas l’air de l’affoler pour autant. C’est qu’il maitrise l’art de la débrouillardise et puis il peut au moins se consoler il est désormais débarrassé de la pension qu’il versait à son ex-femme. Alors qu’il prend un verre dans un café, il croise la route d’Annette (Solène Hebert), une belle jeune femme qui est sur le point de se marier et peut-être de faire la plus grande erreur de sa vie. Ludovic décide ainsi de la prendre sous son aile, de devenir son mentor et il va notamment faire marcher ses connexions pour lui trouver un travail.

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    Mieux vaut éviter de trop prendre au sérieux Le mentor de Jean-Pierre Mocky sans quoi vous risquez vite de vouloir vous échapper de la salle. Le jeu des comédiens tout comme la réalisation sont volontairement grossiers au point qu’on se dit que le film n’a pas bénéficié d’un gros budget et ça se voit ! C’est donc armé d’un grand recul que l’on doit apprécier les aventures invraisemblables de Ludovic qui n’a pas son pareil pour obtenir un repas gratuit ou squatter des bureaux afin de faire passer un entretien de travail fictif. On est loin de la grande expérience de cinéma, simplement un petit amusement.

     

    Il faut le voir pour : Rappeler à votre femme qui dirige dans le couple !

  • Mille mots

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    Notre pote Jack McCall (Eddie Murphy) est un agent littéraire à qui tout réussit et dernièrement il a fleuré la bonne affaire. Il veut en effet éditer le livre du Dr. Sinja (Cliff Curtis), un gourou qui connait un énorme succès mais il ignore encore que cette rencontre va changer sa vie. De retour chez lui, Jack s’aperçoit qu’un arbre a poussé miraculeusement dans son patio et pas n’importe lequel. Il s’agit de l’arbre de la sagesse qu’il avait vu chez le Dr. Sinja mais le plus étrange reste qu’à chaque mot qu’il prononce, une feuille se détache. Un phénomène inexplicable mais ce qui est sur c’est qu’il ne reste tout au plus qu’un millier de mots avant que l’arbre ne perde toutes ses feuilles et cela signifierait la mort pour Jack !

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    Toujours à la recherche de sa gloire perdue, notre pote Eddie Murphy laisse de coté le travestissement (et on ne s’en plaindra pas !) pour une comédie qui recycle les poncifs du genre. Au niveau du scénario, on opte pour la carte du mec égoïste et bonimenteur dont la vie va miraculeusement prendre un autre sens en se remettant totalement en question. Certains se réjouiront du fait que le sort réservé rend les bouffonneries de l’acteur un peu plus supportable que dans ses précédents films. On notera au passage l’apparition de notre Alain Chabat qui se trouve être également un des coproducteurs. Loin de nous laisser sans voix, Mille mots se résume lui en un seul : insignifiant !

  • Gimme the loot

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    Potes d’enfance, Sophia & Malcolm (Tashiana Washington & Ty Hickson) se sont promis un jour de devenir les meilleurs graffeurs et pour cela, ils ont pour projet d’aller tagger la pomme du Shea Stadium. Il s’agit d’une pomme gigantesque en plastique qui surgit lorsque l’équipe de baseball des Mets réussit un home-run et ça pourrait être l’apothéose de leur vie. Malcolm connait un gars qui pourrait les faire entrer discrètement dans le stade mais ce service a un prix : ils doivent maintenant dégoter 500 dollars ! Pas d’autres choix que le vieux système D ; revendre des bombes, réclamer le paiement de certaines dettes ou encore essayer de piquer quelques bricoles.

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    Art de rue par excellence, le graffiti a rarement droit aux honneurs du cinéma aussi Gimme the loot bénéficie t-il d’une certaine curiosité pas forcément satisfaite. D’un coté, les 2 personnages que sont Sophia & Malcolm sont éminemment sympathiques d’autant plus qu’ils accumulent les galères mais en dehors de ça, on les voit rarement exprimer leur art. En dehors d’un petit graff, une petite signature au feutre ou d’un autocollant flanqué sur une vitre, les spectateurs attendant d’admirer quelques unes de leurs performances peuvent toujours se brosser. Ce qui est sur c’est ce que ce film ne marquera pas les esprits mais une fois devant on passe tout de même un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Prendre votre bain dans un château d’eau !

