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cinema - Page 133

  • Möbius

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    Notre pote Alice (Cécile de France) avait besoin de se détendre et elle pensait pouvoir trouver la paix au hammam mais quelqu’un est venu l’aborder de façon étrange. Sandra (Emilie Dequenne) vient en effet solliciter son aide afin de récupérer de précieuses informations sur Rostovski (Tim Roth) qui n’est autre que l’employeur d’Alice.  Cette dernière pense alors collaborer avec les services secrets français mais ignore que ce sont en réalité les Russes qui sont derrière tout ça. Le chef des opérations se nomme Grégory Liubov (Jean Dujardin) et il va commettre une erreur en se rapprochant de près, même de trop près de la belle Alice.

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    Eric Rochant à la caméra accompagné d’une belle brochette d’acteurs dont la star américaine Tim Roth, Möbius était donc plutôt alléchant sur le papier. A l’écran, c’est moins probant parce qu’on est dans un pur thriller et qu’on aurait apprécié quelques phases d’action pour donner un peu plus de tonicité. Et puis surtout l’histoire se tire une balle dans le pied dès le début en nous révélant la véritable identité du personnage de Cécile de France ce qui ôte toute la surprise au dénouement. Pour le reste rien à dire, c’est bien fichu on passe un bon moment mais on regrette que ce soit aussi plat et qu’il n’y ait pas eu un peu plus de surprises.

     

    Il faut le voir pour : Montrer à votre femme ce qu’il faut faire si elle ne veut plus vous voir fumer dans la voiture !

  • Sublimes créatures

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    Il ne se passe pas grand-chose à Gatlin en Caroline du Sud aussi l’arrivée d’une nouvelle élève fait beaucoup parler surtout quand il s’agit de la nièce du vieux Macon Ravenwood (Jeremy Irons). Pour notre pote Ethan Wate (Alden Ehrenreich), c’est une rencontre qui va changer sa vie car dès qu’il aperçoit Lena Duchannes (Alice Englert), il reconnait la fille qui hante ses rêves depuis des mois. C’est évident, il y a quelque chose qui les lie l’un à l’autre mais le plus étonnant reste à venir car Lena possède des dons extraordinaires et pour cause il s’agit d’une enchanteresse ! Si elle est venue jusqu’à Gatlin, c’est parce qu’à l’approche de son 16ème anniversaire, sa vie va prendre un tournant décisif.

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    Plus de Twilight à se mettre sous la dent, voici donc la nouvelle saga qui va tenter de se faire une place dans le cœur des spectateurs. Œuvre littéraire de Kami Garcia et Margaret Stohl, l’histoire est proche de celle des aventures de Bella & Edward sauf qu’ici les vampires et loup-garou laissent place à des enchanteurs plus ou moins bien intentionnés. A part ça, pas grand-chose de magique ; on a droit à une énième romance saupoudrée ici et là de quelques effets spéciaux si bien que ça ne devrait trouver grâce qu’aux yeux d’un public qui se délecte de ses histoires à l’eau de rose. Reste maintenant à attendre de savoir si le succès de Sublimes créatures sera au rendez-vous, le cas échéant apprêtez-vous à les retrouver prochainement sur le grand écran !

     

    Il faut le voir pour : Eviter les repas de famille, ça risque de tourner au drame !

  • Week-end royal

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    Il se murmure que l’état de Franklin Delano Roosevelt (Bill Murray) n’est pas au mieux de sa forme et c’est ainsi que Daisy (Laura Linney), une lointaine cousine se retrouve à ses cotés à la résidence d’Hyde Park. En réalité, c’est la mère du 32ème Président des Etats-Unis qui a tendance à trop dramatiser qui est à l’origine de la venue de Daisy et celle-ci va rapidement devenir une intime de Roosevelt. Elle va ainsi assister à un évènement historique ; c’est la première fois qu’un souverain anglais est invité sur le territoire américain. L’arrivée du roi George VI (Samuel West) et de la Reine Elizabeth (Olivia Colman) est une mission diplomatique ; il s’agit en effet de convaincre les Etats-Unis de rallier l’Angleterre qui s’apprête à entrer en guerre contre l’Allemagne d’Hitler.

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    Après le Lincoln de Steven Spielberg, c’est maintenant au tour du vieux Roosevelt d’envahir nos écrans avec Week-end royal. Le film de Roger Michell s’intéresse surtout à cette rencontre historique avec le couple souverain anglais de l’époque et en marge de cela il y a également une petite romance (quand même pas loin de l’inceste !) qui nous laissera complètement indifférent. Quant à cette réunion au sommet, on n’est guère plus emballé même si on ne peut rien reprocher aux différents comédiens, c’est juste que ça n’a rien de passionnant. Tout un film pour apprendre qu’un roi peut manger un hot dog ça a de quoi nous rester en travers de la gorge.

     

    Il faut le voir pour : Inviter les femmes à jeter un œil à votre collection de timbres !

