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cinéma - Page 187

  • Génial, mes parents divorcent !

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    Julien & Christian (Adrien Dirand & Gianni Giardinelli) étaient les meilleurs potes d’enfance au monde jusqu’au jour où les parents de Julien se sont séparés. Pour le jeune garçon, le monde s’écroule autour de lui et ceux qu’il croyait être ses amis lui tournent le dos pour la simple raison que ses parents ont divorcé. A l’école, il trouve du soutien auprès de Thomas (Volodia Serre) et d’autres camarades dont les parents sont également séparés et ils n’ont pas l’intention de se laisser faire. Désormais, c’est la guerre entre les mariés et les divorcés !! La bataille reste toutefois inégale et les enfants décident donc de provoquer des divorces pour grossir leur rang.

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    Ah voilà un grand classique du cinéma français qui fait toujours plaisir à voir et à revoir ! Evidemment, il faut savoir prendre Génial, mes parents divorcent ! pour ce qu’il est à savoir une gentille comédie sur un sujet beaucoup plus délicat. Une fois cela en tête, difficile de ne pas résister à cette version moderne (à l’époque) de La guerre des boutons avec des gags qui n’ont pas perdu de leur efficacité sans oublier l’entrain de cette belle bande de jeunes comédiens avec un impressionnant Volodia Serre. Bref, voilà un film qui a vraiment marqué une génération de spectateurs pour qui il n’a pas pris une ride, que de bons souvenirs !



    La scène à ne pas louper : La traversée du pont en bois et la visite de Nestor à la papeterie.

  • La vérité si je mens

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    Edouard Vuibert (Richard Anconina) est sur le point de se faire expulser. Au chômage, il ne lui reste que 200 francs pour vivre et n’a aucune solution à l’horizon. Alors qu’il voulait se refaire à un jeu de hasard, il atterrit dans la cour de Victor Benzakem (Richard Bohringer), un des grands patrons du sentier. Sur un malentendu, celui-ci pense qu’Edouard est juif et par solidarité lui offre un travail dans sa fabrique de tissu. Avec le temps, notre pote apprend les ficelles du métier et se crée de nombreuses relations qui vont lui permettre de lancer sa propre affaire ce qui risque de ne pas plaire à Victor. Une décision qui ne sera pas sans conséquence puisqu’en plus de cela il est tombé sous le charme de Sandra (Amira Casar), la fille de son ancien patron.

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    Succès surprise au box-office, La vérité si je mens est entré dans l’histoire du cinéma français grâce notamment à l’esprit de franche camaraderie qui régnait. Ancré dans la culture juive et communautaire du quartier populaire du sentier, Thomas Gilou a su constituer une vraie famille rassemblant tout de même Richard Anconina, Richard Bohringer, Vincent Elbaz, Bruno Solo, José Garcia et le regretté Elie Kakou. Généreux et drôle, on pourrait reprocher à cette comédie de tirer un peu trop sur les ficelles aisées de la caricature mais ça n’en reste pas moins un excellent film malgré le poids des années et qu’on a toujours plaisir à revoir.

     

    En savoir plus sur La vérité si je mens 2 ?

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  • El gusto

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    Un magasin à Alger. Notre pote Safinez Bousbia était venue pour acheter un simple miroir et elle ne s’imaginait pas que cela serait le point de départ d’une formidable aventure. Le vendeur partage en effet avec elle les souvenirs de sa carrière de musicien, il se remémore ces belles années où il faisait partie de l’orchestre de Chaâbi. Ils étaient membres du conservatoire d’Alger et ont eu comme professeur le prestigieux Hadj M'hamed El Anka mais ce groupe allait se démanteler avec la guerre d’indépendance. La montée en puissance du Front de Libération Nationale allait conduire à l’exode de ceux qu’on nomme les pieds-noirs. 50 ans après ces évènements, Safinez tente l’impossible : réunir cet orchestre pour un concert exceptionnel !