  • Les randonneurs

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    Un petit trek dans le Gers ; ce n’est pas vraiment le programme idéal pour des vacances pour nos potes Mathieu (Vincent Elbaz) et son frère Louis (Philippe Harel) mais ils sont quand même là ! Bon, c’est vrai, ils ne sont venus que dans l’espoir de passer du temps avec Bernadette (Marine Delterme) hélas celle-ci a du renoncer au voyage à la dernière minute. Toujours est-il qu’ils sont maintenant sur place en compagnie de Cora (Karin Viard) et de Nadine (Géraldine Pailhas). Leur guide s’appelle Eric (Benoit Poelvoorde) et c’est aussi accessoirement le copain de Cora bien qu’il soit déjà marié et père de 2 enfants. Cette marche est l’occasion de découvrir de somptueux paysages et ils ne s’ennuieront pas !

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    Il n’a peut-être pas la stature d’une comédie culte toujours est-il qu’on prend un certain plaisir à voir et revoir ce film de Philippe Harel également présent devant la caméra. Les randonneurs séduit d’abord par son scénario simple mais efficace ; un trek dans le paysage montagneux corse qui offre une bouffée d’air frais aux spectateurs. Et puis il y a évidemment le groupe de potes d’enfance mené par un Benoit Poelvoorde à l’aise dans ses chaussures de randonnée sauf quand il se perd. La bande constituée par Géraldine Pailhas, Karin Viard, Philippe Harel & Vincent Elbaz fonctionne parfaitement à l’écran au point qu’ils se réuniront 10 ans plus tard dans Les randonneurs à Saint-Tropez.

     

    En savoir plus sur Les randonneurs à Saint-Tropez ?

  • Jo

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    Notre pote Antoine Brisebard (Louis de Funès) se triture les méninges pour mettre au point le crime parfait. Il vous dira que c’est dans le cadre de l’écriture d’une pièce de théâtre mais cet auteur a en réalité une toute autre idée en tête. En effet, ces derniers temps il a été victime de chantage par un certain Jo, une situation à laquelle il comptait mettre fin dans le plus grand secret. Lorsqu’il met son plan à exécution tout se déroule comme il l’avait planifié hormis un détail qui a son importance ; le cadavre qu’il a dissimulé n’est pas celui de Jo. En effet, le lendemain il a reçu la visite de l’inspecteur Ducros (Bernard Blier) qui l’a informé qu’on a retrouvé le cadavre de Jo et qu’on avait découvert une liste des personnes victimes de ses chantages parmi lesquelles se trouve Antoine !

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    Issu de la pièce de théâtre crée par Alec & Myra Coppel, il faut un temps d’adaptation avant que Jo ne fasse son effet. Les 20 premières minutes sont à rapprocher d’un polar même si Louis de Funès court dans tous les sens avec une belle énergie pour nous amuser. Ce n’est réellement qu’à partir du moment où il se retrouve avec un corps sans vie que les quiproquos commencent à atteindre leur but qui est de nous faire rire. Pour former le couple avec De Funès, qui mieux que Claude Gensac pouvait lui donner la réplique. Si on n’érigera pas une statue à Jean Girault pour cette comédie, elle reste tout à fait sympathique et puis qui mieux que De Funès est capable de remonter une rampe d’escalier avec autant de classe ?

  • Blonde ambition

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    En ce jour de la Saint-Valentin, Billy (Drew Fuller) n’aura jamais paru aussi loin, lui qui est parti à New-York pour lancer sa carrière de mannequin. Devant la tristesse de sa petite-fille, Papy (Willie Nelson) lui offre un super cadeau : un billet pour se rendre à la Grosse pomme et réserver ainsi une surprise à son fiancé. A l’arrivée, c’est en fait notre pote Katie (Jessica Simpson) qui va avoir la désagréable surprise de trouver Billy au lit avec une autre femme. Le cœur brisé, la jeune blonde est consolée par sa cousine Haley (Rachael Leigh Cook) qui la convainc de rester à New-York d’autant plus qu’un super job va lui être proposé. Katie est ainsi engagée chez Connelly & Connelly mais ignore que sa présence est en fait un subterfuge pour faire tomber Ronald (Larry Miller), l’actuel PDG.

