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Johnny Depp - Page 2

  • Rhum express

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    Romancier en quête de succès, notre pote Paul Kemp (Johnny Depp) doit pour le moment se contenter d’une carrière de journaliste. C’est ainsi qu’il atterrit à Porto Rico au sein du quotidien le San Juan Star, un job qui le fera vivre à défaut de lui apporter la gloire. Très vite, il se lie d’amitié avec Sanderson (Aaron Eckhart) même s’il a la désagréable surprise d’apprendre que la belle Chenault (Amber Heard), qu’il avait croisée plus tôt, est sa compagne. Cet homme d’affaires va alors lui proposer de participer à un énorme projet financier ; la construction d’un hôtel au cœur d’une ile paradisiaque.

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    Comme le titre du film semble l’indiquer, je me demande maintenant s’il ne faut pas en effet descendre quelques verres de rhum pour apprécier ce film de Bruce Robinson. Basé sur l’histoire vraie du journaliste Paul Kemp, Rhum express s’intéresse donc à la naissance d’une carrière plutôt atypique en plein cœur de Porto Rico. L’abus d’alcool étant dangereux pour la santé, il semble que ce soit aussi le cas avec ce film réalisé un peu trop expressément avec un Johnny Depp qui devient pour le coup légèrement saoulant. De ce film on se contentera donc des paysages et d’apprécier la belle Amber Heard ce qui est au final plus que léger !

     

    Il faut le voir pour : Attendre un peu avant d’arrêter de boire.

  • Pirate des Caraïbes : La fontaine de jouvence

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    A en croire de nombreuses rumeurs, le légendaire capitaine Jack Sparrow (Johnny Depp) serait à Londres pour recruter un équipage et partir pour de nouvelles aventures. Ayant eu vent de cela, le véritable Jack Sparrow va démasquer l’imposteur ; il s’agit d’Angelica (Pénélope Cruz), une femme qu’il a aimé il y a des années de cela. Après s’être évanoui, le pirate se réveille à bord du navire de Barbe noire (Ian Mcshane) et se dirige vers une quête prestigieuse : la fontaine de jouvence ! Avant de s’y rendre, nos potes doivent d’abord s’assurer d’obtenir une larme de sirène ainsi que les 2 calices ayant appartenues à Ponce de León.

     

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    Le raz de marée Pirate des Caraïbes n’a pas fini de déferler sur nos écrans puisqu’on retrouve notre cher Johnny Depp pour la 4ème fois dans la peau du plus célèbre des pirates et une nouvelle trilogie est d’ores et déjà annoncée. Exit Gore Verbinski qui laisse la place à Rob Marshall pour nous proposer le film d’aventures que l’on attendait. Difficile de révolutionner une saga qui a marqué les spectateurs, on joue donc la carte de la facilité et Pirate des Caraïbes : La fontaine de jouvence reste fidèle à ses prédécesseurs et cela devrait largement suffire pour assurer son succès dans les salles. Un détail tout de même à signaler, le couple de la sirène et du prêtre censé remplacer Kieira Knightley & Orlando Bloom se révèle inutile dans ce film. La sortie familiale du moment !

                                                                                                                                                                                      

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’une jambe en bois peut vous faire du bien au gosier !

  • Rango

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    Il vient de débarquer à Poussière et plus rien ne sera comme avant ! Il se fait appeler Rango et a la gâchette facile et d’ailleurs avec une seule balle, il est parvenu à terrasser le faucon qui terrorisait toute la ville. Pourtant, il y a encore quelques heures, Rango n’était qu’un simple caméléon perdu en plein désert Mojave après un accident de la route qui l’a séparé de ses propriétaires. Pour se fondre dans le décor, il s’est donc fait passer pour un redoutable cow-boy et cette réputation lui vaut d’être nommé shérif. Sa première tache sera de résoudre l’énigme concernant l’eau qui n’arrive plus jusqu’à Poussière et qui pousse chaque habitant à quitter la ville.

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    Après nous avoir fait voyager en compagnie de Jack Sparrow et de ses hommes du Black Pearl, Gore Verbinski nous offre une belle récréation avec Rango, un caméléon qui va vous en faire voir de toutes les couleurs. Premier point frappant, les graphismes sont d’une beauté et d’une finesse exceptionnelle à l’image du clone de Clint Eastwood. A cela s’ajoute un panel de personnages d’une grande diversité avec évidemment comme point d’attache un héros peu conventionnel. Belle aventure qui promet aux spectateurs de toutes les générations de passer un très bon moment de cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à apprécier l’eau courante !

  • The tourist

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    Alexander Pierce (??) est un homme hautement recherché pour avoir dérobé des milliards de dollars à un gangster. Les services secrets britanniques veulent également lui mettre le grappin dessus car il est coupable de fraude fiscale qu’on estime à 744 millions de Livres sterling. Le seul contact qu’on lui connait est cette femme ; Elise Ward (Angelina Jolie) avec qui il communique régulièrement en lui faisant parvenir des lettres. Dernièrement, il lui a demandé de se rendre à Venise et de trouver un homme que l’on pourrait prendre pour Alexander Pierce. C’est ainsi que notre pote Frank Tupelo (Johnny Depp), un prof de maths devient la cible de toutes les attentions.