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    Peut-être avez-vous entendu parler de ce groupe pour le moins unique qui a donné un concert à Paris en Janvier 2012 et si ce n’est pas le cas, voici donc une petite session de rattrapage. Ce documentaire revient ainsi sur la reformation d’un ancien orchestre qui a vu le jour dans les années 1950 en Algérie, l’âge d’or du Chaâbi. Le fil conducteur d’El gusto c’est donc cette réunion de potes d’enfance séparés depuis près de 50 ans notamment en raison de l’indépendance du pays qui a causé la scission entre juifs et musulmans. Construit à partir d’interviews des différents membres, on est les témoins de leurs souvenirs nostalgiques et des anecdotes. Si on a parfois l’impression d’être un peu perdu dans ce flot de souvenirs, on ressent la chaleur qui se dégage de leur musique ce qui en fait une joyeuse récréation pour le spectateur.



    Il faut le voir pour : Reprendre contact avec vos potes d’enfance et reformer votre groupe !

  • Intruders

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    Bien qu’elle vienne de souffler ses 12 bougies, notre pote Mia (Ella Purnell) est effrayée lorsque vient le moment de s’endormir. En fait, il y a quelques jours elle a fait une drôle de découverte dans le jardin de ses grands-parents ; caché dans le creux d’un arbre, elle a trouvé une petite boite. En ouvrant celle-ci, elle tombe sur un bout de papier sur lequel est écrite une histoire vraisemblablement imaginée par un enfant et où intervient un monstre nommé Sans visage. Ça tombe bien pour la jeune fille qui doit justement inventer une histoire pour l’école mais elle ne sait pas qu’en faisant cela, elle va redonner vie à un traumatisant cauchemar.

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    Comme j’étais entré dans la salle sans voir ni bande-annonce ni affiche et après les premières minutes je pensais qu’il s’agissait là d’un nouveau film d’épouvante espagnol. Une lueur d’espoir qui allait rapidement s’éteindre. Intruders propose en fait de suivre alternativement 2 histoires dont on devine assez facilement le point de liaison. Pour le reste, c’est du cinéma d’épouvante à l’américaine comme on a trop souvent l’occasion de voir c’est-à-dire sans aucune inspiration dans lequel sont venus s’égarer Clive Owen & Carice Van Houten. Pas la peine d’aller dans la salle, on a d’ores et déjà identifié les intrus : ce sont les futurs spectateurs de ce long-métrage insignifiant.



    Il faut le voir pour : Interdire à vos enfants d’écrire des histoires d’horreur.

  • Glenn

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    Notre pote Jack (Billy Boyd) est un grand pianiste malheureusement son talent fut gâché par des démons intérieurs. Il a en effet beaucoup souffert des critiques de son pères lorsqu’il était plus jeune et cela le hante encore au point qu’il est tombé dans l’alcoolisme et que Lana (Smadi Wolfman), la femme qu’il aimait l’a quitté pour son plus grand rival Henry (Dominic Gould). Cette histoire a connu une issue dramatique puisque Jack a eu la main cassée ce qui a brisé dans le même temps sa carrière de pianiste et le laisse au fond du trou. Alors qu’il ne semblait ne plus y avoir le moindre espoir, il se rend compte que son robot domestique N°3948 qu’il a renommé Glenn a un incroyable talent au piano et il décide donc de l’entrainer afin de le confronter à Henry.

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    Alors je ne sais pas trop quel est le public visé par ce film ; je pensais que ça s’orientait plus vers le divertissement familial mais le personnage de Glenn n’a rien d’attachant et le scénario prend une tournure plus dramatique au bout d’une heure. En plus de ça, l’histoire se déroule dans une société futuriste où les robots sont devenus de vrais potes d’enfance pour les hommes hélas les effets spéciaux sont loin d’être à la hauteur. Ça vire donc rapidement au ridicule et il n’y a pas grand-chose à sauver de ce naufrage cinématique avec aussi une question : qu’est venu faire Gérard Depardieu ?? Le mieux à faire c’est donc de laisser filer ce navet qui ne risque pas de faire une longue carrière au cinéma.



    Il faut le voir pour : Arrêter d’abuser du Whisky, vous allez vous mettre à parler à des robots !

