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maurice barrier

  • Le grand blond avec une chaussure noire

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    Quelque part aux Etats-Unis, un homme a été arrêté et suspecté de trafic de drogue mais d’après ses dires il aurait seulement agit dans le cadre d’une mission des autorités françaises. A peine de retour de vacances, Louis Toulouse (Jean Rochefort), chef des services secrets est le premier surpris par ces déclarations du moins le fait-il croire car il se sait espionné par son propre adjoint Milan (Bernard Blier) qu’il suspecte immédiatement. Il décide alors d’organiser un piège : un homme providentiel devrait faire son apparition pour régler cette histoire mais il ne s’agit que d’un subterfuge. Pour tromper Milan et son équipe, il va désigner un inconnu ; le grand blond avec une chaussure noire soit un certain François Perrin (Pierre Richard) qu’il va faire passer pour un agent secret.

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    Il n’y a réellement que la présence de Pierre Richard qui donne un véritable intérêt à cette comédie d’Yves Rovert et pourtant Le grand blond avec une chaussure noire a su, avec les années passant, conquérir un fidèle public. Et puis son générique à la flute de pan signé Vladimir Cosma a également contribué à marquer nos mémoires (tout comme la robe de Mireille Darc !). Il suffit bien souvent de voir apparaitre le comédien pour déclencher les sourires et si besoin est c’est sa légendaire maladresse qui prend ensuite le relais. Quelques bonnes idées sont dispersées tout au long du film mais jamais de quoi nous rendre hilares juste de quoi passer un bon moment. Si vous recherchez les fous rires, vous ne trouverez certainement pas chaussure à votre pied mais on s’y sent quand même à l’aise !


    En savoir plus sur Le retour du grand blond ?

  • Scout toujours

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    C’est avec une grande fierté que notre pote Jean-Baptiste Foucré (Gérard Jugnot) a accepté d’accompagner les jeunes scouts pour ce camp de vacances. Son père est une légende du scoutisme mais rien ne dit qu’il ait hérité des mêmes qualités car Jean-Baptiste aura fort à faire avec ces enfants. Ils sont déjà venus à bout leur ancien moniteur et comptent bien en faire de même avec leur nouveau chef qui fait preuve d’un peu trop de zèle. Ça se gâte rapidement au moment où le bus tombe en panne avant d’être réduit en poussière par mégarde par Jean-Baptiste lui-même. Et dire que ce n’est que le début du voyage !

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    Il faut bien le reconnaitre, ce n’est certainement pas le meilleur film de Gérard Jugnot présent aussi bien en tant qu’acteur que réalisateur mais on apprécie toujours de le revoir. En abordant le thème du scoutisme, ça réveille forcément des souvenirs pour de nombreux spectateurs et puis il faut lui reconnaitre le mérite pour une comédie grand public d’aborder -certes de façon superficielle- des thèmes assez sensibles. Et puis ne serait-ce que pour voir cette dernière scène culte du paquet cadeau en flammes, ça fait plaisir de regarder Scout toujours !