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    Le glamour est au rendez-vous pour ce remake d’Anthony Zimmer puisque ce ne sont rien moins qu’Angelina Jolie & Johnny Depp qui occupent les rôles tenus initialement par Sophie Marceau et Yvan Attal. Ça a même des allures de lune de miel puisque l’action est désormais délocalisée à Venise, la ville romantique par excellence. Esthétiquement, on ne peut que trouver The tourist attrayant mais dans son contenu c’est beaucoup moins vrai car ça manque cruellement d’action et on finit par s’assoupir. Cela est d’autant plus vrai quand on connait la version originale, Florian Henckel von Donnersmarck n’arrive pas à donner du caractère à sa réinterprétation. On va donc oublier et mieux vaut aller louer le film de Jérôme Salle.

     

    Il faut le voir pour : Economiser 20 millions de dollars si vous voulez avoir la gueule de Johnny Depp.

  • When you're strange

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    L'histoire du groupe The Doors commence d'abord par une rencontre, celle de Jim Morrison et Ray Manzarek en 1965. Rejoints par Robby Krieger & John Densmore, ils deviennent ainsi The Doors, un nom suggéré par Jim et inspiré d'un poème de William Blake. Dans une période où les Etats-Unis sont secoués par la guerre menée au Vietnam et par les mouvements de ségrégation touchant la population noir ; on assiste à la naissance d'un groupe de rock qui s'inscira dans l'histoire. Cela commence tout d'abord avec leur premier succès Light my fire et par la suite c'est l'imprévisible Jim Morrison qui va marquer les esprits.

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    Groupe mythique de la fin des années 1960, The Doors c'est avant tout l'icône qu'est devenu Jim Morrison. Si aujourd'hui ce sont les frasques des Amy Winehouse, Pete Doherty et consorts qui ravissent les tabloïds, Morrison en son temps était loin d'être un ange ! Fouillant dans les images d'archives et notamment les rushs du film HWY - An American Pastoral réalisé par Morrison himself, When you're strange est un documentaire indispensable pour tous les fans du groupe mais c'est aussi le moyen pour découvrir une des légendes du rock américain.

     

    Il faut le voir pour : Aller acheter l'intégrale des Doors.

  • Alice au pays des merveilles

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    Depuis sa plus tendre enfance, Alice (Mia Wasikowska) fait un rêve récurrent. Celui d'un monde incroyable doté de créatures fantastiques, d'animaux qui parlent. Aujourd'hui Alice est une jeune femme qui vient tout juste d'apprendre que la fête à laquelle elle participe célèbre ses prochaines fiançailles avec un lord. Une nouvelle qui ne la réjouit pas du tout et au moment de la demande officielle, elle préfère s'éclipser pour poursuivre un curieux lapin doté d'une veste qu'elle a aperçu plus tôt. En se penchant un peu trop au-dessus du terrier, elle tombe dedans et atterrit dans ce monde merveilleux dont elle n'arrête pas de rêver.

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    Connaissant l'univers de Tim Burton, il était inconcevable que le réalisateur ne se penche pas un jour sur l'adaptation de Lewis Carroll. Accompagné de sa garde rapprochée -Helena Bonham Carter & Johnny Depp- il nous invite ainsi à revivre les célèbres aventures d'Alice au pays des merveilles. Un film un peu décevant par rapport à ce que l'on pouvait attendre du réalisateur, certes toute la magie du conte est bien présente mais il manque un grain de folie pour nous emporter. Ça reste néanmoins un film tout à fait divertissant qui plaira aussi bien aux enfants qu'aux plus grands donc vous savez ce qu'il vous reste à faire !

     

    Il faut le voir pour : Acheter un cochon pour étendre vos jambes à la maison !

  • L'imaginarium du Docteur Parnassus

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    Pour le Docteur Parnassus (Christopher Plummer) et sa troupe itinérante, le succès n'est pas vraiment au rendez-vous. Leur spectacle provoque plus moqueries que fascination et pourtant il y a un miroir magique qui permet à celui qui y pénètre d'entrer de plain-pied dans un merveilleux monde imaginaire. Au cours de leur route, ils viennent en aide à Tony (Heath Ledger) qu'ils ont trouvé sous un pont la corde au cou. Par miracle, celui-ci est sauvé mais semble avoir perdu la mémoire jusqu'à en oublier son propre nom. Alors que Tony est recueilli par la troupe, le Docteur Parnassus lui se montre inquiet car sa fille Valentina (Lily Cole) fêtera prochainement ses 16 ans rappelant une vieille promesse.