  • La naissance de l’incroyable Hulk

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    David Banner (Bill Bixby) a échappé de peu à la mort après un terrible accident de la route qui aura toutefois couté la vie à sa compagne Laura (Lara Parker). Depuis cette tragédie, il continue de faire de nombreux cauchemars ce qui inquiète sa pote d’enfance et collègue Elaina (Susan Sullivan). Tous deux font actuellement des recherches et s’intéressent notamment à la force physique que les humains sont capables de déployer dans les situations les plus extrêmes. Une force qui lui aurait permis de sauver Laura et c’est pourquoi il est obnubilé par cette découverte jusqu’à prendre des risques considérables. David décide en effet de s’exposer volontairement aux rayons Gamma mais il ignore que cela va le transformer en un immense monstre vert ; l’incroyable Hulk.

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    Bien avant les films d’Ang Lee et de Louis Leterrier, vous n’êtes pas sans savoir que le monstre vert de chez Marvel Comics a eu droit à sa série télévisée. La naissance de l’incroyable Hulk est donc un téléfilm et le point de départ des aventures de David Banner interprété par le regretté Bill Bixby et son alter ego Lou Ferrigno. Evidemment, ça n’a rien à voir avec les récentes adaptations au cinéma, les effets spéciaux les plus impressionnants ici étant de voir Bixby avec des lentilles vertes. Le look de Hulk vous fera également bien sourire notamment au niveau capillaire mais les fans de comics et les plus nostalgiques et d’entre vous ne rechigneront pas à (re)-voir les incroyables aventures d’Hulk !


    En savoir plus sur L'incroyable Hulk ?

  • Parlez-moi de vous

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    C’est un rendez-vous immanquable pour de nombreux auditeurs, à 21 heures la radio s’allume pour assister à l’émission de Mélina (Karin Viard). C’est une libre-antenne où elle aborde bon nombre de sujets mais surtout où elle prodigue de précieux conseils, des conseils qu’elle devrait peut-être suivre. En effet, dans l’intimité elle s’appelle Claire Martin et souffre d’une profonde blessure : celle de n’avoir jamais connu sa mère. Aujourd’hui, après de nombreuses recherches, elle a enfin retrouvé sa trace en banlieue parisienne. Elle s’appelle Jaëlle (Nadia Barentin) et est à la tête d’une nouvelle famille ; de peur de révéler sa véritable identité, Claire va jouer les bénévoles pour approcher celle qui hante ses pensées.

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    Ça n’est peut-être qu’une impression personnelle mais au cours de ses dernières années, Karin Viard semble de plus en plus s’imposer comme une figure incontournable du cinéma français. Déjà savoureuse dans Ma part du gâteau, on la retrouve une nouvelle fois dans un rôle sur mesure où elle se glisse dans la peau d’une femme à la recherche d’une mère qu’elle n’a jamais connu. Animatrice populaire la nuit, elle se transforme ensuite en une femme solitaire à la vie complètement aseptisée et à l’affut du moindre microbe ce qui donne quelques jolis moments de rigolade. Si ce personnage sait nous séduire, on attendait davantage des retrouvailles avec cette mère qui auraient du être le point d’orgue du film. Parlez-moi de vous reste néanmoins un bon moment de cinéma.



    Il faut le voir pour : Toujours nettoyer avant de vous asseoir !

  • 10 jours en or

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    Beau parleur et séducteur devant l’éternel, notre pote Marc (Franck Dubosc) était voué à devenir commercial et d’ailleurs chez Man, c’est un excellent élément. C’est au cours de sa tournée qu’il fait une rencontre pour le moins particulière, celle de Marie (Tatiana Rojo) avec qui il va terminer la soirée. Une autre surprise l’attend au réveil puisqu’en partant à la recherche de la jeune femme, il tombe nez à nez avec un petit garçon du nom de Lucas (Mathis Touré). Marie, sa mère, se trouve en effet sous la menace d’un arrêté de reconduite à la frontière et a ainsi confié le destin de son fils à Marc. Individualiste et égoïste, le commercial se retrouve dans une drôle de situation et n’a d’autres choix que de ramener Lucas auprès de son père dans le sud de la France.