  • Ouf

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    Notre pote François (Eric Elmosnino) a comme qui dirait pété un plomb devenant particulièrement agressif envers sa femme Anna (Sophie Quinton). Il est même allé jusqu’à tenter de mettre le feu à l’immeuble où il habitait et c’est pour cette raison qu’il s’est retrouvé soigné dans un hôpital psychiatrique. Le temps a passé, il est désormais libre et va chercher à retrouver sa vie d’avant et pour ça il tente de convaincre Anna que tout va bien se passer pour eux. Son obsession va une nouvelle fois le conduire à être interné puisqu’il n’a rien trouvé de mieux que d’escalader la façade de son immeuble pour faire une surprise à son ex-femme. Le voilà encore enfermé mais tout espoir n’est pas perdu !

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    A quelques semaines d’intervalle de la sortie d’Happiness Therapy, débarque Ouf qui partage avec la comédie américaine quelques points communs. Les 2 films partent avec une base scénaristique identique mais ici on est bien moins gâté même si le tandem Sophie Quinton / Eric Elmosnino est assez séduisant. Ce qui est moins brillant c’est ce qui les entoure, une histoire inexistante et qui va trouver son apothéose dans ce champ de patates. Bien que le personnage de François parvient à nous faire décrocher tout au plus 2-3 sourires et qu’on a plaisir à voir Valeria Golino ou Luis Rego, on ne tarde pas à regretter que ce film manque paradoxalement d’une véritable folie.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de vomir sur les pigeons !

  • Du plomb dans la tête

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    Jimmy Bobo & Louis Blanchard (Sylvester Stallone & Jon Seda) sont tueurs à gage et ils viennent d’éliminer Hank Greely (Holt McCallany) qui s’avérera être par la suite un ancien flic de Washington. Alors qu’ils attendaient le paiement de leur contrat, ils se rendent compte qu’on les a piégés et Louis meurt de plusieurs coups de couteaux porté par un certain Keegan (Jason Momoa). Débarque alors l’Inspecteur Taylor Kwon (Sung Kang) qui arrive droit de Washington et qui a été alerté par le meurtre de son ancien partenaire Greely. Perspicace, il va vite remonter la piste jusqu’à Jimmy et lui propose alors de s’associer afin de découvrir le commanditaire de l’exécution de Greely et par la même occasion de venger la mort de Louis.

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    Adaptation de la bande-dessinée homonyme crée par Alexis Nolent & Colin Wilson, Du plomb dans la tête affiche ses intentions : un film d’action musclé et c’est tout ! On ne pourra rien lui reprocher à ce niveau-là ; on a de la castagne et quelques explosions pour tenter de combler un scénario expédié. Evidemment, Stallone est là pour apporter une belle dose de testostérone et si ça ne vous suffit pas il y aura aussi l’imposant Jason Momoa pour muscler encore un peu plus les débats. On n’en dira pas autant de Sung Kang qu’on voit que trop rarement en action et dont la présence semble davantage justifiée pour apporter un brin d’humour à l’ensemble. Tout ça traversera votre tête et ça a peu de chances de vous laisser un quelconque souvenir.

     

    Il faut le voir pour : Apporter votre propre bouteille de Whisky la prochaine fois que vous irez au bar !

  • Boule & Bill

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    En ce beau Dimanche après-midi, Boule (Charles Crombez) se promenait avec ses Parents (Marina Foïs & Franck Dubosc) et au hasard des routes ils sont arrivés jusqu’aux portes de la SPA. Le petit garçon tombe alors sous le charme d’un cocker qu’il va adopter et baptiser Bill, son nouveau pote d’enfance mais un évènement va bouleverser la vie de cette famille. Le père de Boule souhaitait leur faire la surprise ; il a fait une demande de mutation qui a été acceptée et ils vont donc prochainement déménager à Paris ! Ils abandonnent leur belle maison pour un appartement au 11ème étage d’un immeuble et inutile de vous dire que ce n’est pas vraiment l’environnement idéal pour un chien !

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    On a tous un jour ou l’autre lu les aventures de ce célèbre duo puisque la bande-dessinée crée par Jean Roba existe tout de même depuis plus de 50 ans ! Elle ne pouvait donc pas échapper plus longtemps à la vague d’adaptation cinématographique mais on le sait, les expériences en la matière n’ont pas toujours été couronnées de succès. Boule & Bill ne sera pas l’exception qui confirme la règle car si on ne peut pas reprocher grand-chose au casting, c’est l’histoire ultra-conventionnelle et le manque d’idées qui rendent le film sans saveur. En plus de ça à l’écran c’est d’une tristesse ; ça manque de couleurs et tout simplement de vie le film est loin d’être wouf et ne risque pas de faire de vieux os.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de déranger vos voisins dépressifs !

  • Les sorties du 06 Mars

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    Les scandales alimentaires n’en finissent plus et la dernière victime en date s’appelle Ikea forcé de retirer ses célèbres boulettes et désormais son gâteau au chocolat en raison de la présence de matières fécales. Appelons un chat un chat, de la merde on peut aussi en trouver au cinéma mais au moins ça n’a pas de conséquence directe sur notre santé ! C’est parti pour notre chronique hebdomadaire et on commence par le Spring Breakers d’Harmony Korine. Le Spring Break c’est une véritable institution aux Etats-Unis c’est pourquoi nos potes Vanessa Hudgens, Selena Gomez, Ashley Benson & Rachel Korine sont prêtes à tout pour s’éclater !

