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Public enemies

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1933 aux Etats-Unis ; c’est l’âge d’or pour les braqueurs de banque. Parmi ces malfrats, on retiendra les noms de Baby Face Nelson (Stephen Graham) mais surtout celui qui se fera connaitre plus tard comme l’ennemi public N°1 John Dillinger (Johnny Depp). Après avoir participé à une évasion spectaculaire dans l’Indiana ; Dillinger et ses potes d’enfance prennent la direction de Chicago pour délester les banques de leurs beaux billets verts. Il fait alors la connaissance de la belle Billie Frechette (Marion Cotillard) mais les forces de l’ordre mené par Melvin Purvis (Christian Bale) ne leur laisseront aucun répit.

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En France, nous avons eu droit au biopic de Mesrine, les américains ont désormais le leur avec leur criminel local John Dillinger. Michael Mann semblait etre le réalisateur le mieux placé pour adapter la vie de ce hors-la-loi sur le grand écran, lui qui sait comment insuffler toute la virtuosité nécessaire à une scène de gunfiht. Pourtant, Public enemies déçoit vite ; les braquages se suivent et se ressemblent et surtout le duel Johnny Depp/Christian Bale se joue seulement à distance d’où une certaine frustration. Un bon film mais pas le gros carton que l’on voyait venir.

 

Il faut le voir pour : Regarder dans la salle de cinéma pour vérifier que vous n’êtes pas assis à coté d’un criminel recherché !

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