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    On savait Dubosc populaire en tant que comique, on avait beaucoup moins l’occasion de le découvrir dans des rôles plus dramatiques. 10 jours en or est un road-movie qui rassemble une galerie de personnages assez atypiques entre la jeune femme qui parle plus vite qu’elle ne pense et un grand-père adepte du canard WC mais tous sont unis par une profonde solitude. On retrouve du mec très égoïste qui va finir par se transformer au contact d’un enfant, le déroulement de l’histoire est malheureusement un peu trop classique. Il n’y a rien qui puisse donner un peu de caractère à ce film pas même la première prestation plus que correcte du petit Mathis Touré, aussi vite vu qu’oublié !



    Il faut le voir pour : Ne pas oublier d’acheter un siège rehausseur pour vos enfants !


    Découvre le film Dans la peau de Marc !

  • Marley & moi 2

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    Notre pote Bodi Grogan (Travis Turner) s’est vu confier la garde provisoire de Marley et il en est très heureux au point qu’il aimerait désormais lui aussi avoir un chien. Avant cela, il devra convaincre sa mère qu’il est assez responsable pour s’en occuper et puis surtout qu’il est capable de le dresser. Parce que sa mère doit s’absenter dans le cadre de son travail, Marley et lui sont donc recueillis par Fred (Donnelly Rhodes), le grand-père de Bodi et ils ne vont pas s’ennuyer. Ils entendent en effet parler du championnat des bébés chiens et c’est l’occasion ou jamais de faire ses preuves ! Il parvient à trouver 2 autres labradors d’une voisine et se lance dans un rigoureux entrainement car il faudra bien ça pour battre Hans (Alex Zahara) et son Woof gang.

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    Comment détruire le souvenir d’un film émouvant … Je vous l’accorde Marley & moi n’était pas du grand cinéma mais c’était tout de même un bon et respectable divertissement familial capable de vous tirer une petite larme des yeux. Voilà donc qu’ils ont eu la mauvaise idée d’en faire une suite et surtout d’en faire un pathétique film où nos potes à 4 pattes se voient doter de parole à l’instar de la saga des Toutous de chez Disney. Aucun rapport avec son prédécesseur donc en dehors d’une rapide allusion au couple vedette que vous n’apercevrez évidemment pas, Marley & moi 2 pourra à peine contenter les moins de 7 ans sauf si ceux-ci préfèrent aller jouer avec leur chien et franchement on ne leur en voudra pas !

     

    En savoir plus sur Marley & moi ?

  • The darkest hour

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    Avec leur idée de réseau social conçu spécialement pour les globe-trotters du monde entier, nos potes Sean & Ben (Emile Hirsch & Max Minghella) sont certains que la gloire leur tend les bras. C’est d’ailleurs pour présenter leur projet qu’ils se rendent à Moscou mais une fois arrivés, ils ont la mauvaise surprise de constater que leur idée leur a été dérobée. C’est donc dans un bar qu’ils vont noyer leur chagrin et leur moral remonte légèrement lorsqu’ils croisent Natalie & Anne (Olivia Thirlby & Rachael Taylor). Alors que la soirée suivait tranquillement son cours, une panne d’électricité générale vient perturber les fêtards et lorsqu’ils sortent, ils aperçoivent de nombreux points de lumières descendant du ciel. Ils n’en n’ont pas encore conscience mais l’humanité vit peut-être ses dernières heures !

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    L’histoire d’aliens qui débarquent sur notre planète pour nous massacrer et nous piquer nos ressources naturelles, on y a droit quasiment chaque année et The darkest hour ne risque pas de marquer sa différence. Le scénario est vite expédié, tout l’intérêt reposant sur les combats entre les survivants et ces espèces de pieuvres aussi lumineuses qu’une guirlande de noël. C’est donc du rabâché et il n’y a hélas rien pour nous satisfaire pas même une version 3D inexistante ; que ce soit du déjà-vu ok mais au moins mettez-y un peu de fun que diable ! Même en le considérant au 2nd degré, on a du mal à rester attentif devant ce film qui aurait bien mérité d’atterrir directement en DVD et encore !



    Il faut le voir pour : Attacher une ampoule autour de votre cou quand vous sortez le soir.