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  • Les chevaux de Dieu

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    C’est au cœur du bidonville Sidi Moumen de Casablanca au Maroc qu’ont grandi ces 2 frères que sont Hamid & Yachine (Saïd Lalaoui / Abdelilah Rachid & Achraf Aafir / Abdelhakim Rachid). Avec un père malade, un frère autiste et un autre engagé en guerre ; Hamid s’est vite imposé comme le chef de la famille quitte à flirter avec l’illégalité pour ramener de l’argent à la maison. Il n’est dont pas étonnant qu’il ait finit par se retrouver en prison, une incarcération de 2 ans qui va faire de lui un tout autre homme. Auparavant, il était animé d’une rage folle mais aujourd’hui il semble avoir trouvé une certaine paix grâce à ses nouveaux "frères". Il va maintenant faire en sorte que Yachine et ses potes d’enfance le rejoigne auprès de l’Imam.

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    Retour sur un évènement dramatique, le 16 Mai 2003 la ville de Casablanca est frappée par plusieurs explosions simultanées qui causera la mort de plus de 40 personnes. Les chevaux de Dieu revient sur la vie de ces martyrs en nous faisant découvrir leur parcours des terrains de football jusqu’aux portes du paradis qu’on leur promet. Misère, promiscuité et violence composent le quotidien de ces jeunes sans repères, le film s’appuie surtout sur la rivalité qui va opposer ces 2 frères qui va jusqu’à devenir le moteur de leur engagement. Quelques longueurs et un jeu parfois excessif (Hamid avant son arrestation) handicapent un film qui reste dans l’ensemble plutôt réussi.

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre grand frère de rester près du terrain de foot quand vous jouez !

  • Des abeilles et des hommes

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    Albert Einstein prophétisait que la disparition des abeilles entrainerait dans son sillage celle de l’homme car ce petit insecte occupe un rôle primordial dans notre quotidien. Agent pollinisateur extraordinaire, elle permet à de nombreuses plantes et fleurs de se reproduire et contribue donc indirectement à la survie de l’homme. Seulement depuis de nombreuses années et dans une certaine indifférence, l’abeille disparait peu à peu et si son espèce venait à s’éteindre que deviendrait le monde ? Certains pays sont déjà contraints de trouver une solution de substitution comme la Chine tandis que d’autres cherchent à manipuler la génétique pour créer des abeilles plus résistantes mais peut-être aussi plus dangereuses.

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    A force de nous rabâcher la célèbre citation d’Albert Einstein, on a fini par comprendre que l’abeille est une espèce qu’il faut protéger mais qu’en est-il réellement ? Des abeilles et des hommes est là pour nous apporter quelques réponses parmi lesquelles on apprend entre autre la domestication de cet insecte dans le cadre de la recherche permanente de la productivité. Il y a donc quelques passages intéressants à l’instar de cet extrait se déroulant en Chine où l’on assiste stupéfait à la pollinisation par la main de l’homme mais dans sa globalité c’est confus. On n’est pas non plus véritablement enchanté par les images loin d’être magistrales tout comme le témoignage de cet apiculteur qui n’enrichit pas vraiment ce documentaire.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous moquer des films qui utilisent des abeilles tueuses !

  • Pinocchio

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    Alors qu’il dormait paisiblement, notre pote Gepetto a été réveillé par un bruit, un cerf-volant frappait à sa fenêtre faisant remonter chez lui d’agréables souvenirs d’enfance. C’est durant cette même nuit qu’il découvre une buche dotée de parole, un bout de bois qu’il va tailler pour en faire une marionnette en bois qu’il appellera Pinocchio. Plein d’entrain, ce dernier ne pense qu’à manger, s’amuser et dormir mais comme tous les enfants de son âge, il doit aussi aller à l’école et Gepetto ria même jusqu’à vendre son manteau pour lui offrir un abécédaire dont il a besoin. Alors que Pinocchio s’apprêtait à rejoindre sa classe, il est interpellé par un chat et une renarde et commencent pour lui de grandes aventures !

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    Héros connu à travers le monde, Pinocchio est avant tout la création de Carlo Collodi et fut notamment immortalisé au cinéma avec le film d’animation de Walt Disney. Mieux vaut éviter les comparaisons car à ce jeu là, cette dernière version risque vite d’être dépassée avec son graphisme particulier qui se rapproche de certaines peintures. A l’œil le (jeune) spectateur ne sera pas forcément conquis d’autant plus que l’histoire part à grande vitesse ; tout est débité tellement vite qu’on n’a pas vraiment le temps ni de s’intéresser à l’histoire ni de s’attacher aux personnages. Vous aurez plus de chances de piquer du nez que de le voir s’allonger Saperlipantin !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de croire que l’argent pousse dans les arbres !