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dominic gould

  • Glenn

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    Notre pote Jack (Billy Boyd) est un grand pianiste malheureusement son talent fut gâché par des démons intérieurs. Il a en effet beaucoup souffert des critiques de son pères lorsqu’il était plus jeune et cela le hante encore au point qu’il est tombé dans l’alcoolisme et que Lana (Smadi Wolfman), la femme qu’il aimait l’a quitté pour son plus grand rival Henry (Dominic Gould). Cette histoire a connu une issue dramatique puisque Jack a eu la main cassée ce qui a brisé dans le même temps sa carrière de pianiste et le laisse au fond du trou. Alors qu’il ne semblait ne plus y avoir le moindre espoir, il se rend compte que son robot domestique N°3948 qu’il a renommé Glenn a un incroyable talent au piano et il décide donc de l’entrainer afin de le confronter à Henry.

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    Alors je ne sais pas trop quel est le public visé par ce film ; je pensais que ça s’orientait plus vers le divertissement familial mais le personnage de Glenn n’a rien d’attachant et le scénario prend une tournure plus dramatique au bout d’une heure. En plus de ça, l’histoire se déroule dans une société futuriste où les robots sont devenus de vrais potes d’enfance pour les hommes hélas les effets spéciaux sont loin d’être à la hauteur. Ça vire donc rapidement au ridicule et il n’y a pas grand-chose à sauver de ce naufrage cinématique avec aussi une question : qu’est venu faire Gérard Depardieu ?? Le mieux à faire c’est donc de laisser filer ce navet qui ne risque pas de faire une longue carrière au cinéma.



    Il faut le voir pour : Arrêter d’abuser du Whisky, vous allez vous mettre à parler à des robots !

  • The prodigies

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    Jimbo n’était encore qu’un enfant lorsqu’on l’a retrouvé dans la cave de sa maison où il était resté enfermé depuis 1 semaine avec les corps sans vie de ses parents. Les premiers éléments de l’enquête ont établi que le père avait battu à mort son épouse avant de se donner la mort par pendaison mais étrangement le jeune garçon s’est accusé du crime. Richard Killian s’intéresse de près à ce fait divers car il est convaincu que ce jeune garçon dit la vérité et qu’il possède de fantastiques pouvoirs. Quelques années plus tard, ce dernier est devenu professeur et est resté très proche de Killian ; ils vont alors faire une incroyable découverte. 5 jeunes semblent manifester des dons exceptionnels semblables à ceux de Jimbo, ce sont de futurs prodiges qu’ils doivent protéger.

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    A défaut de pouvoir réaliser un film de super-héros à la française, Antoine Charreyron s’est donc lancé dans un ambitieux projet avec The prodigies adapté du roman de Bernard Lentéric. Si les images de synthèse sont de bonne facture, il faut bien reconnaitre qu’ils n’ont pas la finesse des grands studios américains mais on fait vite abstraction de ce détail purement esthétique. On est davantage marqué par certains éléments du film comme ses scènes de violences aussi bien physiques que sexuelles et ça reste tout de même à réserver à un public averti (plutôt à interdire aux – de 16 ans). Personnellement je l’ai trouvé assez froid, on a beaucoup de mal à rentrer dans l’histoire et à s’attacher aux personnages, un 1er essai loupé donc pour le réalisateur et loin d’être prodigieux.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter d’utiliser vos pouvoirs contre les oiseaux, ils vous ont rien fait !