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    Aller voir un film de Terry Gilliam ; c'est vivre une expérience unique au cinéma, presque indescriptible et il faut avoir l'esprit bien ouvert pour se plonger dans L'imaginarium du Docteur Parnassus. Le spectateur est invité à se plonger dans l'imagination fertile des personnages qui nous conduisent au sein de mondes hauts en couleurs. Dommage que le film tarde autant à nous révéler sa folie rendant la première partie assez monotone. On retiendra donc essentiellement de ce film la dernière apparition à l'écran d'Heath Ledger décédé durant le tournage. Par un simple détour scénaristique, il est ainsi remplacé au pied levé par rien moins que Johnny Depp, Jude Law & Colin Farrell.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais parier avec le diable, il vous fera vivre l'enfer !

  • Public enemies

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    1933 aux Etats-Unis ; c’est l’âge d’or pour les braqueurs de banque. Parmi ces malfrats, on retiendra les noms de Baby Face Nelson (Stephen Graham) mais surtout celui qui se fera connaitre plus tard comme l’ennemi public N°1 John Dillinger (Johnny Depp). Après avoir participé à une évasion spectaculaire dans l’Indiana ; Dillinger et ses potes d’enfance prennent la direction de Chicago pour délester les banques de leurs beaux billets verts. Il fait alors la connaissance de la belle Billie Frechette (Marion Cotillard) mais les forces de l’ordre mené par Melvin Purvis (Christian Bale) ne leur laisseront aucun répit.

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    En France, nous avons eu droit au biopic de Mesrine, les américains ont désormais le leur avec leur criminel local John Dillinger. Michael Mann semblait etre le réalisateur le mieux placé pour adapter la vie de ce hors-la-loi sur le grand écran, lui qui sait comment insuffler toute la virtuosité nécessaire à une scène de gunfiht. Pourtant, Public enemies déçoit vite ; les braquages se suivent et se ressemblent et surtout le duel Johnny Depp/Christian Bale se joue seulement à distance d’où une certaine frustration. Un bon film mais pas le gros carton que l’on voyait venir.

     

    Il faut le voir pour : Regarder dans la salle de cinéma pour vérifier que vous n’êtes pas assis à coté d’un criminel recherché !

  • Charlie & la chocolaterie

     

     

     Il était une fois un jeune garçon appelé Charlie Bucket (Freddie Highmore) qui vivait dans une maison délabrée auprès de ses parents. Non loin de chez lui, se dresse la grande fabrique de chocolat du grand Willy Wonka (Johnny Depp) qui fut autrefois l’un des plus célèbres confiseurs au monde. Wonka a renvoyé tous ses employés après avoir eu à faire avec des espions venus lui voler ses recettes révolutionnaires comme la Glace au chocolat qui ne fond jamais. Lorsqu’il réapparait devant le grand public, c’est pour annoncer qu’il invite 5 enfants à venir visiter sa chocolaterie et évidemment, Charlie Bucket sera l’un des heureux privilégiés.

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    On reconnaît assez rapidement la patte du réalisateur Tim Burton à travers des images chatoyantes, débordantes de couleurs dans la chocolaterie et qui réveillent sans mal nos souvenirs d’enfants. Il retrouve pour l’occasion son acteur fétiche, Johnny Depp qui se glisse aussi facilement dans le costume de Willy Wonka que dans celui de Jack Sparrow. Adaptation d’un roman de Roald Dahl, on se plonge avec délectation dans ce monde magique tout en friandises (qui n’en a pas rêvé ?) grâce à une histoire non dénuée d’une certaine morale. Bref, Charlie et la chocolaterie est une belle friandise à savourer pour les petits et grands.

     

    Découvre le film Dans la peau du héros

  • Sweeney Todd, le diabolique barbier de Fleet Street

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    Malgré sa longue absence, rien n’a changé à Londres. L’atmosphère fétide qui y règne est à l’image de ceux qui vivent dans ces quartiers. Il eut autrefois comme nom Jonathan Barker (Johnny Depp) mais aujourd’hui il n’a plus comme nom que Sweeney Todd, le barbier de Fleet Street. Dans un passé pas si lointain, il avait une famille ; une femme et une petite fille mais le juge Turpin (Alan Rickman) convoitait lui aussi la belle. Accusé à tort, il fut tenu éloigné mais aujourd’hui il foule à nouveau ses terres pour réclamer vengeance. Avec l’aide de Madame Lovett (Helena Bonham Carter), il va retrouver la trace du juge et aiguiser à nouveau ses lames pour que le sang des véritables coupables se répandent.

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    C’est une habitude bien heureuse avec le réalisateur Tim Burton de nous transporter dans chacun de ses films dans un univers assez fantasmagorique. Sweeney Todd, le diabolique barbier de Fleet Street permet une nouvelle fois au réalisateur de donner la pleine mesure de son talent. En revanche, si vous êtes allergiques aux comédies musicales ; vous risquez d’être vite poussés à bout par Helena Bonham Carter & Johnny Depp qui ne cessent de pousser la chansonnette. Entre Tim Burton & Depp ; on le savait déjà c’est une histoire de passion dont il résulte automatiquement un excellent film qu’il serait dommage de louper.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de manger des tourtes.