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    Comme toute comédie, ce film a pour ambition de nous faire rire, si si il est quand même essentiel de le rappeler surtout ici ! Jessica Simpson campe ainsi une jeune ingénue débarquée de sa campagne où on rote pour signifier qu’on a bien mangé et où il existe plein de dictons. Le décalage entre sa vie dans la petite ville de Minden et celle de New-York n’a que peu inspiré un scénario qui préfère s’en remettre à une simple rivalité entre de méchants patrons et cette employée modèle. On ne peut par la suite que constater la pauvreté de Blonde ambition dont mon seul souvenir restera ce karaoké des prêtres danois qui m’aura arraché un sourire de dépit. Si vous avez l’ambition de passer un bon moment, vous savez ce qu’il vous reste à faire ou du moins à ne pas faire …

  • 5 ans de réflexion

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    Alors qu’une nouvelle année est sur le point de démarrer, notre pote Tom (Jason Segel) s’apprête à demander Violet (Emily Blunt) en mariage. Bon, la surprise qu’il avait préparé est un peu tombé à l’eau mais l’essentiel est que la jeune femme a dit oui et qu’ils vont pouvoir commencer les préparatifs jusqu’au moment où Violet reçoit une lettre. L’université du Michigan lui propose un contrat et le couple décide alors de mettre de coté leur union et de quitter San Francisco, après tout 2 ans sont vite passés ! Alors que sa compagne s’épanouit avec un éminent professeur, Tom a lui plus de mal à se faire une nouvelle vie d’autant plus qu’il a quitté un job de sous-chef de restaurant pour devenir préparateur de sandwichs.

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    On ne peut pas dire que la comédie romantique soit un genre en carence au cinéma et parmi la pléthore de films dont nous sommes abreuvés chaque année, 5 ans de réflexion va avoir du mal à se faire sa place. Il y a quand même de bonnes idées comme lorsqu'on s’engouffre dans un humour doucement trash (le chef qui se coupe le doigt ou cette chère Emily Blunt piquée au vif par une arbalète). De l’autre coté le couple Blunt/Segel n’est pas forcément le plus glamour et ils peinent à s’imposer à l’écran se faisant parfois même souffler la vedette par l’autre duo Alison Brie/Chris Pratt. Si on est pas totalement emballé, on passe plutôt un bon moment en dehors d’un dénouement qui traine un peu.

     

    Il faut le voir pour : Penser à vos grands-parents et vous marier rapidement !

  • Sea, No sex and sun

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    Qui dit été dit forcément Grandes vacances mais pour l’heure si Alex (Arthur Mazet) a rejoint Carnac, c’est avant tout pour travailler afin de financer son prochain voyage en Grèce. Il a été embauché au club de tennis dirigé par Raphaëlle (Armelle Deutsch) et il va avoir la très bonne surprise de croiser Diane (Alma Jodorowsky), une fille qu’il a côtoyé au lycée et sur laquelle il fantasme depuis toujours. Il est évident qu’il s’agit là d’un signe du destin et Alex va mettre tous les atouts de son coté pour la séduire mais certains imprévus risquent de ruiner ses plans. La Bretagne, c’est aussi la destination de Justine & Guillaume (Julie Ferrier & Fred Testot) et de leur fille. Il y a passé toute son enfance et veut faire découvrir la région à sa femme mais ce retour aux sources va aussi lui permettre de revoir un pote d’enfance !

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    Voilà de quoi vous donner un petit avant-goût des vacances avec ce film choral qui nous présente de jolis paysages de Bretagne. Sans grandes prétentions ; Sea, No sex and sun a de quoi nous faire passer un bon moment grâce à quelques bonnes idées comme ce parallèle établi entre les 3 personnages masculins mais pas totalement exploité. Si les similitudes entre Alex & Guillaume sautent aux yeux, ce n’est pas forcément le cas avec celui de Pierre qui se retrouve être un peu plus en retrait. Pour le reste, il faut surtout compter sur la sympathie du casting de la première réalisation de Christophe Turpin pour se changer un peu les idées.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller les "potes" de votre mari !